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migrants - Page 58

  • Ils essaiment des centres pour migrants tout partout…même à Sainte-Agnès !

    Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2019

     

    Sainte-Agnès, dans les Alpes-Maritimes, encore une commune qui vient de tomber. Dans l’escarcelle de l’État par le truchement du préfet en vue de réquisitionner le Centre de loisirs Orméa, échangeant ainsi les enfants du coin qui y passaient des vacances pour y loger des mineurs étrangers. Un énième centre d’accueil pour migrants dans une France déjà complètement quadrillée.

    Le maire est furax, « c’est une folie », « un problème géré de façon assassine », une décision « menée sans concertation », s’emporte-t-il. On le comprend : 150 jeunes migrants (parmi lesquels peut-être bien 40 à 50 % de faux mineurs) pour une population de 1.271 habitants, son petit village classé l’un des plus beaux de France « n’a pas les moyens de gérer un tel flux ». C’est sûr ! A 50.000 euros par jeune et par an, les Agnésois risquent de ne pas être partants…

    Un petit bijou, Sainte-Agnès. Perchée à 800 mètres d’altitude, elle offre un panorama à couper le souffle. Mais pas seulement. Les vacanciers viennent découvrir les vestiges d’un château-fort (bastion de la ligne Maginot) contre les remparts duquel a été créé un délicieux jardin médiéval. Ils flânent d’une ruelle pavée à l’autre, passant sous des voûtes de pierre, et cerise sur le gâteau, elle ne se dépeuple pas, c’est même tout le contraire. En dépit d’une seule infirmière, sans médecin ni dentiste, sans collège ni lycée et du premier supermarché à vingt minutes de voiture, le prix du mètre carré immobilier a même flambé tant Sainte-Agnès attire, justement, des citadins tombés amoureux d’elle. Voilà, Sainte Agnès, c’est elle.

    Revenons maintenant aux  » flux » du maire. Des flux par dizaines de milliers que l’État, de façon autoritaire, impose à des communes. De plus en plus de communes. La Cimade annonce d’ailleurs la couleur en parlant de « répartition directive des demandeurs d’asile ». En janvier 2019, elle publiait une carte de France tout à fait édifiante.

    Oh, comme ils sont jolis, tous ces cercles ! On dirait des parasols multicolores vus de dessus. Exceptés la Corse et les départements d’Outre-mer, il y en a partout. Vraiment partout. Pas une seule région de l’hexagone, comme ils disent, sans ses CADA, ses CAO, ses CHU(M) – hébergement d’urgence pour migrants-, ses CAES, ses ATSA, ses HUDA – hébergement d’urgence pour demandeur d’asile-, ses CPH, ses PRAHDA et les tous nouveaux CARA et DPAR -dispositif de préparation au retour, qui existe pourtant déjà depuis des lustres en tant qu' » aide au retour » pour « étrangers en situation irrégulière, qui peuvent demander une aide matérielle et financière pour retourner volontairement dans leur pays (service-public.fr). Bref, à ce rythme-là de créations, en plus du nombres de migrants à ne cesser d’arriver, ce n’est plus un mais dix, vingt mille-feuilles administratifs à rémunérer ! Un pognon de dingue…

    Et à tous ces centres correspondent donc quasiment toujours les places d’hébergement : 90.555 places au total. Bien « en deçà des besoins » précise la Cimade. Le nombre de demandeurs d’asile étant passé de 127.132 en mai 2018 à 134.661 en octobre de la même année, forcément !

    Quand on voit tous ces cercles, on se demande : combien de maires furieux mais impuissants comme celui de Sainte-Agnès ?

