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suède - Page 5

  • En Suède, un nouveau parti d’inspiration islamique

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2021

    Alors que le Vieux Continent sombre dans une décadence apocalytique arc-en-ciel, Eglises conciliaire et protestantes en tête de peloton, devant le néant qui lui fait face, l’islam se fait conquérant.

    En Europe occidentale et septentrionale les partis d’inspiration islamique se multiplient, reflétant la montée progressive des minorités musulmanes.

    La Suède a récemment rejoint le club, petit mais en expansion, des pays européens qui peuvent se vanter d’avoir un parti de musulmans pour les musulmans. Ici, au pays des Vikings qui dans les prochaines décennies pourrait être frappé par un changement de paradigme ethno-religieux, le parti du croissant et de l’étoile promet de créer le débat et s’annonce précurseur du changement à venir.

    « Un Suédois d’origine turque, explique le journal Inside Over, oblige la Suède à accepter une réalité qui ne peut plus être ignorée : la montée perturbatrice de la minorité islamique. Composée d’environ 810 mille personnes (dont 100 mille d’origine turque), soit 8,1% de la population totale, et démographiquement imparable, d’ici 2050, 8,1% pourraient devenir 11,1-30,6%, la communauté islamique de Suède recherche un porte-parole pour défendre ses revendications auprès du gouvernement. Ce porte-parole a peut-être été trouvé en Mikail Yüksel, le jeune fondateur de Nyans, parti créé il y a deux ans pour représenter tout le monde, tout en se réservant le droit d’accorder une attention spéciale à certains en particulier, les « Suédois de seconde classe », c’est-à-dire ceux de confession musulmane et/ou d’origine arabe, moyen-orientale et africaine. »

    Arrivé en Suède en 2001, Yüksel a fondé en 2019 Nyans, un parti qui aspire à « empêcher la Suède de devenir une autre France ». La Suède connait pourtant déjà ses émeutes périodiques dans les ghettos et la guerre entre narco-gangs, comme en France.

    Dans la tête de Yüksel, pour empêcher la nation scandinave de devenir une nouvelle France, cela passe par une reconnaissance des lieux communs bien-pensants d’aujourd’hui sur la question migratoire, à savoir une véritable intégration, une réforme de l’État-providence vers les oubliés des banlieues, la criminalisation de l’islamophobie et de l’afrophobie et la transformation des musulmans et des afro-suédois en minorités reconnues par l’État. De plus, le parti semble avoir des idées claires également en matière de politique étrangère : modérément pro-européen, résolument pro-palestinien.

    Inside Over qui se penche sur le personnage affirme que bien que « Yüksel a toujours rejeté toute accusation d’être une longa manus de l’État profond turc, déclarant avoir fondé Nyans pour donner une voix à ceux qui n’en ont pas », « certains faits et événements semblent indiquer le contraire. Car s’il est vrai qu’un indice ne fait pas preuve, il est tout aussi vrai que trois, selon Agatha Christie, font une seule preuve. Et, dans le cas de Yüksel, les indices abondent : contraint de démissionner du Parti du centre en raison de la proximité avec les Loups gris, auxquels le père est affilié, invité permanent de la presse turque qui compte, notamment l’islamiste Yeni Şafak et le pro-gouvernemental Daily Sabah, et gagnant d’une campagne publicitaire dans la patrie, des affiches soutenant Nyans ont commencé à apparaître dans les rues turques en juillet de cette année. »

    Les prochaines élections parlementaires auront lieu en 2022 et permettront de connaître la progrsesion de Nyams. Yüksel souhaiterait obtenir au moins 4%, soit environ 23 mille voix, mais une prévision de la tendance possible peut être réalisée d’ici la fin de cette année. En effet, début juillet, Yüksel a lancé une collecte de fonds fonctionnelle et préparatoire au financement de la campagne électorale de Nyans, se fixant comme objectif la collecte de trois millions de couronnes, un peu moins de 300 mille euros. « Comment et quand la collecte d’argent se termine – que ce soit positivement et tôt en raison d’une forte affluence ou négativement et tardivement en raison d’une faible participation – sera extrêmement révélatrice du pouvoir attractif de Nyans sur les nouveaux Suédois » commente le journaliste de Inside Over.

    « Par ailleurs, continue Inside Over, le poids de la performance de Nyans au niveau national ne doit pas être surestimé. Car en France, par exemple, les partis islamistes récoltent des pourcentages négligeables aux élections législatives, mais rivalisent très bien avec les grands partis traditionnels lors d’événements locaux – conséquence des racines territoriales et des nouvelles géographies ethno-religieuses des quartiers français.

