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pédophilie - Page 2

  • Le politologue et président du Siècle Olivier Duhamel accusé de pédophilie

    Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2021

    Le politologue et président du Siècle Olivier Duhamel accusé de pédophilie

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    Dans « La Familia grande », publié au Seuil jeudi 7 janvier, la juriste Camille Kouchner (aujourd’hui compagne de Louis Dreyfus, président du directoire du groupe Le Monde) accuse son beau-père Olivier Duhamel d’avoir abusé de son frère jumeau quand ils étaient adolescents. Ce dernier valide au Monde le témoignage de sa soeur : « Je vous confirme que ce que ma sœur a écrit à propos des agissements d’Olivier Duhamel à mon égard est exact ». A l’époque, chez les Duhamel, défilait la gauche : le philosophe Luc Ferry, la productrice Fabienne Servan-Schreiber, le documentariste et historien Patrick Rotman et son frère Michel, le professeur Mario Bettati, théoricien du droit d’ingérence humanitaire, Janine Mossuz-Lavau, pilier de Sciences Po, mais aussi l’avocat pénaliste Jean Veil (dont Olivier Duhamel est désormais l’associé, au sein de son cabinet) et l’ex-ministre socialiste de la justice Elisabeth Guigou – future présidente de la commission sur les violences sexuelles commises contre les enfants… créée en 2020. Qui était informé ?

    La fille de l’ancien ministre Bernard Kouchner affirme que Olivier Duhamel, remarié à sa mère Evelyne Pisier, spécialiste de l’histoire des idées politiques, féministe résolument de gauche (partie à Cuba en 1964, elle a vécu une idylle de quatre ans avec Fidel Castro), décédée en 2017, aurait abusé de son frère, alors âgé de 13-14 ansLe Monde qualifie les faits d’inceste. Mais ne peut-on pas parler de pédophilie ? Les abus sexuels commencent vers 1988, quand Paula Caucanas-Pisier, la mère d’Evelyne, pilier du Planning familial et secrétaire générale de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité, se suicide à l’âge de 66 ans. Terrassée, Evelyne s’oublie s’oublie dans le vin.

    En 1977, Bernard Kouchner signait la pétition pro-pédophile de Gabriel Matzneff. Une dizaine d’années après, son fils de 13 ans aurait été victime d’actes de pédophilie de la part d’Olivier Duhamel. Qu’en pense Bernard Kouchner ?

    Olivier Duhamel coanime chaque samedi sur Europe 1 l’émission « Mediapolis » et commente l’actualité politique sur les plateaux de la chaîne LCI. On attend donc que Canteloup évoque le sujet sur Europe 1, mais, jusqu’à présent, il a toujours évité d’évoquer les ennuis judiciaires des chroniqueurs d’Europe1. On attend également que LCI se positionne sur le sujet. La chaîne info pourrait en profiter pour évoquer un autre de ses chroniqueurs, Daniel Cohn-Bendit, « le portedrapeau le plus éminent des pédophiles » selon un rapport officiel des Grünen (écolos allemands).

    Olivier Duhamel, ancien compagnon de route du Parti socialiste et député européen de 1997 à 2004, faisait partie, le 23 avril 2017, du cercle restreint réuni à la brasserie parisienne La Rotonde pour fêter la victoire d’Emmanuel Macron au premier tour de la présidentielle. En avril 2012, au cœur de l’affaire du Carlton de Lille, Olivier Duhamel avait signé dans Libération une tribune où il s’en prenait à ces « chiens » de journalistes, ces « procureurs des mœurs » qui s’acharnaient sur Dominique Strauss-Kahn… Le célèbre constitutionnaliste, par ailleurs président du Club Le Siècle, vient de démissionner de la Fondation nationale des sciences politiques.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pédophilie. Un procès demandé pour un Français accusé de récidive sous couvert d’humanitaire en Asie

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2020

    Par  le 23/05/2020

    En 2008, il part au Népal pour six mois. À son retour en France en 2009, il crée une association, « Philmy voyageurs solidaires », avec l’aide de membres de sa famille et de proches.

    Sur le blog de l’association, Philippe G. détaille les actions éducatives ou humanitaires envers les « populations les plus défavorisées » du Népal, du Cambodge, du Laos ou d’Inde.

    Mais derrière l’engagement humanitaire, il est accusé d’avoir fait subir des masturbations ou des fellations à de nombreux garçons d’une dizaine d’années, parfois de six ou sept ans, lors de douches ou en dormant la nuit entourés de plusieurs d’entre eux.

