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  • Dictature sanitaire : aux Pays-Bas la police tire sur les manifestants

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2021

    La manifestation a tourné à l’émeute à Rotterdam, selon la police.

    Si les hôpitaux arrivent à saturation, la population arrive à l’exaspération. « Pères, n’irritez point vos enfants, afin qu’ils ne perdent pas courage » dans l’obéissance dit Saint Paul aux Corinthiens. Gouvernements n’irritez pas vos peuples de peur qu’ils ne se rebellent… L’irritation arrive à grands pas… et la rébellion avec.

    La situation devient maintenant complètement incontrôlable par les élites européennes qui tentent de maintenir en vie l’opération terroriste du coronavirus, désormais en train de mourir. Les peuples d’Europe commencent à ne plus accepter de vivre sous cette dictature oppressive.

    L’Europe est une énorme cocotte-minute surchauffée. Une seule légère augmentation de pression est susceptible de faire exploser la grogne.

     

    Cela commence aux Pays-Bas et pourrait se propager comme une trainée de poudre, plus vite que le petit coronavirus. Violences brutales et état d’urgence : les graves émeutes éclatent à Rotterdam dans la nuit du 19 au 20 novembre 2021 entre les manifestants contre la politique 2G (vacciné ou guéri) du gouvernement et les forces de l’ordre. Un policier a tiré des coups de semonce à balles réelles. Des hélicoptères de police et des canons à eau ont été utilisés. Les voitures ont été incendiées par endroits. Aucune information n’est encore disponible sur le nombre de blessés et de blessés graves.

    La police néerlandaise tire donc sur des citoyens au motif qu’ils n’acceptent pas d’être protégés de force contre un ‘péril infectieux’. « Quelqu’un peut m’expliquer en quoi tuer quelqu’un va mieux protéger sa santé? » s’interroge un spectateur. 

    « La police de Rotterdam a tiré plusieurs coups de semonce lors des émeutes sur le Coolsingel. La police anti-émeute était également en action pour chasser les émeutiers, a déclaré un porte-parole de la police. Des centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi soir au Coolsingel de Rotterdam. Ils ont protesté contre la politique dite 2G ciblée par le gouvernement (…) La manifestation a ensuite tourné à l’émeute », rapporte le quotidien hollandais Trouw.

    « L’atmosphère dans le centre-ville a changé rapidement et devient de plus en plus sombre. Il y a des gens qui se promènent avec des pieds de biche (…) Plusieurs voitures de police ont été gravement endommagées. Des vitres ont éclaté et une voiture a été incendiée. Les manifestants ont allumé de lourds feux d’artifice, plusieurs incendies ont éclaté et des panneaux de signalisation et des pavés ont été renversés. La police et les pompiers ont également été touchés », selon le journal Eindhovens Dagblad.

     

     

    Le Bild écrit :

    « Un hélicoptère de la police survole le centre-ville, observant la situation d’en haut. Les gens protestent contre la politique 2G du gouvernement. Des vidéos montrent des policiers tirant des coups de semonce. Un homme aurait été abattu. On ne sait pas encore s’il survivra à la nuit ».

    Le Bild a ensuite annoncé :

    « Selon le diffuseur néerlandais ‘NOS’, deux personnes ont été touchées par les services d’urgence. Cependant, les détails exacts ne sont pas clairs ».

    La police a fermé la gare centrale de Rotterdam et une station de métro, selon le journal De Telegraaf. Elle a également tiré à balle réelle sur deux manifestants hier soir à Rotterdam. La police de Rotterdam a confirmé que des coups de feu ont bien été tirés sur 2 personnes.

    Le maire de Rotterdam annonce 7 blessés par balles, le déploiement de 8 pelotons de policiers et de 400 policiers. 

    « Ce virus a radicalisé les ‘élites’ dans une dérive totalitaire ».

    La soviétisation au profit du grand capital de Davos est en marche. 

    Concluons avec ces mots d’Yvan Rioufol :

    « Bienvenue dans la prison de la Santé ! »

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : les vœux de Jean-Luc Moudenc perturbés par des manifestants et des Gilets jaunes

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

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    Publié le  , mis à jour 

    Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole a vécu des vœux mouvementés, ce jeudi en fin de matinée, au palais des sports de la ville. Alors que l'élu présentait ses vœux comme chaque année à plusieurs milliers de fonctionnaires municipaux et métropolitains, une centaine de manifestants ont fait irruption dans la salle.

    C'est vers 11h30 que des manifestants qui défilaient à l'extérieur contre la réforme des retraites et des Gilets jaunes sont rentrés dans la salle et sont montés sur la scène où se trouvait Jean-Luc Moudenc aux côtés d'un autre élu, Henri De Lagoutine adjoint en charge du personnel, et le directeur général des services de la métropole.

    La police municipale de Toulouse est rapidement intervenue à l'aide de gaz lacrymogène. Puis les CRS et les gendarmes mobiles ont fait irruption pour déloger les manifestants. De nombreuses personnes sont sorties de la salle tandis que Jean-Luc Moudenc attendait que le calme revienne. Ce dernier a déploré cette action. "Lorsque je suis confronté à ce genre de situation, j'ai des principes : ne jamais céder reculer faiblir", a déclaré le maire de Toulouse.

    "La jovialité de ces vœux a été édulcorée et je peux comprendre que certains agents soient un peu découragés. Nous constatons un affaissement, un recul de l’autorité républicaine face à ceux qui font profession du désordre et qui nourrissent des principes contraires à ceux de la démocratie. Je leur ai proposé de prendre la parole en échange de sortir. Quel que soit le bord politique, je condamne  la violence. Un agent de la collectivité a été blessé et des portes ont été cassées", a ajouté Jean-Luc Moudenc.

    La rédaction
     
    Source : ladepeche