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pays-bas - Page 2

  • Pays-Bas : les excuses officielles du gouvernement sur le passé esclavagiste du royaume suscitent la polémique

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Mark Rutte a présenté ses excuses pour le rôle de l’État néerlandais dans l’esclavage qu’il a qualifié de crime contre l’humanité.

    Le premier ministre des Pays-Bas Mark Rutte a présenté ce lundi 19 décembre lors d’un discours à La Haye les excuses officielles du gouvernement néerlandais pour le rôle de l’État néerlandais dans l’esclavage, qu’il a qualifié de crime contre l’humanité.

    «Aujourd’hui, je présente des excuses au nom du gouvernement néerlandais pour les actions de l’Etat néerlandais dans le passé: à titre posthume à tous les esclaves du monde entier qui ont souffert de cet acte. À leurs filles et fils et à tous leurs descendants», a déclaré Mark Rutte.

    Ce discours sur l’implication des Pays-Bas dans les 250 ans de traite d’êtres humains dans les anciennes colonies était très attendu. Au même moment, plusieurs de ses ministres étaient présents dans sept anciennes colonies pour «discuter» de la question avec les habitants. La volonté du gouvernement de présenter des excuses lundi, qui avait fuité dans la presse néerlandaise en novembre, suscitait depuis plusieurs semaines une vive controverse aux Pays-Bas et outre-mer.

    (…)

    Le premier ministre avait longtemps émis des réserves

    Les villes d’Amsterdam, Rotterdam, Utrecht et La Haye ont déjà officiellement présenté leurs excuses pour leur rôle dans la traite des esclaves. Des ministres néerlandais étaient lundi dans les îles des Caraïbes: Bonaire, Sint Maarten, Aruba, Curaçao, Saba et Saint-Eustache, et au Suriname.

    Mark Rutte a longtemps émis des réserves quant à la présentation d’excuses officielles, affirmant par le passé que la période de l’esclavage était trop ancienne et que des excuses attiseraient les tensions dans un pays où l’extrême droite reste forte, avant de finalement changer de cap. Un récent sondage avait indiqué qu’à peine 38% de la population adulte était en faveur d’excuses officielles.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Pays-Bas : Après le ministre de la Justice belge, l’héritière du trône et le Premier Ministre néerlandais menacés par la mafia marocaine

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Mocro Maffia (également orthographié Mocro-maffia), Mocro-oorlog et Mocro War sont les appellations génériques données aux organisations mafieuses marocaines, spécialisées dans le trafic de cocaïne et de drogue de synthèse et basées aux Pays-Bas et en Belgique.

    Wikipédia


    La pression s’accroît sur les personnalités néerlandaises, alors que dix-sept membres présumés de la « Mocro Mafia » sont actuellement jugés dans une enceinte ultrasécurisée de la banlieue d’Amsterdam.
    La princesse héritière néerlandaise Amalia, 18 ans, a été placée sous haute protection à la suite des menaces d’attentat et d’enlèvement qui ont été proférées à son encontre. Elle a quitté son logement d’Amsterdam pour vivre au palais royal Huis ten Bosch de La Haye et ne sort pour se rendre à l’université que sous forte escorte. Tous les regards se tournent vers la « Mocro Maffia », la mafia néerlandaise de la drogue, qui a aussi menacé récemment le ministre de la justice belge, Vincent Van Quickenborne, évacué vers une maison sécurisée où il a passé plusieurs jours avec sa famille après la révélation d’un possible enlèvement le concernant lui aussi.

    (…)

    Interrogé jeudi soir, le premier ministre, Mark Rutte, qui serait également ciblé par les criminels, a parlé d’une « terrible nouvelle, très violente, mauvaise pour notre pays ». Le chef du gouvernement a lui-même déjà fait l’objet de menaces à l’automne 2021. Après avoir refusé, il avait dû se résoudre à accepter une protection rapprochée à la suite de rumeurs d’un possible enlèvement ou d’un attentat. D’autres élus, ainsi que des journalistes et des magistrats, avaient également été menacés et protégés. L’assassinat, en juillet 2021, à Amsterdam, du journaliste d’investigation, Peter R. de Vries, très vraisemblablement victime de la Mocro Maffia, a eu l’effet d’un électrochoc. Auparavant, un avocat et le frère du témoin-clé dans un procès intenté contre des barons de la drogue avaient déjà été assassinés.