  • L’icône féministe Simone de Beauvoir abusait de ses élèves mineures avant de les rabattre sur le pervers Sartre

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Pour un public averti…

    Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi– et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.

    Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de ces mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?

    C’est cela le féminisme ?

    Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.

    Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.

    L’une d’entre elles, Bianca Lamblin, a décrit comment les deux dépravés ont abusé d’elle à l’âge de 16 ans dans son autobiographie intitulée Mémoires d’une jeune fille dérangée. C’est l’expression utilisée par Simone de Beauvoir pour la décrire avec un mépris hautain dans sa correspondance avec Sartre, rendue publique après sa mort. Choquée et humiliée par la duplicité de l’égérie de Sartre à son endroit, elle a écrit : « J’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goûtait avant de la refiler, ou faut-il dire plus grossièrement encore, de la rabattre sur Sartre. » Elle raconte que Sartre lui a déclaré en la souillant pour la première fois, dans un hôtel miteux, qu’il y avait pris le pucelage d’une autre fille la veille.

    Après l’invasion allemande en 1940, les deux complices d’agression sexuelle contre elle la fuient. Elle pense que c’est parce qu’elle est juive qu’ils ont déguerpi.

    Une autre victime du couple repoussant, Nathalie Sorokine, une lycéenne de 17 ans, fut elle aussi séduite par de Beauvoir pour le lit de Sartre. Ses parents ont porté plainte à la police. En 1943, de Beauvoir fut accusée de séduction de mineure. L’enquête criminelle n’ira nulle part. Mais Simone de Beauvoir perdra le droit d’enseigner en France.

    Conséquents dans leur perversion, Beauvoir et Sartre ont signé des pétitions en 1977 appelant à la dépénalisation de la pédophilie, dénonçant la condamnation de trois hommes pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 12 et 13 ans.

    Source via contre-info

  • « À l’inverse des affaires de pédophilie dans l’Église catholique, les violences sexuelles en milieu sportif restent peu médiatisées en France. »

    Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2019

    « À l’inverse des affaires de pédophilie dans l’Église catholique, les violences sexuelles en milieu sportif restent peu médiatisées en France. »

    Lu dans Le Télégramme :

    Après huit mois d’enquête dans le milieu sportif, Disclose dévoile 77 affaires marquées par des dysfonctionnements graves. Révélations sur une faillite du monde du sport qui a fait au moins 276 victimes, la plupart âgées de moins de 15 ans au moment des faits.

    Des rêves de podium brisés. De jeunes athlètes murés dans le silence. Des enfants traumatisés, n’osant plus courir, nager ou combattre. Des centaines de victimes démunies face à l’omerta, au déni et à l’ignorance de la grande famille du sport. Pendant huit mois, Disclose a enquêté sur les violences sexuelles en milieu sportif.

    Cette plongée inédite dans le monde fermé des clubs amateurs et professionnels démontre la faillite de tout un système, des associations sportives aux fédérations, jusqu’aux services de l’État. De 1970 à nos jours, notre enquête révèle que 77 affaires ont été marquées par des dysfonctionnements majeurs. Football, gymnastique, équitation, athlétisme mais aussi tir à l’arc, roller ou échecs… 28 disciplines sportives sont concernées.

    […] Parmi les failles mises au jour : l’absence de contrôle des éducateurs bénévoles, le maintien en poste d’encadrants sous le coup d’une procédure judiciaire ou déjà condamnés, le défaut de suivi sociojudiciaire et l’inaction de dirigeants ayant choisi d’étouffer le scandale plutôt que défendre l’intégrité de leurs licenciés. Au mépris des lois françaises.

    La récidive. L’enquête révèle un premier chiffre alarmant, mettant directement en cause le suivi judiciaire des délinquants sexuels. D’après nos données, près d’une affaire d’infractions sexuelles sur deux est un cas de récidive. Par récidive, nous entendons une répétition de faits à caractère sexuel, dans sa définition courante et non juridique. […]

    Le maintien en poste. Deuxième donnée inquiétante : dans 77 % des cas recensés, l’agresseur a soit poursuivi son activité malgré une procédure judiciaire en cours, soit retrouvé un poste dans le milieu sportif après une condamnation pour une infraction à caractère sexuel. Une situation qui augmente le péril de la récidive et fait courir des risques aux jeunes sportifs. Pourtant, un article de loi stipule précisément qu’une personne condamnée pour un crime ou un délit à caractère sexuel ne peut entraîner des athlètes ou encadrer une activité sportive. Il s’agit de l’article 212-9 du code du sport, un ensemble de lois et décrets applicables au domaine du sport. […]

