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paris - Page 13

  • « Mur pour la paix » judéo-maçonnique : Marek Halter veut l’imposer à Paris à toute force

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2022

    Le « Mur pour la paix » est une « œuvre d’art » militante, élaborée par une certaine Clara Halter.
    « Constitué d’une charpente métallique habillée de bois, d’inox et de verre, il mesure près de 16 mètres de longueur, 13 mètres de largeur et 9 mètres de hauteur. Sur les grandes façades de verre est écrit le mot « paix » en 49 langues différentes. ».

    Très laid, il a été installé – aux frais de cet imbécile de contribuable – en l’an 2000, sur le Champ-de-Mars, entre l’Ecole militaire et la tour Eiffel avec lesquels il jurait grossièrement, saccageant la perspective d’un des lieux les plus visités de Paris.
    Il y a bien sûr eu des résistances, mais elles ont été vaincues par la mairie ainsi que par le poids politique du mari de « l’artiste » Clara Halter : Marek Halter, immigré juif polonais, militant mondialiste et « antiraciste » forcené (c’est-à-dire promouvant le génocide des peuples blancs par invasion et métissage) sentencieux et pompeux, « écrivain » dont le talent principal est d’être un membre actif d’un lobby puissant.

    Le Mur pour la Paix est directement inspiré du Mur des lamentations de Jérusalem puisque les visiteurs peuvent laisser un message de paix dans les fentes prévues à cet effet.
    Son architecture reprend aussi, et de manière éclatante, de nombreux éléments de la symbolique franc-maçonne.

    Un mur pour la Paix

    Son message mondialiste est-lui même tout à fait typique de cette force occulte.
    Vraiment, ce « Mur » coche toutes les cases, sur la forme (laideur, transgression par rapport au lieu d’installation…) et sur le fond.

    En 2020, cette horreur a enfin été démontée pour laisser place au Grand Palais éphémère, un peu moins laid et moins subversif.

    Elle devait être installée ailleurs dans Paris, mais personne n’en veut. Alors Marek Halter tape du point sur la table :

    « Deux ans et demi après son démontage du Champ-de-Mars, le monument attend toujours un nouveau lieu. L’écrivain Marek Halter attaque la Ville en justice pour non respect de son contrat

    […] Sa reconstruction est un véritable chemin de croix pour le seul véritable défenseur du monument si symbolique, l’écrivain Marek Halter, veuf de l’artiste disparue il y a quatre ans. À tel point qu’il a décidé d’attaquer la Ville en justice. « On m’a fait accepter le démontage en promettant que l’œuvre serait très vite reconstruite ailleurs, et la Ville a signé un contrat en ce sens, le 5 novembre 2019 », rappelle-t-il avec une précision qui laisse augurer de la bataille à venir.

    Sauf que dans cette histoire sans fin, chaque piste de nouveau lieu a suscité plus de hargne que d’enthousiasme. Toutes ont capoté après avoir entraîné pétitions, remous jusqu’au Conseil de Paris, et déferlement de critiques.
    « Je suis malheureux de tout cela », admet aujourd’hui Marek Halter, en évoquant l’immobilisme qu’il perçoit du côté de la mairie de Paris, son soutien historique et co-financeur avec l’État du remontage du monument, où le mot « paix » est gravé en 49 langues. « On a cherché d’autres endroits, mais à chaque fois on a manqué de bonne volonté », déplore-t-il. Le dernier en date, sur la place de Fontenoy, « chez » Rachida Dati dans le VIIe, a essuyé un nouveau tir nourri de la maire d’arrondissement. Exit donc la place de Fontenoy. Exit aussi le quartier de l’Arsenal (IVe), ou encore l’autre bout de l’avenue de Breteuil…
    « Il faudrait un peu de courage. Rappelons-nous les manifestations contre la tour Eiffel, les critiques contre la pyramide du Louvre… Aujourd’hui nous en sommes fiers ! Si j’abandonne la pression aujourd’hui, dans un an on sera au même point », estime l’écrivain, qui garde l’espoir d’inaugurer le mur pour la paix le 27 janviers 2023, jour anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz.

    De son côté, la Ville ne commente pas la flèche judiciaire mais affirme que « l’étude des sites alternatifs est toujours en cours afin de trouver un lieu faisable techniquement qui convienne à Marek Halter ». (source Le Parisien)

    Ce Marek Halter a tous les culots…
    Il oublie que le monument avait été installé pour une durée de 4 mois…
    Les Halter et leurs comparses ont floué les Parisiens en s’engageant pour une courte durée et ont finalement défiguré la capitale pendant 20 ans.
    Pour couronner le tout, le Mur a été installé dans l’illégalité, érigé sans permis de construire, comme Halter le reconnaître lui-même en 2020. Mais bon, ces gens-là se croient tout permis. Et ils n’ont pas complètement tort.

    PS : en 2011, est créée l’Association pour la pérennisation du Mur pour la paix au Champ-de-Mars (APMPCM). Notez la liste d’une partie de ses soutiens : Jean-François Copé, Lionel Jospin, Jean-Pierre Raffarin, Ivan Rioufol (oui), Audrey Pulvar, SOS Racisme, la Fondation Abbé-Pierre, la Licra, le CRIF, le CRAN, Christofle (le fabricant de couverts).

