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étrangers - Page 4

  • François Bayrou : “Assurer notre avenir démographique” passe par “deux voies: avoir plus d’enfants ou accueillir des personnes d’autres pays”

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2021

    Le haut-commissaire au Plan plaide dans une note transmise à l’AFP pour un “pacte national pour la démographie”, afin de sauver le modèle social français.

    “Assurer notre avenir démographique” passe par “deux voies: avoir plus d’enfants ou accueillir des personnes d’autres pays”, écrit François Bayrou, pour qui “la France devra jouer des deux leviers dans des proportions raisonnables qui garantissent le maintien de la cohésion nationale”.

    La France a sans doute plus besoin encore que ses voisins d’une démographie dynamique car son modèle social repose, pour beaucoup, sur la solidarité entre les générations”, notamment à travers le système de financement par répartition des retraites….

    “L’apport des migrations peut aider à améliorer le rapport actifs-retraités, et donc la capacité de financement de nos systèmes sociaux”, ajoute François Bayrou. Parallèlement, il milite pour “une ambition démographique dans notre pays”….

    Le Huffington via fdesouche

  • En Ile-de-France, 93 % des vols et 63% des agressions sexuelles dans les transports sont le fait de citoyens étrangers, et les victimes sont très majoritairement françaises

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2020

    Donc, si l’on ajoute les immigrés qui ont obtenu la citoyenneté française – qui ne signifie plus rien – et ne sont donc plus considérés comme étrangers bien qu’ils le soient en réalité pour la plupart, les proportions sont encore plus énormes.

    Cela dit, ces chiffres ne surprendront pas grand monde, à part peut-être quelques gauchistes ou bobos politiquement correct englués dans leur monde fantasmé.

    Ce 17 décembre 2020, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) publiait en effet son rapport annuel sur « les vols et violences dans les réseaux de transports en commun en 2019 ». Celui-ci annonce en préambule, comme précisé sur le site du ministère de l’Intérieur, que « la majorité (87 %) des mis en cause impliqués dans des vols ou des violences dans les transports en commun sont des hommes, plus de quatre sur dix sont identifiés comme mineurs et plus de la moitié seraient de nationalité étrangère ». Chose intéressante, le rapport prend à la fois en compte la nationalité des victimes et celles des coupables, donnant une assez bonne idée de la situation sécuritaire.

    Quatre catégories de délits sont recensées : les vols sans violence, les vols violents, les coups et blessures et les agressions sexuelles. On apprend par exemple qu’en Île-de-France, 93% des vols sans violence sont le fait d’étrangers, contre 64% dans le reste de la France. Un peu plus d’un tiers (35%) des vols violents sont commis par des étrangers en région parisienne. Une proportion qui monte à plus de deux tiers (66%) ailleurs sur le territoire ! Les agressions sexuelles sont elles aussi largement commises par des étrangers : 63% en Île-de-France, 32% en dehors. Enfin, 34% des coups et blessures sont le fait d’étrangers sur le territoire francilien, 19% ailleurs. Inversement, le profil des victimes est presque toujours le même, surtout en Île-de-France : sont de nationalité française 64% des victimes de vols sans violence, 68% des victimes de vols violents, 79% des victimes de coups et blessures, et 87% des victimes d’agression sexuelles. Ailleurs sur le territoire, c’est encore plus marquant : sont français, pour les mêmes catégories, 82, 84, 89, et 95% des victimes.(source VA)

  • Un sociologue invite les Suisses à s’intégrer aux étrangers car « les migrations de masse ne peuvent pas être stoppées » (Breitbart)

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020

    Les Suisses doivent suivre des cours sur l’intégration avec les étrangers afin de s’habituer à « devenir une minorité » dans leur propre pays, a déclaré un sociologue.

    Ganga Jey Aratnam, qui a émigré en Suisse il y a 25 ans, a déclaré lors d’un entretien avec Tages-Anzeiger que la migration de masse vers la nation suisse « est une voie à sens unique, il n’y a pas de retour en arrière ».

