Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021
paris - Page 18
-
Raymond Devos en riait, la ville de Paris l’a fait : 4 sens interdits
-
Paris classée ville la plus dangereuse de France devant Bobigny et Marseille
Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021
[…] Paris est effectivement, avec un nombre total de 314.530 crimes et délits en 2019 pour une population de plus de 2 millions d’habitants, la ville où le risque de crime ou d’agression est de 1 pour 7. Ce triste record la classe au premier rang des départements les plus dangereux de France.Se hisse à la deuxième position de ce classement peu glorieux Bobigny et le département de la Seine Saint Denis. […]
sur la troisième marche du podium de l’insécurité, Marseille […]
Lyon et Montpellier arrivent en 4e et 5e position […]
-
Témoignage d’un jeune Afghan arrivant à Paris : “j’ai eu un choc en découvrant tous les Noirs qu’il y avait. Je me suis trompé, j’ai pensé, je suis arrivé en Afrique, pas en France !”
Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2020
[…] Découverte : “Quand j’étais en Afghanistan, la France, pour moi, c’était la tour Eiffel et Paris, la reine des villes dans le monde entier. Arrivé à Paris, j’ai eu un choc en découvrant tous les noirs qu’il y avait. Je me suis trompé, j’ai pensé, je suis arrivé en Afrique, pas en France !”Il poursuit avec cette autre révélation : “En Europe, j’ai aussi été étonné par la liberté des femmes. En Afghanistan, elles sont toutes voilées et ne travaillent pas à l’extérieur. Je n’avais jamais vu de femmes sans voile ! […]
Son intégration en cours d’accomplissement, il la doit en partie à Marie : “Je n’ai pas été étonné de rencontrer des personnes généreuses comme Marie, conclut-il avec candeur, car je sais bien que les personnes gentilles existent, c’est normal “.
-
Crack à Paris : la Ville déterminée à ouvrir de nouvelles «salles de shoot»
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2020
La Ville de Paris est déterminée : il faut multiplier les lieux d’accueil pour ces accros à la « drogue du pauvre », qui seraient à peu près 5000 dans l’agglomération parisienne. Dans quelques jours, une grande consultation citoyenne sera lancée dans les quartiers concernés : les habitants seront sollicités sur la question.
Après deux réunions internes, la mairie doit rencontrer au début du mois de novembre les préfets de police et de région, Didier Lallement et Marc Guillaume, ainsi que l’ARS (agence régionale de santé). Objectif : lancer le projet, qui avait été autorisé par l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, de création de nouvelles salles de consommation de drogue, et de crack plus particulièrement.
« Notre but est d’atteindre les personnes qui se trouvent sur les scènes de toxicomanie », souligne Anne Souyris, adjointe à la santé de la maire (PS) de Paris, Anne Hidalgo.
Le Parisien via fdesouche
-
“Mineurs isolés” étrangers à Paris : Les riverains n’en peuvent plus. “Ils s’attaquent à tout le monde, ils cherchent une proie, même une petite vieille”
Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020
En Île-de-France, ils sont des centaines de mineurs isolés, pour la plupart venus du Maroc, à vivre de cambriolages et de vols à l’arraché. Le cas de l’agresseur au hachoir qui visait Charlie Hebdo relance le débat sur le statut de mineur isolé qui offre une protection légale non négligeable à des migrants qui fraudent sur leur âge dans de nombreuses situations. Certains perturbent la vie de quartier en multipliant les délits, la Goutte d’Or en est témoin.
Des jeunes, débarqués en 2016 des faubourgs de Tanger ou Casablanca, sapés de survêtements de marque, pochettes Louis Vuitton en bandoulière et coupes iroquoises provocantes, détonent dans le paysage. Ce ne sont pas toujours les mêmes, certains partent tandis que d’autres arrivent dans la foulée, mais le problème reste prégnant. Et cette année, le nombre de jeunes migrants délinquants interpellés pour des cambriolages et vols est en forte hausse.
“C’est tous les jours. Tous les jours, on voit des nouvelles têtes, ça vient, ça repart. Ils s’attaquent à tout le monde parce qu’ils sont drogués. Ils n’ont plus de cerveau, leur cerveau en est déconnecté. Ils font leurs aller-retour, dès qu’ils ont chopé quelque chose, ils se donnent rendez-vous et se partagent le butin. Et quand ils ne se le partagent pas, ils se mettent des coups de couteau, s’entretuent”, déplore le serveur d’un bar du quartier.
La voix d’un autre riverain, témoin quotidien d’actions crapuleuses, corrobore cette peur :“Ils se mettent au bout du pont, ils surveillent, cherchent une proie. Quand ils ont trouvé, ils attaquent. Et même une petite vieille, ils l’agressent pour lui piquer son collier. On l’a vu de nombreuses fois ça. Puis c’est des mineurs qui dorment dehors, ou alors ouvrent les voitures pour dormir dedans.”