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rouen - Page 3

  • Lubrizol : un nuage toxique statique et en fait… non toxique ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2019

    Rédigé par notre équipe le 29 septembre 2019

    Depuis jeudi matin, il se trame quelque chose de bien noir dans les ministères parisiens. Les ministres ont été réveillé par une mauvaise nouvelle : l’explosion sur un site Seveso à Rouen. L’origine de l’explosion reste encore inconnue et en attendant d’enterrer la piste terroriste (une telle hypothèse ne serait pas bonne pour la cote de popularité gouvernementale), tout le monde s’active pour dire qu’il n’y a aucun danger. Le nuage toxique de 22 kilomètres ? Une broutille qui ne dépasse même pas les frontières de Rouen. Pas même le périmètre du site mutilé apprend-on…

    Opération embobinage du gouvernement à Rouen. La ville est toujours victime d’une suie toxique qui s’est propagée partout, mais pour les ministres en mission commando, l’affaire malheureuse est déjà réglée. L’explosion survenue dans la nuit de mercredi à jeudi sur le site Seveso de Lubrizol n’a heureusement entraîné aucune véritable pollution. C’est parfait d’autant que c’était cela que voulait entendre les riverains. Un discours rassurant qui ne rassure en fait pas du tout, car les autorités assurent que tout va bien alors que les résultats des premiers tests se font longuement attendre. Finalement, hier, le préfet de Normandie a confirmé l’« état habituel de la qualité de l’air à Rouen ». Circulez, il n’y a rien à voir, mais beaucoup à sentir et peut-être à risquer. 

    Après le nuage de Tchernobyl, le nuage de Rouen ?

    Alors que la pollution à Rouen est extrêmement visible et odorante, la petite caste aux manettes assure depuis l’annonce de l’explosion que tout va bien. Les images et les témoignages disent le contraire, mais pourquoi les autorités mentiraient-elles ? Monde paradoxal dans lequel, les politiques n’assument pas leurs responsabilités, mais où ils s’infligent de longues séances d’auto-persuasion pour dire que tout va bien alors qu’ils ne sont pas responsables d’un accident industriel. Les ministres disent que tout est normal, mais si les images avaient été captés dans un autre pays (la Russie au hasard) tout le cirque médiatico-politique n’aurait pas hésité à dénoncer une pollution d’ampleur minimisée par les autorités.

    De Moscou à Rouen il n’y a qu’un pas qu’un nuage fait vite de franchir. Les Français ont connu le nuage de Tchernobyl qui s’est arrêté miraculeusement à la frontière avec l’Allemagne. Ils connaissent aujourd’hui le premier nuage toxique rouennais qui ne dépasse pas les frontières de la ville. Mieux encore, il faudrait croire qu’une simple petite pollution au benzène a été relevée sur le site de l’usine éventrée. Le reste de la ville n’est pas contaminée. Le hasard fait bien les choses ou alors certains ne font pas correctement leurs prélèvements…

    Les maisons, jardins, et champs couverts d’une suie (non toxique donc) ne comptent pas. Mais si tout cela n’est pas toxique, pourquoi est-il demandé de ne pas toucher cette suie à main nue ? Pourquoi des policiers ont-ils été munis de masques à gaz ? Il y a quelque chose qui cloche, mais tout le monde joue les candides. Ah oui, il y aurait de l’amiante dans le toit dévasté de l’usine concède-t-on enfin. De l’amiante répandue dans l’air, mais toujours pas de pollution. C’est fort !

    Pourquoi donc un tel manège de la part des autorités ? L’accident serait-il autre chose qu’un accident ? C’est peut-être la thèse avancée avec précaution par la direction du site qui peine à expliquer comment une explosion peut avoir lieu alors que personne ne manipule quoi que ce soit la nuit. L’enquête prendra des années avant de rendre des conclusions que personne ou presque n’attendra plus. D’autres catastrophes auront eu lieu, bien des habitants seront partis de la ville ou dans l’au-delà (victimes de cancers ?) et la fin mot de l’histoire ne sera certainement connu que d’une poignée d’affabulateurs qui ne peuvent en aucun cas faire preuve de transparence. Amis rouennais, des vacances loin de votre ville s’imposent dès le mois d’octobre !