     

    Source : bvoltaire

  • Méditerranée : des migrants détournent le navire qui les a secourus et se dirigent vers l’Europe (MàJ : intervention de l’armée maltaise)

    Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2019

    28/03/19

    La marine maltaise a annoncé jeudi matin avoir pris le contrôle de l’Elhiblu I, un pétrolier ravitailleur détourné par les migrants qu’il avait secourus mardi soir au large de la Libye. « Le pétrolier, son équipage et tous les migrants sont actuellement escortés par la marine (…) pour être remis à la police pour des investigations« , a ajouté la marine, précisant que le navire était attendu à Malte vers 8H30 (7H30 GMT).

    La Provence


    27/03/19

    Des migrants recueillis à bord d’un pétrolier ont détourné le navire et mis le cap sur Malte après avoir appris qu’ils retournaient en Libye. Une action «criminelle» menée par «des pirates», selon le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini. Les garde-côtes maltais sont prêts à intervenir.

    L’équipage de l’Elhiblu1, un navire pétrolier appartenant à une société turque, croyait bien faire en venant en aide à 108 migrants mardi soir, en mer Méditerranée. Mais le lendemain du sauvetage, ceux-ci ont contraint le commandant de bord à changer de cap. Le bateau se dirigeait initialement vers la Libye et a fait demi-tour pour le Nord aux alentours de 17 heures mercredi, en direction de Malte. Cette affaire, révélée par le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini, a été confirmée par les autorités maltaises. «Ce ne sont pas des migrants en détresse. Ce sont des pirates. Ils ne verront l’Italie qu’à la jumelle», a fustigé le chef de file de la Ligue d’extrême droite. Ce dernier a fait savoir que le bateau ne serait pas autorisé à pénétrer dans les eaux italiennes s’il choisissait de faire route vers l’île de Lampedusa ou la Sicile.

    Aux alentours de 18 heures, le navire, qui bat pavillon à Palau (Océanie), est rentré dans les eaux maltaises. Il se dirigerait vers Malte ou Lampedusa, selon les garde-côtes. Les autorités de l’archipel ont indiqué avoir tenté de joindre le commandant de bord, sans succès. Elles ont précisé que l’armée interviendra dès que le bateau franchira la limite des eaux territoriales, situées à 38 kilomètres des côtes. «C’est la démonstration la plus évidente qu’on ne parle pas d’opérations de secours de pauvres naufragés fuyant la guerre mais d’un trafic criminel d’êtres humains géré de manière criminelle», s’est indigné Matteo Salvini.

    Le Figaro via fdesouche

     

     

  • Grand Paris : les migrants mineurs isolés délinquants chassés de Paris frappent désormais en banlieue et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2019

    Des bandes de jeunes voleurs étrangers étendent leur terrain de chasse, depuis Paris, à l’ensemble de l’Ile-de-France. Très certainement téléguidés par des donneurs d’ordre restés dans leur pays.

    (…)On les appelait les enfants des rues du XVIIIe arrondissement, mais bon nombre de ces jeunes à la dérive squattent désormais un immeuble de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Depuis le début de l’année, ces mineurs marocains ou algériens, pour la plupart toxicomanes et violents, spécialisés dans les cambriolages et les agressions dans les transports, ont changé de stratégie. Jusqu’ici, ces jeunes gens, apparus fin 2016 dans le quartier de la goutte d’or, se regroupaient et « oeuvraient » dans la capitale.

    « Ils prennent le RER ou le train et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs »
    « Depuis l’automne dernier, une augmentation significative des délits perpétrés en banlieue par ces jeunes est clairement perceptible », précise un policier parisien. Durant les neuf premiers mois de l’année 2018, en ce qui concerne les seuls cambriolages commis par ces mineurs isolés, 57 % des faits étaient répertoriés dans Paris intramuros, le reste en banlieue. En octobre et novembre, le phénomène s’est inversé. 88 % de passages à l’acte ont eu lieu en petite couronne.