    « Last but not least, une éventuelle interdiction de Nyans ne doit pas être exclue a priori si des liens effectifs avec la Turquie devaient émerger. Les autorités suédoises ont montré qu’elles suivaient et connaissaient la famille Yüksel et, de plus, la presse pro-gouvernementale turque abuse de la médiatisation de l’affaire Nyans. Si le jeune homme politique venait à franchir la ligne rouge invisible, une halte péremptoire et irrévocable pourrait venir des salles du pouvoir de Stockholm. »

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • En Suède, le vélo comme outil d’intégration pour les femmes immigrées

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2021

    En Suède, un groupe de femmes immigrées a décidé de surmonter les préjugés, les traditions et de se lancer un nouveau défi. Pas de grande manifestation féministe, ni de coup d’éclat. Elles veulent simplement apprendre à faire du vélo. Une démarche qui n’a cependant rien d’évident quand on commence à l’âge adulte.

    L’association de promotion de la bicyclette Cykelfrämjandet, née en 1934, voulait aider les femmes qui immigrent en Suède à s’intégrer à la société. Ce n’est peut-être pas la chose à laquelle on pense en premier, mais le vélo, surtout en Scandinavie, est un outil formidable d’intégration. Il permet de sortir de son quartier, de rencontrer d’autres gens, d’acquérir une certaine autonomie.

    www.francetvinfo.fr via fdesouche

  • La Suède compte plus de 30 000 cas d’effets secondaires liés aux vaccins contre le COVID

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2021

    PAR  LE 

    Alors que l’Europe poursuit son programme de vaccination, les pays nordiques font état d’une recrudescence des effets secondaires néfastes. Dans ce pays, le nombre d’effets secondaires a dépassé les 30 000, la majorité de ces réactions ayant été signalées chez des patients ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca.

    L’Agence suédoise des produits médicaux a indiqué que la semaine dernière, la nation scandinave avait enregistré 31 844 rapports d’effets indésirables liés au déploiement du vaccin.

    La Suède propose actuellement 3 vaccins contre le COVID-19 différents : Moderna, Pfizer et AstraZeneca, ce dernier étant le plus largement disponible (tandis que d’autres États européens, comme l’Allemagne, ont cherché à proposer des substituts aux jeunes patients, plus vulnérables aux dangereux caillots sanguins cérébraux, qui sont un effet secondaire rare – mais pas inédit).

    Le nombre d’effets indésirables présumés des deux vaccins semble relativement faible par rapport aux 19 961 rapports liés au Vaxzevria d’AstraZeneca, alors que le vaccin d’AstraZeneca ne représente qu’environ 26 % des quelque 2,7 millions de vaccins administrés à ce jour en Suède, mais constitue environ 63 % des rapports d’effets secondaires.

    Ebba Hallberg, une responsable de l’Agence des produits médicaux, a déclaré aux médias suédois qu’il était inhabituel de recevoir autant de rapports d’effets secondaires. Elle a ajouté que le nombre était probablement plus élevé en raison de l’intérêt du public pour les nouveaux vaccins. Pour éviter les plaintes selon lesquelles de nombreuses incidences d’effets secondaires étaient mineures, elle a déclaré que les prestataires de soins de santé ne signalaient probablement que les effets secondaires les plus “graves”.

    Un média suédois a déclaré que le nombre de plaintes déposées en quelques mois seulement dépassait le nombre de plaintes habituellement déposées en quatre ans, ce qui souligne l’inquiétude du public à l’égard des vaccins contre le COVID.

    En mars, la Suède a été l’un des pays à suspendre temporairement l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, à la suite de rapports faisant état d’une coagulation anormale du sang chez les receveurs. AstraZeneca, ainsi que l’Agence européenne des médicaments, ont insisté sur le fait que le vaccin était sûr après avoir fait l’objet d’un examen minutieux.

    SOURCE AUBE DIGITALE

  • Coup d’arrêt de la Suède à l’idéologie trans

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2021

    La très progressiste Suède donne un coup d’arrêt à la très progressiste idéologie du genre ou quand le réel rattrape l’irréel.

    Tout comme dans le reste de l’Europe, voire du monde occidental déchristianisé et sans repère, la propagande arc-en-ciel travaille à un rythme forcé pour imposer les diktats de l’univers arc-en-ciel, mais des nouvelles arrivant d’Europe du Nord contredisent complètement le dogme de genre du « changement de sexe » comme moyen de bonheur. La Suède a en effet décidé d’arrêter les bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 16 ans.