    Le soutien donné à l’agresseur. Dans 18 affaires, le club, la fédération, la collectivité locale ou l’institution scolaire ont pris fait et cause pour l’agresseur. Une défense souvent accompagnée d’un mépris pour la parole des victimes, voire de tentatives d’intimidation. Des condamnations pour des faits de violences sexuelles ou des décisions de justice ont parfois été remises en cause, certains soutiens allant même jusqu’à invoquer l’erreur judiciaire.

    La négligence de signaux forts. Enfin, dans une dernière catégorie, nous avons recensé neuf affaires où des alertes, pas toujours de nature à être caractérisées sur le plan pénal, ont été prises à la légère avant que l’éducateur ne commette des agressions. Par exemple, un entraîneur passant la nuit seul dans une chambre avec un athlète. Ou un autre ayant pour habitude de prendre sa douche, nu, au milieu de ses élèves. Dans ces cas-là, les professionnels de la protection de l’enfance – brigade des mineurs et associations contre les violences sexuelles, recommandent d’alerter les autorités.

    La justice. Dans 53 % des cas, les défaillances viennent de la justice. Avec des situations qui interpellent : comment se fait-il qu’une personne condamnée pour une infraction sexuelle sur mineur ne fasse pas systématiquement l’objet d’une interdiction d’exercer auprès d’enfants ? Pourquoi le suivi sociojudiciaire ne dure-t-il parfois que quelques années ? Quels critères conduisent à ce qu’une condamnation pour des délits ou crimes sexuels disparaisse des différents extraits du casier judiciaire ?

    Les clubs et les fédérations. Viennent ensuite les clubs, à l’origine de dysfonctionnements dans 35 % des cas. Notre enquête révèle que les informations ne remontent pas toujours jusqu’aux fédérations, la préfecture ou la justice, souvent par volonté de protéger le club d’un scandale. […]

    L’entourage des victimes. Il arrive aussi que les familles des victimes elles-mêmes éprouvent une réticence à parler. La reconnaissance et l’attachement à l’égard de l’entraîneur peuvent être des freins à la dénonciation. « Dans l’Église, on parle d’une emprise morale, mais c’est pareil dans le sport », souligne Marie Mercier, rapporteuse de la mission d’information sur les infractions sexuelles sur mineurs mise en place par le Sénat en 2019.

    Les autorités. À l’inverse des affaires de pédophilie dans l’Église catholique, les violences sexuelles en milieu sportif restent peu médiatisées en France. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • « Humanitaire » : un ancien haut responsable de l’ONU condamné pour pédophilie

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2019

    Article publié le 15.08.2019

    La justice du Népal a condamné mardi un Canadien pour pédophilie. Peter John Dalglish, arrêté l'année dernière, écope de deux peines distinctes de 9 et 7 ans de prison. Deux peines pour deux victimes, de jeunes garçons de 12 et 14 ans au moment des faits.

    En apparence, John Dalglish était un parfait altruiste. Le Canadien fonde un réseau d'aide international pour les enfants des rues dans les années 1980, puis devient responsable d'un programme d'aide aux enfants du Népal, avant de prendre la tête du bureau Habitat des Nations unies en Afghanistan en 2015.

    Un travail récompensé en 2016, quand il est décoré de l'Ordre du Canada, l'une des plus importantes distinctions civiles du pays.

    Pendant son procès, John Dalglish s'est d'ailleurs appuyé sur ce passé d'humanitaire reconnu pour se défendre. En plus de nier les faits, le soixantenaire a assuré n'avoir qu'un but : œuvrer pour le bien-être des gens à travers le monde.

    Cet argument n'a pas convaincu les juges dans un pays qui tente de renforcer sa lutte contre les pédophiles étrangers. Ces dernières années, plusieurs condamnations emblématiques ont été prononcées, dont une contre un Français reconnu coupable de viol sur une dizaine d'orphelins népalais, il y a 10 ans.

    En plus des deux peines de prison, John Dalglish va devoir verser l'équivalent de 4 500 dollars à chacune de ses victimes, dont l'une était le fils d'un de ses domestiques. Il a promis de faire appel.

    Rfi.fr via lesobservateurs