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pfizer - Page 3

  • Pfizer et Moderna : une efficacité en chute libre, fin de l’entourloupe ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2021

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    Alors qu’aux Etats-Unis, l’injection Pfizer contre le covid-19 vient d’être complètement approuvée, ouvrant la voie à l’obligation vaccinale pour tous, une étude américaine a dévoilé que les vaccins Pfizer et Moderna ont vu leur efficacité tomber de 91% à 66 % depuis l’apparition du variant Delta.

    Ces données proviennent d’une étude menée sur des milliers d’employés de centres de soins et d’hôpitaux dans six États, afin d’examiner les performances des vaccins en conditions réelles. Les participants sont testés chaque semaine pour détecter à la fois les infections symptomatiques mais aussi asymptomatiques. La quasi-totalité du personnel de santé vacciné avait reçu les sérums de Pfizer ou de Moderna. Entre décembre 2020 et avril 2021, l’efficacité des vaccins pour empêcher l’infection était de 91%, selon ces données publiées par les Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC), principale agence fédérale de santé publique du pays. Mais sur les semaines où le variant Delta est devenu dominant, c’est-à-dire où il était responsable de plus de 50% des cas selon le séquençage, l’efficacité est tombée à 66%.

    Les auteurs de l’étude préviennent toutefois que cette baisse pourrait n’être pas uniquement causée par le variant Delta, mais aussi par une efficacité s’érodant avec le temps.

    Inquiétant pour des nouveaux vaccins soi-disant indispensables et révolutionnaires !

    Suzi Feufollet

     

    Source : medias-presse.info

  • Vade retro, Vaccinas !

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    synthesenationale

    pfizer,vaccin

     

    La chronique de Philippe Randa

    La Grande-Bretagne est depuis le 2 décembre le premier pays au monde à autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer et BioNTech, basé sur une technologie innovante dite à ARN messager… ce qui a déclenché la colère de l’ancien Vice-Président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui estime, lui, que la pandémie est terminée et qu’elle peut donc être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement : « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains. »

    Sur le site Lockdown sceptics, il s’en prend tout particulièrement au SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique qui conseille le gouvernement du Royaume Uni et a notamment incité au funeste confinement : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7 % de la population l’a été. C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30 % des gens qui, au départ, sont déjà immunisés » (Déclaration peu reprise, sinon par le National Herald of India).

    Et d’ajouter : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30 % (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40 % d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité). Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28 % et 35 %, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît. »

    En France, un Français sur deux est opposé à la vaccination que nous a promis Emmanuel Macron pour la mi-décembre. Annoncée, certes, mais qu’on s’en réjouisse ou qu’on s’en inquiète, les annonces d’un gouvernement, c’est comme leurs promesses : elles n’engagent que ceux qui y croient…

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