    (…)

    Dix-sept membres présumés de la mafia néerlandaise de la drogue sont actuellement jugés dans une enceinte ultrasécurisée de la banlieue d’Amsterdam, dans un climat extrêmement tendu. Le chef de ce groupe ultraviolent, Ridouan Taghi, a réagi, jeudi, par l’intermédiaire de son avocate, aux informations le désignant comme l’instigateur des menaces contre la princesse et le chef du gouvernement. Il a parlé de nouvelles « fausses, infondées, absurdes ».

    Le Monde via fdesouche

  • Les centres d’accueil surpeuplés depuis la guerre en Ukraine, les Pays-Bas ont décidé d’acheminer trois navires de croisière pour accueillir les migrants non-ukrainiens, quitte à « les laisser en pleine mer »

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2022

    Les centres d’accueil étant surpeuplés depuis la guerre en Ukraine, les Pays-Bas ont décidé d’acheminer des navires de croisière pour accueillir les migrants et les réfugiés, quitte à « les laisser en pleine mer ». Une décision qui choque.

    « Absurde. » C’est ainsi que les ONG décrivent la dernière décision du gouvernement hollandais en matière de logement des migrants et réfugiés. Les centres d’accueil étant surchargés, les Pays-Bas ont décidé de commander trois navires de croisière pour pallier le manque. Dès septembre, 3 000 personnes pourraient y trouveraient un logis. Comme l’a annoncé jeudi le secrétaire d’État à la Justice et à la Sécurité, Eric Van der Burg. Mais faute de port, les bateaux pourraient être laissés en pleine mer.

    Selon les autorités hollandaises, cette mesure vise à faire face à l’afflux de réfugiés ukrainiens – 60 000 recensés. Une situation qui choque le pays car depuis plusieurs semaines, de nombreux migrants et réfugiés doivent dormir à même le sol à l’extérieur de camps de réfugiés, notamment celui de Ter Apel, point de chute obligatoire pour toute demande d’asile.

    […]

     

    Pour le gouvernement, la solution se trouve donc non plus sur terre, mais sur la mer. Le premier navire doit arriver sous peu et être amarré dans le port de Velsen. Or les deux autres bâtiments font face à un problème de taille : aucun port ne veut les accueillir. Le port de Vlissingen, par exemple, l’un des seuls du pays assez grand pour accueillir ce type de navire, a refusé par « manque de soutien ». « Il y a plus d’aide pour les petits abris que pour les grands emplacements, comme un navire », explique la municipalité.

    Des navires pour les réfugiés non-ukrainiens

    Si le gouvernement a reconnu le problème du surpeuplement des centres d’accueil depuis le début de la guerre en Ukraine, il ne compte pas pour autant placer les réfugiés ukrainiens sur ces navires. Ce qui a remis de l’huile sur le feu, côté ONG et oppositions politique

    […]

     

    Le Progrès via fdesouche

  • Dictature sanitaire : aux Pays-Bas la police tire sur les manifestants

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2021

    La manifestation a tourné à l’émeute à Rotterdam, selon la police.

    Si les hôpitaux arrivent à saturation, la population arrive à l’exaspération. « Pères, n’irritez point vos enfants, afin qu’ils ne perdent pas courage » dans l’obéissance dit Saint Paul aux Corinthiens. Gouvernements n’irritez pas vos peuples de peur qu’ils ne se rebellent… L’irritation arrive à grands pas… et la rébellion avec.

    La situation devient maintenant complètement incontrôlable par les élites européennes qui tentent de maintenir en vie l’opération terroriste du coronavirus, désormais en train de mourir. Les peuples d’Europe commencent à ne plus accepter de vivre sous cette dictature oppressive.

    L’Europe est une énorme cocotte-minute surchauffée. Une seule légère augmentation de pression est susceptible de faire exploser la grogne.

