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squatteurs

  • Brest (29) : le propriétaire détruit son logement à coups de masse pour faire fuir des squatteurs roumains ; aucune plainte contre lui, mais la Ligue des droits de l’Homme s’insurge

    Publié par Guy de Laferrière le 25 octobre 2024

    Pour expulser les squatteurs de son logement, à Brest, un propriétaire est venu détruire l’intérieur de son habitation à coups de masse, en leur absence. Aucune plainte n’est déposée contre lui mais la Ligue des droits de l’Homme s’insurge.

    La scène s’est produite le samedi 12 octobre 2024, dans le quartier de Saint-Pierre, à Brest, sous les yeux de quelques voisins. Au moins deux hommes ont attaqué, à l’aide de masses et de barres à mine, l’intérieur d’un petit immeuble de deux étages. À la manœuvre, le propriétaire d’un logement acheté en 2021 mais qu’il n’a jamais occupé puisque jugé insalubre, mais surtout occupé par deux familles roumaines « depuis plus de six ans ».

    […]

     

    Le Telegramme via fdesouche

  • Toulouse : Une cinquantaine de squatteurs d’extrême-gauche prennent d’assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

    Une cinquantaine de squatteurs prennent d'assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Ce dimanche 3 septembre, une maison d’un quartier de Toulouse a été prise d’assaut par un important groupe de squatteurs. Les forces de l’ordre sont intervenues.

    L’agent de sécurité posté pour surveiller la maison inhabitée depuis quelque temps n’a pas fait le poids. Une cinquantaine de squatteurs se sont barricadés dans cette habitation toulousaine ce dimanche en fin d’après-midi indique La Dépêche.

    Ils se sont ensuite barricadés à l’intérieur pour tenter d’empêcher toute tentative d’expulsion. Une voisine qui est allée à leur rencontre a été violemment agressée, ajoutent nos confrères.

    Treize squatteurs interpellés

    Quand la police est arrivée sur place, les squatteurs ont argué être installés dans la maison depuis plusieurs jours mais des vidéos prises par l’agent de sécurité et les voisins ont contredit leur version, permettant l’intervention des forces de l’ordre.

    Treize squatteurs – des “sans-abri ou des proches de la mouvance extrême gauche”, d’après les témoins interrogés par La Dépêche – ont été placés en garde à vue pour “violation de domicile” et agression. Ils nient pour le moment toute violence sur la voisine.

    www.midilibre.fr via fdesouche

  • Toulouse : une bonne samaritaine prête son logement à deux SDF mais à son retour… le lieu est devenu une plaque tournante d’un trafic de drogues ; l’un des squatteurs placé dans un CRA

    Publié par Guy de Laferrière le 10 août 2023

    Une jeune fille de 21 ans a voulu rendre service à deux hommes sans domicile fixe, il y a quelques semaines. Comme elle devait s’absenter pendant deux mois, elle leur a proposé d’occuper son logement du quartier Croix-Daurade à Toulouse. À son retour, la serrure avait été changée et les invités refusaient de partir. Elle a déposé plainte.

    (…) des policiers se sont rendus sur place. Ils se sont aperçus que le logement s’était transformé en plaque tournante d’un trafic de drogues. (…) 190 g de résine de cannabis, 90 g d’herbe, une balance de précision, des sachets de conditionnement et des téléphones ainsi qu’une vingtaine de cartouches de cigarettes de contrebande.

    Le plus âgé a été placé au centre de rétention administrative de Cornebarrieu. (…) Son comparse sera jugé ce vendredi 11 août par le tribunal correctionnel à l’audience de comparutions immédiates.

    La Dépêche via fdesouche

  • Vendée : se disant « écœuré » par la justice, un couple songe à quitter la France après avoir été victime de squatteurs professionnels

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Se disant «écœuré» par la justice française après des mois de loyers impayés, de nombreux dégâts à réparer et une altercation physique, le couple va mettre en vente son restaurant cet été.

    La décision n’est pas encore définitive. Elle infuse un peu plus chaque jour qui passe. «Avec mon mari, on se questionne beaucoup sur le fait de vendre tous nos biens et de changer de pays», tranche Audrey Oberweis. Cette Lorraine d’origine, installée en Vendée en 2015, ne décolère pas. Dans son viseur : ses anciens locataires qu’elle qualifie de «squatteurs professionnels», la lenteur de la justice et des lois qu’elle juge trop protectrices avec «les escrocs». Un constat cinglant qui fait suite au «cauchemar» vécu par cette quadragénaire et qui a marqué son moral et son physique.

