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rouen - Page 2

  • Le suspect dans l’égorgement de Maxime, à Rouen, a été interpellé

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2021

    La semaine dernière, plusieurs Français ont été tués, dans la rue.
    Cela devient une routine, pour les indigènes, dans la « France d’après » que leur façonnent les cosmopolites.

    Pour l’un de ces crimes – à Rouen, Maxime, 25 ans, avait été retrouvé égorgé dans son hall d’immeuble mardi dernier – le suspect (à droite ci-dessous) a été arrêté et a avoué.

    A gauche, Maxime, la victime. A droite, son meurtrier. Sans commentaire.


    Source : contre-info
  • “Je suis archi-radicalisé” : à Rouen, Kamel menace un couple d’enseignants de “décapitation”, il est condamné à du sursis et à une amende de 100 euros

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

    Un homme était jugé mardi 3 novembre 2020 devant le tribunal judiciaire de Rouen (Seine-Maritime) pour avoir menacé un couple d’enseignants de décapitation trois jours plus tôt.

    Il est environ 21 heures, le 31 octobre 2020, lorsque la police est alertée par un couple d’enseignants ayant reçu une lettre de menace de mort émanant de leur voisin. En pleine soirée, expliquent-ils, leur voisin Kamel* se présente à leur domicile, « voulant remettre un DVD accompagné d’un mot ». L’homme se met à parler pendant une vingtaine de minutes, « des caricatures, de la décapitation de Samuel Paty, de religion et du prophète ».

    Face à l’insistance du voisin, le couple prend le DVD et la lettre, mettant fin à la conversation. Ils prennent connaissance du mot et s’aperçoivent qu’il s’agit d’une lettre de menace, leur demandant de « s’inscrire à la sainte mosquée de la Grand mare », faute de quoi le couple subira « une lente et douce décapitation » ; « comme ça tu auras la Légion d’honneur et un discours à la Sorbonne par ton cher président ». Et d’ainsi conclure : « Je suis archi-radicalisé », en signant de son nom.

    (…) Le tribunal déclare Kamel coupable des faits et le condamne à la peine de six mois d’emprisonnement avec sursis probatoire pendant deux ans, et interdiction d’entrer en contact avec les victimes. L’homme devra en outre verser la somme de un euro à chacune des victime et s’acquitter d’une amende de 100 euros.**

    Actu.fr via fdesouche

  • Rouen : au lendemain de la décapitation de Samuel Paty, “Jonathan*”, 36 mentions à son casier judiciaire, a agressé une femme avec un couteau en criant Allah Akbar

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2020

    Après une agression au couteau à Rouen, un homme jugé pour apologie d’actes de terrorisme

    Un homme a été jugé, lundi 19 octobre 2020, par le tribunal de Rouen après avoir agressé une femme avec un couteau et crié « Allah Akbar » sur la place du Vieux marché.

    […]

    Les faits remontent au lendemain de l’assassinat commis sur Samuel Paty dans le Val d’Oise. Les policiers rouennais sont alors appelés sur la place du Vieux Marché pour un individu armé d’un couteau et criant « Allah akbar » [« Dieu est grand », NDLR]. A leur arrivée, l’homme a pris la fuite. Ils sont informés par radio d’une seconde agression avec arme sur une jeune femme non loin des premiers faits. Les policiers retrouvent sur place la victime, qui identifie le suspect.

    […]

    Le ministère public rappelle au tribunal que l’homme venait d’être libéré « deux jours plus tôt »

    […]

    L’article dans son intégralité sur 76 Actu via fdesouche

  • Rouen : Laurence menacée et agressée par son voisin dealer de cannabis, l’odeur de la fumée lui donne des crises d’asthme, le suspect interpellé puis relâché, la police a refusé de prendre sa plainte

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2020

    Par  le 25/08/2020

    Odeurs, allées et venues incessantes, incivilités, agression, Laurence subit depuis des mois les nuisances occasionnées par le locataire de l’appartement du dessus, qui cultive et deale du cannabis. L’homme a été interpellé début juillet mais relâché en attente de son jugement.

    Laurence a perdu 13 kilos en moins de six mois. Depuis qu’un locataire s’est installé dans l’appartement au dessus de chez elle, dans un bel hôtel particulier du centre ville de Rouen. L’homme y cultivait du cannabis jusqu’à son interpellation le 7 juillet 2020. Mais il a été libéré dans l’attente de son jugement. Laurence espère une condamnation et surtout le départ de cet encombrant locataire.

    « Vomissements, maux de tête, crise d’asthme, je n’ai plus de vie » explique cette quinquagénaire qui n’a jamais fumé de sa vie.

    (…) Le 25 juillet, il a même agressé et menacé Laurence. Au commissariat, elle n’a pu déposer qu’une main courante. Le brigadier qui l’a reçue a refusé de prendre sa plainte. Depuis, elle vit presque recluse chez elle. Dans le stress et la peur de croiser son voisin. (…)

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Rouen : Mohamed B. viole un enfant alors qu’il était censé… être en prison pour viol

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2020

    Le prévenu, au « lourd casier judiciaire », déjà condamné à 10 ans de prison pour viol, était en train de « purger sa peine de détention » dans un foyer. « Ses obligations : y dormir tous les soirs et séjourner un week-end par mois à la maison d’arrêt. »

    La justice rouge ainsi que les politiciens sont corresponsables de ce viol d’enfant.

    « L’affaire semble cocasse, elle pourrait être dramatique. Mohamed B., 35 ans, le cheveu court et le regard intense, a été condamné pour une bizarre évasion constatée le 9 octobre dernier […]. Mais juste avant son évasion, il est soupçonné d’avoir commis un viol sur mineur de moins de quinze ans. Le crime aurait eu lieu alors même qu’il bénéficiait d’un régime de détention aménagé avec un placement extérieur dans un foyer de Rouen.

    L’affaire commence le 9 octobre dernier. Le prévenu est en train de finir de purger une peine de détention dans un foyer. Ses obligations : y dormir tous les soirs et séjourner un week-end par mois à la maison d’arrêt. Mais ce soir-là, tandis que la police le cherche, il ne réintègre pas sa chambre. Il finit par se constituer prisonnier quatre jours plus tard au commissariat, sur les conseils de son avocat Me Noël.

    «Je reconnais les faits. Ce jour-là, j’étais allé à Paris. Mais le train, au retour, avait du retard parce qu’il y avait eu une chute de caténaire. J’ai vu ensuite que la police me cherchait. J’ai paniqué et je suis allé me cacher chez un ami», dit le prévenu. Mais pourquoi cette panique, s’il n’avait rien à se reprocher?

    Problème : pendant son placement extérieur, Mohamed B., déjà condamné à 10 ans de réclusion criminelle pour un viol, est soupçonné d’en avoir commis un autre sur un enfant. Il a été mis en examen le 22 octobre pour ces faits qui font l’objet d’une information judiciaire.

    Depuis le début d’année, le parquet et l’instruction a décidé de renvoyer à la cour d’Assises ce détenu au lourd casier judiciaire. » (source Radio Capitole)