     

    Cela commence aux Pays-Bas et pourrait se propager comme une trainée de poudre, plus vite que le petit coronavirus. Violences brutales et état d’urgence : les graves émeutes éclatent à Rotterdam dans la nuit du 19 au 20 novembre 2021 entre les manifestants contre la politique 2G (vacciné ou guéri) du gouvernement et les forces de l’ordre. Un policier a tiré des coups de semonce à balles réelles. Des hélicoptères de police et des canons à eau ont été utilisés. Les voitures ont été incendiées par endroits. Aucune information n’est encore disponible sur le nombre de blessés et de blessés graves.

    La police néerlandaise tire donc sur des citoyens au motif qu’ils n’acceptent pas d’être protégés de force contre un ‘péril infectieux’. « Quelqu’un peut m’expliquer en quoi tuer quelqu’un va mieux protéger sa santé? » s’interroge un spectateur. 

    « La police de Rotterdam a tiré plusieurs coups de semonce lors des émeutes sur le Coolsingel. La police anti-émeute était également en action pour chasser les émeutiers, a déclaré un porte-parole de la police. Des centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi soir au Coolsingel de Rotterdam. Ils ont protesté contre la politique dite 2G ciblée par le gouvernement (…) La manifestation a ensuite tourné à l’émeute », rapporte le quotidien hollandais Trouw.

    « L’atmosphère dans le centre-ville a changé rapidement et devient de plus en plus sombre. Il y a des gens qui se promènent avec des pieds de biche (…) Plusieurs voitures de police ont été gravement endommagées. Des vitres ont éclaté et une voiture a été incendiée. Les manifestants ont allumé de lourds feux d’artifice, plusieurs incendies ont éclaté et des panneaux de signalisation et des pavés ont été renversés. La police et les pompiers ont également été touchés », selon le journal Eindhovens Dagblad.

     

     

    Le Bild écrit :

    « Un hélicoptère de la police survole le centre-ville, observant la situation d’en haut. Les gens protestent contre la politique 2G du gouvernement. Des vidéos montrent des policiers tirant des coups de semonce. Un homme aurait été abattu. On ne sait pas encore s’il survivra à la nuit ».

    Le Bild a ensuite annoncé :

    « Selon le diffuseur néerlandais ‘NOS’, deux personnes ont été touchées par les services d’urgence. Cependant, les détails exacts ne sont pas clairs ».

    La police a fermé la gare centrale de Rotterdam et une station de métro, selon le journal De Telegraaf. Elle a également tiré à balle réelle sur deux manifestants hier soir à Rotterdam. La police de Rotterdam a confirmé que des coups de feu ont bien été tirés sur 2 personnes.

    Le maire de Rotterdam annonce 7 blessés par balles, le déploiement de 8 pelotons de policiers et de 400 policiers. 

    « Ce virus a radicalisé les ‘élites’ dans une dérive totalitaire ».

    La soviétisation au profit du grand capital de Davos est en marche. 

    Concluons avec ces mots d’Yvan Rioufol :

    « Bienvenue dans la prison de la Santé ! »

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Un médecin défenseur de l’euthanasie explique pourquoi il a révisé sa position

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2021

    Un médecin défenseur de l’euthanasie explique pourquoi il a révisé sa position

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    Il y a 20 ans, les Pays-Bas ont adopté une loi sur le “contrôle de l’interruption de la vie sur demande”, légalisant l’euthanasie. Parmi les partisans de l’euthanasie figurait le professeur Theo Boer, professeur d’éthique des soins de santé. Après son approbation, il a été membre de la Commission de contrôle néerlandaise pendant neuf ans, chargé de veiller à ce que la loi soit appliquée dans les délais. C’est à cette époque que le professeur Boer a commencé à réviser son point de vue sur l’euthanasie. Maintenant, il en parle à iFamNews :

    […] Avant l’adoption de la loi, l’euthanasie était déjà pratiquée dans des milliers de cas chaque année. La loi a rendu cette pratique plus transparente et a offert aux médecins une plus grande protection juridique. Mais elle a également introduit une nouvelle dynamique, dans trois sens. Tout d’abord, le nombre de cas est passé de 2 000 en 2002 à 7 000 en 2020 et continue de croître. Deuxièmement, il s’agissait de nouvelles pathologies. À l’origine, l’euthanasie était surtout possible si l’on souffrait de maladies incurables (cancer, maladies neurologiques), mais aujourd’hui, elle concerne aussi la polypathologie, la démence, les maladies psychiatriques, un certain nombre de handicaps et autres. Et troisièmement, les gens considèrent de plus en plus qu’il s’agit d’un droit, même si légalement ce n’est pas le cas. Cela met la pression sur de nombreux médecins.