     

    Spurce : 24heuresactu

  • Rouen : un Français tué dans la rue, « atrocement mutilé », par des étrangers mineurs

    Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2019

    L’un des principaux mineurs immigrés mis en cause dans ce massacre d’une « violence inouïe » (commis gratuitement ou pour voler) avait déjà été arrêté par la police en juin, en flagrant délit d’agression d’un couple (nez cassé, etc.), avec ses amis : le parquet avait classé l’affaire sans suite.

    Des faits qui deviennent banals dans la « France d’après » :

    Un homme âgé de 47 ans a été retrouvé mort dans les jardins de l’Hôtel de ville de Rouen (Seine-Maritime) mardi 10 septembre au matin. Il était entièrement nu et avait été atrocement mutilé. Un adolescent de 17 ans a déjà été mis en examen dans cette enquête, deux autres ont été interpellés ce week-end.

    L’enquête sur ce crime sordide avance à grands pas. Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 9 au mardi 10 septembre. Le corps sans vie d’Olivier Quenault, 47 ans, a été découvert mardi au petit matin par un employé municipal, alors qu’il gisait dans son sang, dans les jardins de l’Hôtel de ville de Rouen, entièrement nu, allongé. Ses vêtements étaient éparpillés un peu partout dans les jardins indique Le Parisien.

    Les premières constatations ont également permis de déterminer que la victime avait été mutilée, notamment au visage. L’autopsie réalisée à l’institut médico-légal (IML) de Rouen a montré qu’Olivier Quenault avait été battu à mort, massacré. Ce dernier aurait tenté de ramper jusqu’à l’Hôtel de ville avant de décéder.

    Les policiers du Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen ont rapidement été chargés de l’enquête et ont interpellé dès le lendemain un mineur âgé de 17 ans, de nationalité ivoirienne. […]

    Les enquêteurs ont interpellé deux autres mineurs au cours du week-end. L’un âgé de 15 ans ce samedi et le second âgé de 17 ans ce dimanche. Ces derniers ont été placés en garde à vue. Bien connus des services de police, les policiers les soupçonnent d’avoir participé au massacre de la victime selon une source proche de l’enquête citée par Paris-Normandie[…]

    Concernant le mobile de ce terrible meurtre, les enquêteurs étudient la piste d’un vol avec violences qui a dégénéré. Une chose est sûre : l’homme a été victime d’une violence inouïe. L’hypothèse de « violences gratuites » est également considérée à ce stade des investigations.

    Les enquêteurs ont constaté que les auteurs avaient dérobé l’argent que la victime avait sur elle.

    Une source judiciaire citée par le quotidien régional rappelle que l’adolescent mis en examen vendredi avait déjà été interpellé dans la nuit du 21 au 22 juin dernier à Rouen, durant la nuit de la fête de la musique. Il se trouvait avec deux autres jeune sans que l’on sache à ce stade s’il s’agit des deux autres mineurs interpellés dans le cadre de cet homicide.

    Accusés d’avoir commis des violences en réunion sur un couple, les trois jeunes suspects avaient été remis en liberté par le parquet, qui avait ordonné un classement sans suite dans cette affaire. Les mis en cause avaient été interpellés en flagrant délit par les policiers de la BAC. L’homme victime des violences, souffrait d’une fracture du nez. Sa compagne avait été blessée à la main précise le quotidien.

    D’autres faits de violences commis cette même nuit avec un mode opératoire similaire « pourraient aussi être imputés à ces trois jeunes gens » confie cette même source.

    Une décision du parquet qui aujourd’hui interroge du côté de la police mais également de la justice. Une condamnation, des mesures coercitives ou éducatives auraient-elles pu éviter la mort de cet homme, s’interroge cette source proche de l’enquête. « Lorsqu’il n’y a pas de limites posées, tout est permis dans la tête de certains », ajoute-t-elle.

    Olivier Quenault était célibataire. Âgé de 47 ans, il était cuisinier, passionné par le jeu des fléchettes et décrit comme un homme « sans histoire ». Il habitait dans un appartement du quartier Jouvent à Rouen. (source Actu17)

    La victime, ici avec sa fille


    Source : contre-info