    Dans son histoire, outre une perte financière, il est aussi question de violences. Pour bien la comprendre, il faut remonter quelques années en arrière. En 2019, avec son mari, ils acquièrent un restaurant. Afin de rembourser son prêt et se garantir une rentrée d’argent fixe, le couple met en location sa maison acquise en 2015 et déménage au-dessus du restaurant dans des conditions plus spartiates. «Nous avons loué à des personnes qui nous avaient été recommandées. Leur dossier était bon. D’ailleurs, au début, ils payaient rubis sur l’ongle», retrace-t-elle.

    La situation va se tendre radicalement en août 2021. Huit mois plus tôt, le couple avait averti leurs locataires, via une lettre remise en mains propres, de son souhait de revendre ce bien meublé. Le délai légal en la matière était donc bien respecté voire dépassé. Arguant de difficultés à trouver un autre logement, les locataires changent de ton. Ils affirment ne pas vouloir quitter les lieux sans décision de justice. «Le monsieur s’est énervé, s’est mis à nous injurier puis il m’a mis un coup de poing», décrit Audrey dont les blessures ont été évaluées à huit jours d’incapacité temporaire totale (ITT) et pour lesquelles elle attend toujours réparations.

    (…) Dans ce désordre, le couple retrouve des papiers administratifs qui vont les renseigner sur le profil de leurs locataires. «Nous avons découvert qu’ils avaient déjà connu trois expulsions. Ce sont des squatteurs professionnels. Depuis 2009, ils étaient irréguliers dans le paiement de leurs loyers que ce soit avec un bailleur social ou privé. Ils accumulaient les dettes, faisaient un dossier de surendettement puis recommençaient la même chose», déplore avec amertume Audrey.

    «Ce n’était pas à l’ordre du jour avant cette histoire qui nous a dégoûtés, précise celle dont la santé a aussi été affectée par cette affaire. Nous sommes écœurés de la justice française vu les délais impartis entre chaque procédure. Il faut que la loi évolue et arrête de protéger les escrocs.» Si Audrey et son mari réfléchissent à une potentielle expatriation, une chose est sûre : plus jamais ils ne mettront en location un bien.

    Le Figaro via fdesouche

  • Toulouse : des Tchétchènes squattent sa maison, le propriétaire craint pour son bien hérité de son père. “Cela fait plus de 48h que nous sommes ici. Ils ne peuvent plus nous déloger”, déclarent les squatteurs

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022

    Une famille tchétchène occupe illégalement une belle demeure quartier de la Cépière. Le propriétaire a tenté de les faire partir en vain. Il a peur qu’ils détériorent cette belle demeure du quartier de la Cépière à Toulouse hérité de son père mort en 2021.

    Accompagné d’une femme portant un tchador aux couleurs pâles, Asrab, 20 ans, né à Goudermès, la deuxième plus grosse ville de Tchétchénie, franchit la porte d’entrée de la maison qu’il squatte depuis le 7 octobre, sans presser le pas. Il aperçoit Bruno le propriétaire de cette belle bâtisse située chemin d’Abadie, quartier de la Cépière.

    « Je n’ai absolument peur de rien »

    Sûr de lui, Asrab lâche cette phrase lourde de sens: « Vous vous souvenez de ce qu’a dit la police ? Cela fait plus de 48 heures(*) que nous sommes ici. Ils ne peuvent plus nous déloger.»

    Le ressortissant tchétchène renchérit : « Moi, je n’ai absolument peur de rien. Depuis que je suis petit, j’ai vu beaucoup de choses. Ce n’est pas le coup de pression de vos voisins qui va me faire bouger. S’ils recommencent, je vais les attraper. »

    (…) « Avec mes sœurs et notre avocat Me Laspalles, on va lancer une action en justice pour récupérer notre bien mais on sait que cela va prendre du temps. Cette maison, c’était celle de mes grands-parents puis de mon père. C’est terrible de la voir occupée par des inconnus. Maintenant, je n’espère qu’une chose, c’est qu’ils ne fassent pas de dégâts, que le bien ne perde pas trop de valeur…», soupire Bruno.

    La Dépêche via fdesouche