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  • Tarbes (65) : Abdel Kader O., condamné à 56 reprises depuis 1989, écope de quatre mois ferme et 1200 euros d’amende après un nouveau cambriolage

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Le 3 juin 2021, alors que Paulette est hospitalisée, son appartement est cambriolé à Tarbes. Le cambrioleur a forcé le volet roulant afin de s’introduire dans le domicile.

    Comme la résidence est équipée de caméras (…) Les enquêteurs n’ont aucune difficulté à reconnaître cet homme qui est connu des policiers. En effet, son casier judiciaire fait état de 56 condamnations entre 1989 et 2023 pour des vols, des vols aggravés et des tentatives de vols. Abdel Kader O. est alors interpellé et placé en garde à vue. Au départ, il dit qu’il n’est pour rien dans ce cambriolage avant de finir par avouer les faits. Abdel Kader O., qui est actuellement en prison, a été jugé par le tribunal correctionnel de Tarbes la semaine dernière. Dans le box du tribunal, l’homme âgé de 51 ans, s’est expliqué.

    Ce cambriolage a traumatisé ma cliente. Deux ans après les faits, elle est toujours en train de vérifier si la porte de son domicile est bien fermée.

    « (…) Il est actuellement détenu pour des faits identiques. Il purge une peine de 8 mois de prison depuis le mois de février 2023. Il est en état de récidive légale. »

    Le tribunal a condamné Abdel Kader O. à 4 mois de prison. Il devra verser à la partie-civile 500 € pour le préjudice matériel, 100 € pour le préjudice moral et 600 € pour les frais de justice.

    […] La Semaine des Pyrénées via fdesouche

  • Tarbes (65). Un homme de 28 ans en urgence absolue après avoir été poignardé en plein centre ville lors d’une rixe

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    fdesouche

    Dimanche soir, vers 18 h 30, les pompiers ont porté assistance à un homme de 28 ans qui, à la suite d’une rixe, a été blessé par arme blanche, sur la place Marcadieu à Tarbes, à proximité. En urgence absolue, il a été médicalisé sur place par les équipes du SMUR

    La Nouvelle République des Pyrénées

  • Tarbes (65) : une grosse livraison d’armes destinées à des délinquants de Toulouse interceptée sur le parking d’un hôtel, trois ressortissants turcs interpellés

    Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2023

    Une importante livraison d’armes a été interceptée mardi sur le parking d’un hôtel de Tarbes (Hautes-Pyrénées) annonce ce vendredi dans un communiqué Frédérique Porterie, la procureure de la République de Bordeaux.

    La transaction a été interrompue par les gendarmes. Ce flagrant délit a été opéré conjointement par les militaires de la Section de recherches de Toulouse, à la suite d’une enquête menée par la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Bordeaux. Il a permis d’interpeller trois suspects, des ressortissants turcs, et de mettre la main sur « 45 armes de poing dotées de chargeurs de quinze munitions ».

    Ces armes, dont les enquêteurs soupçonnent qu’elles étaient destinées à des délinquants toulousains, « représentent une valeur marchande de plusieurs dizaines de milliers d’euros et surtout une menace importante pour la sécurité des personnes », souligne la magistrate.

    Les premières investigations montrent que ces armes, destinées à l’origine à tirer des munitions à blanc ou des cartouches de gaz, ont été modifiées « avec un réel savoir-faire » pour devenir létales. Les trois suspects ont été déférés ce vendredi devant le parquet de Bordeaux qui a requis leur placement en détention provisoire. Un juge d’instruction a été saisi des suites de l’enquête.

    20 minutes via fdesouche

  • Hautes-Pyrénées : Deux professeurs d’un collège de Tarbes, un homme de 55 ans et une femme de 32 ans, ont été exécutés par balles (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    L’auteur présumé « est en fuite, il n’a pas pu être interpellé pour l’instant », a précisé à l’AFP le procureur de Tarbes, Pierre Aurignac, sans donner de précisions sur son identité. Un important dispositif a été déployé pour tenter de retrouver l’auteur des coups de feu mortels. Des contrôles et des barrages routiers sont en place et la zone était hier soir survolée par un hélicoptère de la gendarmerie.