    La grande couronne parisienne n’est pas non plus épargnée. « Ils prennent le RER ou le train par groupes de trois et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs pour leur voler leurs téléphones portables ou des sacs à main, précise un gendarme. Au palais de justice de Versailles dans les Yvelines, le tribunal pour enfant et la section mineurs du parquet gèrent au moins trois cas par semaine avec une première difficulté : connaître leur âge réel car lorsqu’ils sont arrêtés ces voleurs, souvent connus sous plusieurs allias, disent tous être âgés de 16 ans.

  • L’État veut mobiliser 16.000 logements pour les migrants en 2019

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2019

    Par  le 14/03/2019 

    L’Etat compte mobiliser 16 000 logements pour des réfugiés en 2019, un objectif «ambitieux» et destiné à favoriser leur intégration qui a été érigée en priorité par le chef de l’Etat, selon une circulaire du 4 mars.

    «Le relogement des réfugiés reste une priorité gouvernementale pour 2019», souligne cette circulaire aux préfets et directeurs régionaux d’administration, et signée des ministres de l’Intérieur, de la Cohésion des territoires et du Logement. En 2018 «plus de 8 700 logements ont été mobilisés», un résultat «encourageant» qui a permis de reloger «plus de 19.000 réfugiés». Mais «on estime à 19 000 le nombre de réfugiés» encore présents en centres pour demandeurs d’asile ou dans l’hébergement d’urgence. C’est pourquoi, compte tenu aussi de la hausse du nombre de réfugiés protégés par la France, il faut «amplifier cette dynamique» et l’«inscrire dans le temps», ajoute la circulaire.

    (…) Pour accompagner l’accès au logement une enveloppe de 11 millions d’euros sera reconduite.

    (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • Grèce : guerre à la Croix qui offense les migrants

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2019 

    Une bataille religieuse, culturelle, identitaire a lieu en Grèce depuis la crise migratoire. Y dresser une croix peut être aujourd’hui une cause d’arrestation. Spécialement à Lesbos, encore il y a peu toute imprégnée de sa culture hellène mais devenue ces temps derniers l’île symbole des migrants, là où ils débarquent en masse.

    La « guerre de la croix » dans cette petite île de la mer Égée se poursuit depuis des mois. Et témoigne de la volonté des autorités socialistes de modifier la culture du pays vers une sorte d’athéisme d’État. Qui équivaut en notre époque politiquement correcte à une soumission aux musulmans clandestins en interdisant l’érection de croix, offensante pour eux.

    L’arrivée massive de « réfugiés » est en train de changer l’approche culturelle vis-à-vis d’épisodes qu’il était auparavant impossible de condamner. Comme justement la construction d’une croix ! Ainsi récemment la police de Mitilène a décidé d’arrêter 33 personnes suspectées d’avoir construit une croix de métal et de l’avoir érigée proche du port d’Apelli et à côté d’un drapeau grec.

    Que n’avaient-ils pas fait ? En quelques heures, ce fut l’indignation des bien-pensants : certains ont essayé d’enlever la croix sans succès. Ensuite la police locale est arrivée et a entrepris d’arrêter le groupe de personnes soupçonnées d’« occupation abusive du sol public ». Faux prétexte puisqu’à Lesbos la bataille concernant la construction de croix est bien plus politique que légale. Nombreux sont les Grecs qui ont compris que l’érection de croix indispose les clandestins d’autres religions, en fait musulmans, qui arrivent sur l’île. L’ONG locale qui s’occupe des « migrants » ‘Coexistence et communication en Egée’ avait en effet demandé tout de suite l’enlèvement de la croix.

    « On dirait que nous avons dérangé beaucoup de personnes », raconte un des arrêtés.

    « Mais l’accusation est ridicule. S’ils abattent la croix, nous la dresserons à nouveau. Ils doivent comprendre qu’ici c’est notre terre, que c’est notre religion et la croix son symbole. »

    Ce qui est en cours en Grèce ce n’est pas l’occupation abusive du sol par une croix, mais une vraie guerre culturelle entre les Grecs et des clandestins de religion coranique arrivant abusivement à Lesbos !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info