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retraités - Page 2

  • L’IGNOMINIE DE CERTAINS SYNDICALISTES

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2019

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 24, 2019, 12:08

    ignominie,retraites,syndicats

    Avant de vous expliquer mon « dégoût » pour certains syndicalistes dans cette lutte contre la loi sur la retraite à points, il est important de rappeler ce qu’est une retraite par répartition.
    À la sortie de la dernière guerre mondiale et afin de ne pas laisser toute une génération qui, à un âge avancé, se retrouvait sans revenu, il a été décidé – et je le comprends – qu’une retraite leur soit payée et financée par la génération à venir, en capacité, elle, de travailler.
    C’est toujours le cas actuellement.
    Donc, pour ces « super privilégiés de la RATP et de la SNCF », qui s’arc-boutent sur leur retraite unique au monde, deux à trois fois supérieure à celles du Français moyen et surtout avec un départ en retraite 10 ans plus tôt, je confirme que ce sont leurs propres enfants qui seront mis à contribution pour les financer !
    Affirmer, comme l’a fait, avec d’autres, le responsable « Sud Rail », que son combat n’est pas pour lui, mais pour nos enfants et petits-enfants, c’est de l’ignominie.
    C’est exactement le contraire : l’entêtement de certains syndicalistes à faire perdurer une situation inadmissible, et même indécente, va pénaliser encore plus les générations à venir.
    Non contents de leur laisser une dette de bientôt 2 500 Mds€, à laquelle s’ajoutent au minimum 3 000 Mds€ supplémentaires pour les retraites de l’ensemble des fonctionnaires, ils veulent encore en rajouter une couche.
    Qui êtes-vous donc pour oser massacrer votre descendance pour satisfaire vos privilèges obtenus et maintenus par votre force de nuisance ?
    Qui êtes-vous donc pour vous donner le droit « d’emm … » une large population de travailleurs qui, eux, ne veulent qu’un revenu et une retraite honnêtement gagnés ?
    Qui êtes-vous donc pour détruire une industrie du transport qui est déjà en France en pleine déconfiture ?
    Qui êtes-vous donc, personnages arrogants, pour qui la France n’est là que pour que vous puissiez mieux la « niquer » ?
    Nous avons la chance aujourd’hui de pouvoir garder indéfiniment dans le « cloud » toutes les vidéos qui resteront la preuve de vos odieux chantages.
    J’espère que vos propres enfants vous les ressortiront lorsque vous arriverez à la retraite et qu’ils refuseront, avec raison, de vous la financer. Ce ne sera qu’un juste retour des choses !
    Je suis conscient que je ne vais pas me faire que des amis, mais j’assume.

     