     

    Source : contre-info

  • Paris : à 10, 12 et 13 ans, des Bosniaques volent le portefeuille d’un magistrat dans le RER

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2022

    Paris : à 10, 12 et 13 ans, ils volent le portefeuille d’un magistrat dans le RER

    Vol à la tire à la station Auber. Trois très jeunes bosniaques, âgés de 10, 12 et 13 ans ont été interpellés ce mercredi après-midi sur la ligne du RER A après avoir dérobé le portefeuille d’un conseiller de la Cour des comptes, âgé de 62 ans.

    Il est environ 14 heures dans cette rame qui file en direction de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Le conseiller est discrètement approché par ce trio de voleurs, composé de deux jeunes filles et d’un gamin placé dans un foyer de l’aide social à l’enfance. Les pickpockets font les poches de l’énarque et s’emparent de son portefeuille qui contient ses papiers d’identité et sa carte bancaire. (…)

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Paris : Braquage à main armée d’une boutique Chanel, rue de la Paix, plusieurs suspects en fuite (MàJ : Montant du préjudice évalué autour de 2 M€)

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2022

    Une boutique Chanel située rue de la Paix à Paris a été braquée par plusieurs personnes ce jeudi, Les cambrioleurs portaient au moins une arme à feu. Ils ont pris la fuite sur des deux-roues. Aucun blessé n’est à déplorer.

    Ce jeudi après-midi, vers 15 heures, un vol à main armée a été commis dans une boutique Chanel rue de la Paix à Paris. Les suspects ont pris la fuite sur des deux roues. Selon la préfecture de police, aucun blessé n’est à déplorer. 

    Le montant du préjudice n’est pas encore connu. “La brigade de répression du banditisme se rend sur place”, a communiqué la préfecture de police. Le parquet de Paris confirme qu’une enquête a été ouverte pour chef de vol à main armée.

     

    Une vidéo d’un amateur montre quatre individus.

    France Bleu

    Le montant du préjudice est évalué autour de 2 millions d’euros.

  • Paris IXe : un bâtiment inoccupé investi par des “sans-papiers”, un lieu qui a vocation à être «l’ambassade des immigrés» selon le collectif de soutien

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2022

    Plusieurs dizaines de sans-papiers et leurs soutiens ont investi des locaux inoccupés dans le 9e arrondissement de Paris, lundi 18 avril, afin de réclamer des droits pour tous, à l’initiative du collectif La Chapelle debout, a constaté l’AFP. Quelques membres des forces de l’ordre, venus peu après l’arrivée des militants, ont observé l’occupation depuis la rue.

    Les migrants et militants soutenant les sans-papiers sont entrés dans d’anciens bureaux, vides, rue Saulnier, ont occupé les étages et déployé une banderole sur laquelle on pouvait lire «Non au racisme ! Égalité» ou encore «Migrants’ life matter». Dehors, une vingtaine de militants d’Extinction Rebellion étaient venus les soutenir.

    Abouakar (prénom d’emprunt), 36 ans, originaire de Mauritanie, sans-papiers en France depuis trois ans, a expliqué à l’AFP combien «c’est dur» d’être «dans la rue», «sans travail», dans la «débrouille». «Soutenez notre lutte !», a-t-il lancé. Ce lieu a vocation à être «l’ambassade des immigrés», a expliqué Nestor (prénom d’emprunt), membre du collectif La Chapelle debout. «L’idée est que les gens à la rue puissent avoir un toit sur la tête et qu’ils s’organisent», afin d’obtenir des droits, a-t-il dit, regrettant les années «perdues» dans «des procédures qui n’aboutissent pas».

    «En tant que collectif qui lutte pour les papiers et les logements pour tous, on est très heureux que les Ukrainiens reçoivent ça. On dit même ‘la preuve par l’Ukraine !’. C’est possible en deux semaines de mettre tout un système d’hébergement, de donner des papiers à tout le monde, de donner des transports gratuits pour tout le monde», ajoute Nestor. «On espère que ça va ouvrir la porte» à tous, a-t-il affirmé, rappelant le cas de Somaliens, Érythréens, Éthiopiens, «qui ont fui des conflits» ou «des famines».  […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Paris (15e arr.) : l’église orthodoxe russe Saint-Séraphin-de-Sarov détruite par un incendie

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2022

    La minuscule église orthodoxe Saint-Séraphin-de-Sarov, nichée dans un jardin bien caché de la rue Lecourbe à Paris (XVe), a disparu dans les flammes en milieu d’après-midi ce dimanche, ravagée en quelques minutes, heureusement sans faire de victimes.

    Une cérémonie aurait dû s’y tenir ce dimanche après-midi. Sa structure en bois ne pouvait résister, ni son exceptionnelle collection d’icônes et peintures. Le sinistre ne s’est en revanche pas propagé à l’atelier voisin, ni à la bâtisse principale du lieu, une maison du XVIIIe siècle.

    Depuis la fin de ce dimanche après-midi, les experts du laboratoire central de la police judiciaire tentent de déterminer l’origine de l’incendie, survenu peu après 16 heures. Les pompiers ont évacué trois personnes, des prêtres sains et saufs mais sous le choc. S’il est encore impossible de déterminer s’il s’agit d’un accident ou d’un acte malveillant, le contexte actuel de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et les précédents incidents visant la communauté russe dans la capitale, posent inévitablement question.

    (…) Le Parisien via fdesouche