    DES AUTOPSIES ATTENDUES

    La femme, qui avait 32 ans, a été retrouvée lundi en fin d’après-midi gisant dans une rue de Pouyastruc par des voisins qui ont alerté les gendarmes. Arrivés sur place, ces derniers ont découvert un homme de 55 ans, décédé dans sa maison, quelques mètres plus loin. L’alerte a été donnée par une habitante de la commune, voisine de l’une des victimes. Selon nos confrères de La Dépêche du Midi, elle aurait vu un motard faisant des allers et retours devant le domicile de son voisin. L’homme parti, la riveraine a alors aperçu le corps d’une femme à l’extérieur de la maison.

    Marianne


    Deux enseignants d’un collège tués par balle dans les Hautes-Pyrénées

     

    […]

     

    Un homme et une femme, tous deux enseignants dans un collège de Tarbes, ont été tués par balles dans un petit village des Hautes-Pyrénées : le premier chez lui et la deuxième dans une rue à proximité, a-t-on appris mardi 5 juillet 2022 auprès du parquet, qui a ouvert une enquête pour double homicide.

    L’auteur présumé « est en fuite, il n’a pas pu être interpellé pour l’instant », a précisé à l’AFP le procureur de Tarbes, Pierre Aurignac, sans donner de précisions sur son identité.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Ouest France

  • Tarbes : “L’événement promettait d’être heureux”, elle se marie avec un Tunisien en situation irrégulière et sous le coup d’une OQTF, il la tabasse le jour même, l’enchaîne le lendemain (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2022

     

    03/07/2022

    Il frappe sa femme et l’humilie le jour de leur mariage

    C’est une affaire peu banale qui a été audiencée devant le tribunal correctionnel de Tarbes. Les faits de violences conjugales datent de février 2022, le jour même du mariage du prévenu et de la victime. Les deux protagonistes se connaissent depuis l’arrivée de l’homme sur le territoire Français en 2016 (il fait d’ailleurs l’objet d’une obligation de quitter le territoire français) et ont un enfant de trois ans. L’homme a été placé sous contrôle judiciaire avant de se retrouver en centre de rétention, son retour en Tunisie semble être effectif. La police a donc été appelée le 13 février, lendemain du mariage comme l’a expliqué la présidente du tribunal : “Ils se sont mariés le 12 février et au cours de la fête, il aurait “pété les plombs” parce qu’il pensait et il l’a expliqué “qu’elle parlait à un ami avec les yeux”, qu’il lui aurait ordonné de baisser en lui pinçant très fortement le bras pendant de longues minutes, lui occasionnant un hématome”.

    La fête s’est donc arrêtée là et la mariée est rentrée chez elle où son tout juste mari l’a rejointe plus tard pour mieux l’insulter durant ce qui aurait dû être une nuit de noces. Les violences se répètent et il lui assène un coup de tête.

    Une chaîne autour du cou

    Le lendemain, il ne s’est toujours pas calmé : “Il voulait lui faire avouer qu’elle l’avait trompé donc, alors qu’ils étaient en voiture dans le parking. Il a éteint le plafonnier puis lui a passé une chaîne autour du cou

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur La Dépêche



    17/02/2022

    À Tarbes, une femme frappée le jour de son mariage par son jeune époux

    L’événement promettait d’être heureux, il a tourné au cauchemar. Samedi 12 février, un couple de jeunes tarbais se dit “oui” en mairie après quatre ans de relation, et un mariage religieux.

     

    […]

     

    Devant les convives, il insulte copieusement son épouse, et la saisit fermement par le bras. La tension finit par redescendre et la soirée se poursuit. Rendez-vous est donné aux plus proches le lendemain pour le nettoyage de la salle.

    Coup de tête

    Tandis que tout le monde prête main-forte aux jeunes mariés, une nouvelle dispute éclate. L’homme insulte de nouveau sa femme, jusqu’à ce qu’il finisse par lui donner un coup de tête.

     

    […]

     

    De plus, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire puisqu’en situation irrégulière, le mari violent a été conduit au centre de rétention de Cornebarrieu. 

     

    L’article dans son intégralité sur La Dépêche