    La population indigène de la Suisse devrait abandonner les coutumes et traditions historiques du pays au fur et à mesure que sa population est remplacée et en venir à reconnaître « l’hyper-diversité » comme la culture nationale, a déclaré l’universitaire sri-lankais, soutenant que « la culture suisse n’est pas perdue, elle se développe ».

    À la question de savoir s’il reconnaissait qu’une telle transition pourrait être « écrasante » pour les Suisses natifs, M. Aratnam a répondu : « C’est pourquoi je pense qu’il devrait y avoir des cours d’intégration pour les gens du pays. »

    « Nous avons déjà des cours d’intégration pour les immigrés. C’est une bonne chose. Ces cours sont également nécessaires pour les locaux parce qu’ils deviennent lentement une minorité. »

    Il est « dans l’intérêt des Suisses » de se familiariser avec les migrants, selon le sociologue, qui affirme que « si les locaux ne s’adaptent pas, ils deviendront des perdants dans leur propre pays ».

    Illustrant ces « perdants », il a cité l’exemple des personnes âgées qui peuvent « se battre » avec les étrangers puis devenir « frustrées » lorsqu’elles sont hébergées dans une maison de retraite où 90 % du personnel vient de l’étranger.

    Interrogé par le quotidien suisse-allemand sur la possibilité de « ralentir » au moins la migration de masse, le chercheur de l’université de Bâle a insisté sur le fait qu’une fois la porte ouverte aux transferts de population du tiers monde, elle ne peut plus être fermée.

    « Une fois que la diversité est atteinte, on ne peut pas l’arrêter », a-t-il déclaré, notant que le regroupement familial et d’autres politiques liées aux « droits de l’homme » signifient que la migration en provenance du Sud continuera à augmenter, quelles que soient les lois nationales qu’un gouvernement essaie de mettre en place.

    En outre, M. Aratnam a fait remarquer que les femmes migrantes ont « en moyenne plus d’enfants que les femmes suisses ».

    « L’immigration ne peut plus être arrêtée même avec de nouvelles lois [car cela] serait contraire aux droits de l’homme, à l’intégration européenne et à notre structure économique », a-t-il déclaré.

    Toutefois, Aratnam a reconnu dans l’interview que le Japon était un exemple de pays qui « a atteint une grande prospérité sans immigration ».

    Après que Tages-Anzeiger ait souligné qu’« environ 90 % des demandeurs d’asile reçoivent une aide sociale » et que « la majorité des Érythréens en Suisse ne travaillent pas, même après des années », l’ancien athlète a simplement insisté sur le fait que « davantage d’efforts sont nécessaires », alléguant qu’« il y a un potentiel inexploité considérable ici ».

    Les données recueillies et publiées par l’Office fédéral de la statistique et le Secrétariat d’État aux migrations ont révélé que 83,7 % des Somaliens en Suisse dépendent des revenus de l’État, contre 2,3 % des Suisses et seulement 0,6 % des ressortissants japonais.

    Source : Un sociologue invite les Suisses à s’intégrer aux étrangers car « les migrations de masse ne peuvent pas être stoppées »

  • Les Français paieront pour les études des étrangers à l’Université d’Orléans

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2020

    Le site Galilée de Polytech’Orléans

    De très nombreux étrangers viennent étudier en France.
    Nonobstant les problèmes de sécurité et d’identité que cela peut poser, on pourrait se dire « Pourquoi pas ? ». Mais ne serait-il pas pour autant aberrant et scandaleux que cela se fasse au détriment des Français et des étudiants français ?
    C’est pourtant bien le cas.
    Rien qu’à Orléans, sous la pression du syndicat gauchiste UNEF (« gauchiste »  ne signifie pas « qui combat pour le peuple » mais pour l’étranger par principe et pour la destruction de la civilisation) plus de 2000 (!) étudiants ne paieront pas leurs frais de scolarité…
    Cela représente dans ce cas plusieurs millions d’euros, qu’il faudra bien que quelqu’un paye…