    Les traitements pour bloquer le développement de l’adolescent sont liés à « des conséquences indésirables importantes et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Avec un communiqué de presse de l’hôpital Karolinska, un hôpital universitaire du comté de Stockholm, la Suède progressiste met un terme à l’idéologie trans en protégeant les mineurs de moins de 16 ans.

    Il s’agit d’un tournant important qui rejette sans réserve l’idée que les adolescents atteints de dysphorie de genre doivent subir des procédures préliminaires de réassignation sexuelle. Plus précisément, l’hôpital a défini les traitements pour bloquer le développement des adolescents souffrant de dysphorie de genre comme « controversés » et potentiellement liées à des « conséquences néfastes étendues et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Pour cela, la Suède se démarque à la fois des lignes directrices du Wpath (acronyme qui signifie World Professional Association for Transgender Health), et du soi-disant « protocole néerlandais ».

    Ce dernier est une méthode développée depuis des années dans une clinique près d’Amsterdam, le VU Medical Center, qui prévoit également, pour le traitement de la dysphorie de genre chez les adolescents,  la « suspension de la puberté » dès l’âge de 12 ans. En fait, la valeur du protocole avait déjà commencé à craquer en décembre dernier, lorsque la Haute Cour britannique, statuant sur le cas de Keira Bell, a jugé qu’il était hautement douteux que les adolescents puissent pleinement comprendre les risques et les conséquences à long terme de certains traitements, exhortant les médecins à consulter un juge s’ils ont des doutes sur l’administration d’hormones et de bloqueurs de puberté aux jeunes.

    Depuis pas mal de temps déjà certains scientifiques et médecins suédois se posaient des questions : un enseignant à Göteborg, Christopher Gillberg, dans une intervention dans le journal Svenska Dagbladet, avait défini le traitement et la chirurgie des mineurs comme « une grande expérience », une expérience, avait également ajouté Gillberg, qui risque de devenir l’un des pires scandales médicaux du pays. Par la suite, d’autres experts se sont déclarés sceptiques quant au « protocole néerlandais ». Angela Sämfjord, psychiatre pour enfants et adolescents à l’hôpital universitaire de Sahlgrenska, qui, depuis 2016, avait commencé à suivre cliniquement les enfants et les adolescents intéressés par le « changement de sexe », avait cessé deux ans après, pour des raisons de science et de conscience. « En tant que médecin, je n’étais pas prête à prendre le risque », a expliqué Sämfjord, « de causer du tort à ces patients. J’en ai tiré les conséquences et j’ai démissionné ».

    Pendant ce temps, à l’échelle nationale suédoise, la courbe des jeunes renvoyés dans les cliniques pour le traitement de la dysphorie de genre, en déclin depuis quelques années, a continué de baisser. Preuve qu’une attitude d’extrême prudence gagnait du terrain en Suède depuis un certain temps. Avec la note de l’hôpital Karolinska, cependant, la prudence s’est transformée en certitude : en hommage au principe de précaution, aux enfants « trans » ou présumés tels, la puberté ne doit en aucun cas être arrêtée pharmacologiquement, plus maintenant.

    Après le Royaume-Uni et la Suède, il serait peut-être temps que le reste de l’Occident commence à repenser le transgenre ? Quel sens cela a-t-il culturellement, avant même que cliniquement, de poursuivre sur une voie que les pays les plus laïcs de la planète regardent désormais avec méfiance ? Plutôt que de donner une couverture juridique à l’identité de genre en tant que « perception de soi », peut-être serait-il approprié de prendre l’exemple des États qui, avant d’autres, ont emprunté la voie des « nouveaux droits » pour ensuite, aujourd’hui, constater que tout ce qui brille n’est pas d’or.

    « Les couleurs festives de l’arc-en-ciel dissimulent plusieurs ombres ».

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Suède : le nombre de cas de faux diplômes a considérablement augmenté, plus de 60% de ces contrefaçons proviennent de Syrie

    Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2021

    Suède – Ces dernières années, le nombre de cas de faux diplômes d’avocats, d’infirmières, de pharmaciens ou d’enseignants provenant de l’étranger a considérablement augmenté, et plus de 60% de ces faux documents concernent des migrants syriens.

    “De nombreuses contrefaçons sont vraiment sophistiquées et peuvent être difficiles à détecter. Il est important de savoir ce que l’on cherche”, a déclaré mardi à SVT Cecilia Ulfsdotter, chef d’unité au Conseil suédois de l’enseignement supérieur.

    Cette semaine, SVT a rapporté qu’une femme syrienne travaillant dans une école maternelle à Södertälje a été arrêtée et condamnée pour avoir acheté un faux diplôme d’enseignante.

    (…) SVT.se via fdesouche