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paris - Page 17

  • Une « Maison des coursiers » financé via une subvention de la ville de 35.000€, ouvre dans le XVIIIe à Paris pour accueillir et aider les livreurs

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2021

    C’est un lieu unique qui vient d’ouvrir à Paris, dédié aux livreurs à vélo. Ces travailleurs précaires peuvent depuis peu, entre deux courses, faire une halte à la Maison des coursiers, au 70 boulevard Barbès, dans le XVIIIe arrondissement de la capitale.

    C’est l’aboutissement de près d’un an de travail. L’idée a en effet été lancée au mois de novembre 2020 par le groupe communiste en conseil d’arrondissement du XVIIIe, face au constat que les plates-formes de livraison (Uber Eats, Deliveroo, Just Eat…) «n’offrent même pas aux livreuses et aux livreurs un abri pour se reposer, pour se mettre au chaud, même pour aller aux toilettes».

    Une subvention de la Ville de 35.000 euros

    Le lieu, constitué d’un espace commun de 125 m2 et de trois bureaux, est pour l’heure ouvert seulement le week-end, entre 12h et 19h, avant de passer à quatre jours par semaine à partir de janvier. Gérée par l’association CoopCycle, la Maison des coursiers offre, en plus d’un lieu de repos où déjeuner ou recharger son téléphone, une aide administrative et une permanence syndicale. Les livreurs, en particulier sans-papiers, peuvent notamment y être informés de leurs droits et obtenir une aide juridique. Pour ceux qui le souhaitent, y est également proposé un accompagnement pour trouver un emploi de livreur salarié dans une coopérative ou en insertion-emploi, voire pour monter sa propre structure ou rechercher un travail dans un autre domaine.

    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Paris : Colette, 88 ans, ancienne danseuse de l’Opéra de Paris, tabassée à mort sous les yeux de son petit-fils de 10 ans (MàJ : 2 migrants «mineurs» renvoyés devant la cour d’assises)

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2021

    fdesouche

    06/09/2021

    Cette ancienne danseuse de l’Opéra de Paris avait été agressée en 2017 dans le hall de son immeuble à Paris (IIIe) pour son sac à main, avant de décéder des suites de ses blessures. Ses agresseurs présumés, deux mineurs non accompagnés, contestent les faits.

    C’est une histoire tragique. Colette Even, ancienne danseuse de l’Opéra de Paris, était en pleine forme avant de croiser le chemin de deux adolescents drogués et violents qui s’en sont pris à elle, sous les yeux de son petit-fils de 10 ans. Ces deux mineurs non accompagnés (MNA) viennent d’être renvoyés devant la cour d’assises des mineurs de Paris pour vol avec violence ayant entraîné la mort et recel de vol.

    (…)

    Le Parisien


    20/09/2017

    Des coups de poing et des coups de pied. Voilà les violences que deux (très) jeunes hommes n’ont pas hésité à infliger à une dame de 88 ans… pour lui dérober son sac à main.

    La scène s’est déroulée samedi soir, vers minuit, dans la rue des Minimes (IIIe) où la victime, de retour d’une fête de famille, rentrait avec son petit-fils âgé de 9 ans. L’octogénaire, qui avait chuté au sol et avait brièvement perdu connaissance, a dû être hospitalisée pour une fracture du fémur.

    (…) La famille de la victime tient à la disposition des enquêteurs le portable volé qui leur a été restitué et avec lequel les agresseurs avaient fait… un selfie.

    Le Parisien

  • « C’est comme ça tous les jours » : un marché clandestin exaspère les habitants du 13e arrondissement de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2021

    REPORTAGE – Principalement issus de la communauté Rom, des dizaines de vendeurs à la sauvette écoulent des objets récupérés ou volés à la sortie du métro «Porte de Choisy».

    Un marché clandestin installé en plein Paris, au vu et au su de tous. À la sortie du métro «Porte de Choisy», dans le 13e arrondissement, une bonne trentaine de vendeurs à la sauvette écoulent leurs marchandises, installées sur des draps à même le sol, presque chaque jour. Impuissants, les riverains assistent à cette occupation illégale de l’espace public depuis l’été 2020.