    Y a-t-il eu un “moment clé” où vous avez changé d’avis ?

    Il n’y a pas eu un moment précis, mais pendant les années où j’ai travaillé à la Commission de contrôle, de 2005 à 2014, j’ai été témoin de ces évolutions et j’ai réalisé que, dans de nombreux cas, l’euthanasie n’était plus le dernier recours, mais une option par défaut. Je me suis rendu compte que la loi apportait une certaine stabilité mais introduisait aussi de nouvelles instabilités.

    Le nombre de citoyens néerlandais opposés à l’euthanasie a-t-il augmenté au fil des ans ?

    Oui et non. Je pense que de nombreuses personnes en sont venues à considérer l’euthanasie comme une partie normale des fonctions d’un médecin, au même titre que l’accouchement ou la chirurgie. Mais j’ai l’impression qu’une minorité considérable et croissante se pose une question teinte d’une certaine inquiétude : “Où cela va-t-il finir ?”.

    La “souffrance psychologique” est-elle aujourd’hui une raison suffisante pour demander l’euthanasie aux Pays-Bas ?

    Oui, et cela concerne environ 80 patients par an. Dans la plupart de ces cas, les procédures sont beaucoup plus longues que dans le cas d’une maladie physique. Le problème est double. Tout d’abord, il est rare que l’on sache avec certitude qu’un patient est sans espoir : après de nombreuses années de souffrance psychiatrique, certains patients se remettent sur pied et trouve l’équilibre et le bonheur. Deuxièmement, comment savoir si les souhaits du patient sont libres et bien informés ? De nombreuses maladies psychiatriques incluent, presque par définition, un patient qui souhaite mourir. […]

    Y a-t-il eu une diminution des cas d’euthanasie pendant la pandémie ?

    Seulement au début. Cela est en partie dû au fait qu’un acteur majeur dans ce domaine, le Centre Expert en Euthanasie (anciennement connu sous le nom de ” Clinique de Fin de Vie “), a cessé de pratiquer l’euthanasie à la mi-mars 2020, affirmant que l’euthanasie n’était pas un ” traitement prioritaire “. Cependant, le centre a repris ses activités en mai 2020 et, à la fin de l’année dernière, on a découvert que le nombre d’euthanasies était plus élevé que jamais. Je n’en connais pas les raisons, mais la solitude pendant le confinement peut avoir contribué à ce désir de mort.

    Est-il vrai qu’aux Pays-Bas, l’euthanasie a été étendue aux enfants de moins de 12 ans ?

    Formellement non. Toutefois, le gouvernement a publié des directives qui rendront l’euthanasie des enfants pratiquement possible, en ordonnant au procureur général de ne pas poursuivre les médecins qui euthanasient des enfants de moins de 12 ans, à condition qu’ils répondent à certains critères. Mais je ne suis pas sûr que le procureur général ” obéira ” à ces instructions du gouvernement.

    En Italie, certains font la promotion d’un référendum visant à légaliser l’euthanasie. Voulez-vous envoyer un message aux parlementaires italiens ?

    Ne vous attendez pas à ce que l’euthanasie contribue à réduire le nombre de suicides. Aux Pays-Bas, les cas ont considérablement augmenté au cours de la dernière décennie. Impliquer l’aspect médical le moins possible. Ne suivez pas l’exemple néerlandais. Cependant, le fait que le suicide assisté soit déjà possible en Italie, laisse à mon avis suffisamment de place à ceux qui insistent tragiquement pour avoir le droit de mourir.

    Source : lesalonbeige