    Source : les4verites

  • RETRAITES : QUELQUES PRINCIPES DE BON SENS

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2019

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 24, 2019, 12:48

    principes de bon sens,retraites,syndicats

    Alors que la France s’enfonce dans une grève absurde, dont les syndicats et le gouvernement sont conjointement responsables par leur incapacité à dialoguer et surtout à écouter ceux qu’ils prétendent représenter, je voudrais proposer quelques principes de bon sens pour une réforme des retraites qui soit autre chose qu’une énième réformette.
    Pour les « progressistes », rien n’existe entre l’individu et l’État. Mais il serait salutaire que les professions s’organisent et fixent leurs propres règles. L’État demeurerait, bien sûr, une instance d’équilibre et de cohésion nationale. Mais pourquoi devrait-il décider (toujours avec la pression de la démagogie électoraliste) que telle profession est pénible et que telle autre non ?
    S’il y avait une véritable démocratie sociale, nous en finirions avec ces syndicats irresponsables et si peu représentatifs.
    Au passage, rappelons que la plupart des grèves des dernières décennies étaient politiques, donc illégales – et qu’un gouvernement respectueux de la loi aurait dû faire condamner, voire dissoudre, les syndicats qui les ont organisées.
    Parlant de retraite, on parle beaucoup de solidarité intergénérationnelle. Celle-ci me semble la base de la cohésion nationale. Mais pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas ? Tout simplement parce que les prétendues « élites » ont fomenté une espèce de lutte des générations qui pousse la génération 68 à dire : « Après moi le déluge » et les générations ultérieures à dire : « Nous irons cracher sur vos tombes. »
    Il suffit de regarder le marché de l’emploi pour constater que cette haine artificielle cause à la fois le malheur des plus jeunes et celui des plus âgés.
    Il ne serait pourtant pas bien difficile d’aider à la transmission d’une génération à l’autre. En particulier, on pourrait remettre à plat la fiscalité du patrimoine qui force chaque génération à rêver que le monde naît avec elle. Dans une société civilisée, les plus âgés transmettent leur patrimoine matériel et immatériel et les plus jeunes assurent la subsistance de ceux qui les ont éduqués.
    Prétendre bâtir un système de retraite sans s’appuyer sur cette succession naturelle des générations est insensé.
    Je ne serais pas choqué qu’une solidarité de base assure aux retraités un revenu minimal. Il me semble monstrueux qu’un paysan, après avoir trimé 70 heures par semaine, pratiquement sans prendre de vacances, touche une pension de 600 euros. Que mes impôts servent à assurer un revenu décent à ceux qui travaillent pour nous nourrir me semblerait plus utile que de payer des millions de parasites !
    Cette solidarité nationale devrait reposer sur l’impôt plutôt que sur la répartition qui fait croire faussement que nos cotisations ouvrent droit à une retraite.
    Cependant, la solidarité ne suffit pas. Encourager à la capitalisation par la défiscalisation me semble, non seulement légitime, mais nécessaire. Cela responsabiliserait les citoyens et cela permettrait de relancer le capitalisme français qui agonise faute de capitaux.
    S’agissant des régimes spéciaux, personnellement, je ne suis pas scandalisé par le principe lui-même : à profession différente, situation différente. Mais je le suis par le fait que nous, contribuables, soyons sollicités pour abonder les régimes spéciaux de personnes – qui, par surcroît, nous pourrissent la vie !
    Enfin, mais j’en ai déjà abondamment parlé dans les précédents numéros, une politique familiale sérieuse devrait être un préalable à toute réflexion sur une réforme des retraites.
    En tout cas, il est urgent d’abandonner les réformettes technocratiques, pour proposer aux Français une véritable réforme de principe.

     

    Source : les4verites

  • Retraites : en voulant rassurer les militaires, Emmanuel Macron fâche les policiers

    Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2019

    Par  le 23/12/2019

    Alors qu’Emmanuel Macron, en déplacement en Côte d’Ivoire, a tenté vendredi de rassurer les militaires en leur assurant qu’ils n’étaient pas concernés par la réforme des retraites, les syndicats policiers, rattachés au même ministère, dénoncent une inégalité de traitement et menacent de nouvelles actions.

    De son côté, la ministre des Armées Florence Parly avait prévenu jeudi les représentants des gendarmes qu' »aucun sous-officier ne basculerait dans le régime universel ». Des déclarations qui ont provoqué la colère de syndicats de policiers qui dénoncent une réforme à deux vitesses au sein d’un même ministère. « C’est presque une déclaration de guerre vis-à-vis des policiers« , réagit sur Europe 1 Stanislas Gaudon, porte-parole du syndicat Alliance Police Nationale.

    « C’est quand même incroyable cette histoire. Les policiers gèrent 80% de la délinquance dans ce pays, sont soumis aux mêmes risques que les militaires et les gendarmes« , rappelle-t-il, avant d’interroger : « Nous faisons partie du même ministère. Comment peut-on faire deux traitements différents au sein d’un même ministère sur les mêmes missions ? » […] Et de prévenir : « Si on n’a pas de réponse favorable et rapide à notre demande, nous allons reprendre les actions comme l’absence de PV, les fermetures symboliques de commissariats, les contrôles renforcés« .

    msn via fdesouche

  • C'est très bien de se mobiliser pour les retraites.

    Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2019

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    Mais, au rythme où vont les choses et l'apathie des Français devant la submersion migratoire étant ce qu'elle est, seules deux questions vont finir par devoir être posées: quel sera la valeur du point dans la future République islamique de France et que prévoit la charia comme âge pivot?
    JFT.

     
    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
     
     
  • Retraites: les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2019

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    Après dix huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.


    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France