    «C’est comme ça tous les jours. Ce genre de problèmes n’est pas réservé au nord de Paris», déplore un riverain, la soixantaine. «Les flics interviennent régulièrement mais ils reviennent tout de suite», poursuit-il. «Ils arrivent très tranquillement tous les matins. La police arrive vers 13h, ils remballent et puis ça recommence le lendemain», abonde un autre habitué du quartier d’un ton fataliste. «Ce marché fait fuir ma clientèle, c’est révoltant», constate de son côté un commerçant, désabusé.

    Une cour des Miracles

    Étendu sur une centaine de mètres, ce marché sauvage est parfois très fréquenté.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Paris : le “Collectif réquisitions” réclame de l’alimentaire “hallal” pour nourrir les migrants qui occupent la Place des Vosges

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2021

    Source : fdesouche

  • Paris se dote d’une police municipale après plus de 40 ans de débats et face à la montée de la ­délinquance

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2021

    04/06/2021

    Après des années d’atermoiements et face à la montée de la ­délinquance, la maire de Paris, Anne Hidalgo a fini par se rendre à l’évidence : il faut créer une police municipale dans la capitale. Une promesse de campagne qui est devenue réalité mercredi soir, au Conseil de la ville. Le projet, défendu par son adjoint à la sécurité Nicolas Nordman, a été adopté à 114 voix pour (PS, LR, MoDem, LREM…) et 30 contre (PCF, EELV, Génération.s, Insoumis). « Une décision historique », saluée en séance par l’édile parisienne alors que « la police municipale est en France une évidence du quotidien ». Toutes les grandes villes en disposent d’une.

    […]

    Craignant un désengagement de la police nationale, écologistes et communistes ont voté contre. « Tous les maires communistes qui ont mis en place une police municipale m’ont confirmé que ces créations entraînaient un retrait de l’État dans ses missions de sécurité », regrette Nicolas Bonnet-Oulaldj (PCF).

     

    Le Figaro


    08/11/2020

     5.000 policiers municipaux seront déployés à Paris d’ici à 2024. La maire de la capitale Anne Hidalgo a refusé d’armer ces futurs agents, qui seront en revanche dotés de bâtons “Tonfa”, pour lutter contre “les incivilités qui pourrissent la vie quotidienne des Parisiens“, a précisé l’adjoint à la maire en charge de la Sécurité.

    Ils seront 5.000 d’ici 2024, formés dans une école parisienne, dotés de bâtons “Tonfa” pour lutter, notamment, contre les incivilités: la police municipale à Paris, voulue par Anne Hidalgo, doit être lancée en 2021 après l’adoption attendue d’une proposition de loi sur la sécurité. Le texte, porté par les députés LREM Jean-Michel Fauvergue et Alice Thourot, sera débattu à partir du 17 novembre à l’Assemblée nationale. En attendant, le principe même d’une police municipale non armée à Paris – souhaitée depuis 2018 par Anne Hidalgo et à laquelle le gouvernement est favorable – a déjà été adopté mercredi en commission. […]

    Cette police sera à l’image des Parisiens” avec une représentativité des “origines sociales” notamment, et “paritaire entre les hommes et les femmes“, assure Nicolas Nordmanl’adjoint à la maire de Paris en charge de la Sécurité. […]

    La police municipale parisienne doit jouer un rôle pacificateur“, estime l’édile, “c’est une police qui connaîtra les commerçants, les acteurs du quartier, qui pourra intervenir pour pacifier. Et la police nationale gardera son rôle dans tout ce qui est lutte contre le grand banditisme, le terrorisme, les trafics de stupéfiants“. Mais pour Fabrice Durix, agent de surveillance de Paris et délégué Unsa, “avoir un flocage, une tenue, mais sans armement, c’est faire de nous une cible“.

    Europe 1