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paris - Page 15

  • Paris : la Maison russe des sciences et de la culture visée par un projectile incendiaire

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    En pleine guerre entre l’Ukraine et la Russie, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris (16e arrondissement) a été visé par un jet d’un « engin incendiaire » qui s’est écrasé contre la grille du bâtiment, sans faire de victime, selon une source policière dans la nuit du 6 au 7 mars. Les policiers alertés par un agent de sécurité de l’établissement, ont retrouvé « des morceaux de verre et du liquide sur le sol » et constaté qu’un panneau d’affichage a été « légèrement noirci et fondu », selon cette source. Après avoir signalé une « attaque », La Russie a exigé de la France la protection de ses représentations diplomatiques « qu’elles assurent la sécurité adéquate de nos représentations officielles », a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, sur son compte Telegram. Le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une enquête ce lundi pour « dégradation par moyen dangereux pour les personnes » et confiée au commissariat du 16e arrondissement.

    Le site Internet de la « Maison russe » annonce en français que des événements prévus sont reportés « à une date ultérieure » et que « pour des raisons administratives », l’établissement est « temporairement fermé ».

    www.20minutes.fr via fdesouche

  • Paris : des tags anti-Poutine découverts sur la cathédrale orthodoxe russe de la Sainte-Trinité

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2022

    Une enquête de police a été ouverte. C’est la deuxième fois en quelques jours que pareille dégradation est commise.

    Des caractères cyrilliques géants en rouge, à hauteur d’homme, et d’autres en français, de l’ordre de l’insulte, sur fond de politique. Ce lundi matin, en pleine guerre entre la Russie et l’Ukraine, des tags anti-Poutine ont été découverts sur les murs de la cathédrale russe de Paris.

    Cette cathédrale de la Sainte-Trinité, flanquée de son centre culturel, signée de l’architecte Jean-Michel Villemotte, construite sous l’impulsion d’Alexis II, patriarche de Moscou, et du président Vladimir Poutine, avec le soutien de Nicolas Sarkozy, a été livrée il y a cinq ans, en 2016. Les Parisiens connaissent bien ses bulbes dorés au look byzantin, symboles des églises orthodoxes, qui se détachent à côté de la tour Eiffel, dans le ciel du quai Branly, au niveau du pont de l’Alma (VIIe).

    Le Parisien via fdesouche

  • Paris : un agent de la sûreté RATP se prend un coup de couteau sur le quai du métro par un migrant algérien

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2022

    Paris : un agent de la sûreté RATP se prend un coup de couteau sur le quai du métro

    Ce jeudi, le jeune agresseur était toujours en garde à vue. Et les enquêteurs visionnaient les images de vidéosurveillance de la RATP afin de connaître le déroulement précis des faits.

    Mercredi soir, peu avant 19 heures, à la station de métro de la Porte de Bagnolet (XXe), trois agents de sécurité du GPSR (groupe de protection et de sécurité des réseaux) de la RATP, qui étaient hors service, ont voulu intervenir alors qu’une scène de violences se déroulait sur le quai de la ligne 3, en direction de Levallois.

    Pour des raisons encore obscures, les choses ont dégénéré et l’agresseur a planté son couteau dans la cuisse d’un des agents. Il a tout de même été maîtrisé, désarmé et menotté. Les agents de la RATP ont alors appelé la police. Une patrouille de la brigade des réseaux franciliens est intervenue.

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Paris : 40 % des cafés ont disparu en vingt ans

    Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2022

    Selon une étude de la Chambre de commerce, le nombre de cafés dans la capitale et en petite couronne a chuté. Pourtant symboles de l’art de vivre à la française, ils sont passés de 1907 en 2002 à 1410 aujourd’hui.

    L’expresso du matin, le jambon-beurre, le demi, l’apéro — sans oublier les conversations de comptoir — sont-ils en voie de disparition ? Dans la capitale mondiale des cafés, c’est en tout cas devenu une denrée de plus en plus rare. À Paris et en petite couronne, le nombre de cafés a baissé de 40 % ces vingt dernières années, d’après une étude du Crocis (Centre régional d’observation du commerce). On parle ici des débits de boissons qui ne disposent pas d’un tabac. Dans la capitale, ils sont passés de 1907 en 2002 à 1410 aujourd’hui, soit un établissement pour 1400 habitants. Même si la tendance est à la baisse presque partout, certains arrondissements sont plus touchés que d’autres.  […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Paris (75) : Les dirigeants de l’association d’aide aux clandestins « Vies de Paris » jugés pour traite, trafic d’êtres humains et agressions sexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2022

    Cette association est pointée du doigt. Le président de Vies de Paris, Ronald Désir, et deux autres membres, sont accusés de « travail dissimulé » et de « traite des êtres humains », à la suite de 51 plaintes. Ils auraient employé des clandestins de façon dissimulée, en leur imposant un rythme de travail intolérable, des pressions et humiliations. Ils risquent une peine pouvant aller jusqu’à sept ans de prison et 150 000 euros d’amende. Certaines plaignantes ont également indiqué avoir été victimes d’agressions sexuelles, voire de viol, de la part de Ronald Désir. Ce vendredi 21 janvier, le procès aura lieu au tribunal judiciaire de Paris. Et Libération s’est penché sur cette affaire de près

    Valeurs Actuelles

    Quand elle décide de venir vivre à Paris en 2018, Kenza (1) est confrontée à un problème de taille. En situation irrégulière en France, cette mère de famille maghrébine – elle ne souhaite pas préciser son pays d’origine – entreprend des démarches administratives mais elle n’a pas d’adresse où recevoir son courrier. Un ami lui recommande une association, «Vies de Paris», qui pourrait l’aider. Cette structure est bien connue dans la capitale : elle prend en charge la domiciliation de personnes sans papiers, comme Kenza. «C’est là-bas que j’ai rencontré M. Ronald Désir, le président. Il m’a tout de suite proposé du travail. Il m’a dit que c’était une association agréée, qui travaillait pour l’Etat français. Il m’a expliqué que ça pourrait permettre de me régulariser», explique la trentenaire à Libération.

    (…)

    Selon les éléments de l’enquête que nous avons pu consulter, les caisses de l’association étaient en effet bien remplies, notamment grâce à des prestations vendues «quasi exclusivement à [des] personnes en situation irrégulière». Parmi ces activités exercées «à titre lucratif […] et payées en espèces», outre la domiciliation, on trouve aussi la délivrance de formations et de l’«assistance juridique» – facturées jusqu’à 1 800 euros. «Certains conseils juridiques pour accéder à la régularisation étaient délivrés par des sans-papiers eux-mêmes», note Marilyne Poulain, membre de la direction confédérale de la CGT qui a accompagné certains plaignants. «On n’avait pas l’argent pour payer ces formations, mais on nous assurait qu’il fallait la faire parce que ça serait un moyen de trouver du travail ou d’obtenir un titre de séjour. L’association nous demandait de payer 500 euros et on nous disait que si on devenait bénévole, on n’aurait pas besoin de payer le reste de la somme», relate de son côté à Libération Abdel O., un Béninois de 49 ans.

    Libération