    Si le coût peut être trop élevé pour un étudiant africain, est-ce notre faute ? L’UNEF se moque de créer une grave injustice au détriment des Français.
    Il n’y a qu’en Europe occidentale qu’on peut concevoir des situations aussi absurdes.
    Est-ce qu’il faudra aussi leur offrir logement et nourriture, parce que ce serait trop cher pour eux ?
    En fait, ça se passe déjà en bonne partie, via les CROUS notamment…

    « Comme Mohamed Bangoura, un Guinéen de 21 ans étudiant en L3 de biotechnologies, ils sont plus de 2000 étrangers à l’université d’Orléans (Loiret). Celle-ci vient d’adopter un moratoire sur les frais d’inscription supplémentaires pour l’année universitaire 2020-2021, qui pouvaient se monter à 3770 euros pour une année en école d’ingénieur ou en master.

    « Il faut comparer ça aux salaires dans nos pays. En Guinée par exemple, un fonctionnaire gagne l’équivalent de 200 euros, il lui devient impossible de financer des études pour un enfant dans une université française », explique Mohamed Bangoura, qui préside l’association Rivières du sud, qui rassemble les étudiants guinéens installés à Orléans.

    Sous l’égide du syndicat Unef, plusieurs associations d’étudiants africains ont saisi l’université d’Orléans […] » (source)

  • En 2019, 112 000 étrangers ont obtenu la nationalité française, soit 99,96% des demandeurs…

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2020

    Auteur : Henri

    La France est ouverte aux quatre vents et est littéralement submergée par l’immigration : tout le monde le sait malgré les dénégations mensongères des gros médias et des politiciens mais, chose au moins aussi grave, sa nationalité est bradée depuis des décennies par la République.
    « Être français », au sens moderne, ne veut strictement plus rien dire : il s’agit simplement d’une formalité administrative pour les républicains, d’un bout de papier, précieux simplement car il donne encore plus de droits et d’aides économiques à ceux qui en bénéficient.

    Chaque année environ 100 000 étrangers acquièrent la nationalité française, par divers modes, mais la presque totalité restent totalement étrangers, c’est-à-dire qu’au-delà du sang ils gardent leur culture et mœurs d’origine.

    En même temps, il est difficile de le leur reprocher car il n’y a plus vraiment de culture française aujourd’hui (sans parler de civilisation), celle-ci – appuyée sur les cultures locales de France – a été tuée par la République et n’est désormais qu’une variante de la sous-culture mondialisée à saveur américaine.
    Beaucoup de ces nouveaux « Français » parlent à peine le français.

    Quand nous disons que la nationalité française est bradée, c’est sur un constat que chacun peut faire en discutant avec un naturalisé ne parlant que quelques mots de français et aux mœurs exotiques, mais c’est aussi grâce à des chiffres officiels.

    Il n’est pas d’examen plus facile à réussir, même le baccalauréat 2020 est enfoncé !
    En effet, plus de 99,96 % des demandes de nationalité française sont accordées.

    Plus de 112.000 étrangers ont obtenu la nationalité française en 2019, dont 27.000 environ par mariage. Dans le même temps, 13 personnes seulement ont vu leur demande rejetée par un décret d’opposition motivé par un «défaut d’assimilation» autre qu’une maîtrise insuffisante de la langue de Molière. Et 62 pour «indignité». Soit 75 rejets exprimés pour les cas les plus litigieux, qui témoignent d’un comportement totalement en contravention avec les valeurs de la République. (source Le Figaro)

    Vous noterez que pour le Régime, les valeurs de la France n’existent pas, il n’est question que de « valeurs de la République ». Ces gens confondent France et République et, de fait, nient la France.
    Pourquoi ne pas donc distinguer citoyenneté républicaine et réelle nationalité française ?!

     

    Source : contre-info