GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1072

  • Trafic de faux papiers : Des Comoriens condamnés à Rodez (12). L’un des accusés est le père de… 27 enfants

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Trafic de faux papiers : les Comoriens condamnés à Rodez

    Au sein de la diaspora comorienne en France, tout le monde le connaît sous le surnom de “Dadi”. À 42 ans, ce colosse à la santé fragile – “J’ai toutes les maladies possibles, si ce n’est le Sida”, dit-il –, fut longtemps un chanteur renommé de son île, située dans le canal du Mozambique en Afrique australe. Mais comme beaucoup de ses compatriotes, plus que la scène, son rêve était de rejoindre la France. Il l’a fait dans les années 2000, à Marseille, l’autre capitale des Comores. Depuis, la justice française soupçonne l’artiste de s’être reconverti comme trafiquant de faux papiers. Et d’être le “chef d’orchestre” d’un vaste réseau, composé d’une trentaine de petites mains présentes sur tout le territoire français. En 2014, le tribunal d’Alès l’a déjà condamné à trois ans de prison pour ce “business” dont on dit qu’il serait “particulièrement lucratif”.

    Ce mardi et ce mercredi, “Dadi” comparaissait de nouveau devant un tribunal, celui de Rodez cette fois. Voilà plusieurs années que la justice aveyronnaise travaille sur ce dossier dit des Comoriens. En 2016, les mairies de Decazeville, Aubin ou encore Capdenac-Gare reçoivent bon nombre de demandes de passeport de personnes issues de l’archipel. L’Aveyron n’est pas vraiment connu pour sa communauté comorienne, la préfecture se penche alors sur cette nouvelle “diaspora”. Rapidement, elle sent que quelque chose cloche. Les dossiers déposés émanent tous d’une “même source” : un Comorien, récemment installé dans le Bassin. L’office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre (Ocries) est mis au parfum. Une vaste enquête est lancée. Des heures, des semaines et des mois d’écoutes téléphoniques permettront aux enquêteurs de remonter jusqu’à “Dadi”. Et huit autres personnes : un médiateur social des quartiers nord de Marseille, un employé de restauration de Paris ou encore un père de… 27 enfants ! La plupart sont inconnus de la justice, sans histoire. (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Myopéricardites liées au vaccin COVID-19 chez les adolescents : de nouveaux éléments inquiétants

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Auteur : 
     

    Une nouvelle étude évaluée par des pairs montre que plus des deux tiers des adolescents atteints de myopéricardite liée au vaccin COVID-19 présentaient des anomalies cardiaques persistantes des mois après leur diagnostic initial, ce qui soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels à long terme.

    Ces résultats, publiés le 25 mars dans le Journal of Pediatrics, remettent en question la position (https://www.youtube.com/watch?v=3i9jMCf0wK0) des agences sanitaires américaines – y compris le CDC – qui affirment que l’inflammation cardiaque associée aux vaccins Pfizer et Moderna mRNA est « légère ».

    Les chercheurs de l’hôpital pour enfants de Seattle ont examiné les cas de patients âgés de moins de 18 ans qui se sont présentés à l’hôpital avec des douleurs thoraciques et un taux élevé de troponine sérique (https://www.mountsinai.org/health-library/tests/troponin-test#:~:text=Very%20high%20levels%20of%20troponin,weeks%20after%20a%20heart%20attack.) entre le 1er avril 2021 et le 7 janvier 2022, dans la semaine suivant l’administration d’une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer.

    Si 35 patients répondaient aux critères, 19 ont été exclus pour diverses raisons. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) cardiaque des 16 patients restants a été réalisée trois à huit mois après leur premier examen. Les IRM ont montré que 11 d’entre eux présentaient un rehaussement tardif au gadolinium (LGE) persistant, bien que les niveaux soient inférieurs à ceux des mois précédents.

    Selon l’étude, « la présence de LGE est un indicateur de lésion cardiaque et de fibrose et a été fortement associée à un pronostic plus défavorable chez les patients atteints de myocardite aiguë classique. »

    Dans une méta-analyse de huit études, le LGE s’est révélé être un facteur prédictif de décès toutes causes confondues, de décès cardiovasculaire, de transplantation cardiaque, de réhospitalisation, de myocardite aiguë récurrente et de nécessité d’une assistance circulatoire mécanique. De même, une méta-analyse portant sur 11 études a révélé que « la présence et l’étendue du LGE sont un facteur prédictif significatif de résultats cardiaques défavorables ».

    « Cet article apporte des preuves supplémentaires de la gravité de la myocardite chez les adolescents causée par les vaccins COVID-19 », a averti (https://childrenshealthdefense.org/defender/heart-damage-teens-after-second-pfizer-shot/) le Dr Madhava Setty, rédacteur scientifique principal de The Defender.

     The Journal of Pediatrics

  • En Italie le crédit social chinois arrive sous forme de jeu… avant d’être plus qu’un jeu…

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    On va jouer à gagner ou perdre des points. La Chine, qui au moment de la ‘pandémie’ covid a vendu pour ainsi dire à l’occident décadent et à des politiciens en mal d’autoritarisme son confinement et son passe vaccinal, continue à inspirer les petits tyrans accrochés à leur pouvoir de nuisance. Les confinements, les masques, le passe vaccinal ont ouvert la voie à la numérisation des citoyens et à leur soumission, le crédit social en est l’aboutissement, et ce n’est plus émettre une « théorie du complot » que de le dire. Mais pour l’instant ce n’est qu’un jeu, rien qu’un jeu…

    À Fidenza, en Emilie-Romagne, région historiquement rouge de l’Italie, les maisons populaires de l’Acer, les HLM italiens, ont introduit une nouvelle réglementation sur les copropriétés qui fonctionne, à peu près, comme la réglementation chinoise. Quiconque ne respecte pas les règles perd des points. Ceux qui les respectent pendant trois années consécutives gagnent 5 points, ceux qui agissent pour réparer les dégâts, ceux qui « participent à des initiatives pour apprendre à bien vivre ensemble » gagnent des points supplémentaires. Celui qui perd tous les points, perd la maison : « quand les points s’épuisent, le droit au logement s’éteint ».

    A Bologne, capitale de cette région d’Emilie-Romagne, avec le maire Matteo Lepore et surtout le conseiller pour l’Agenda numérique Massimo Bugani (du Mouvement 5 étoiles, le plus « chinois » des partis italiens), le portefeuille citoyen intelligent sera introduit, (smart citizen wallet de son nom anglais) qui cache peut-être ce qu’il est vraiment : un système de crédits sociaux, fait et fini. La différence fondamentale est qu’il s’agit d’une application qui ne peut être installée que volontairement et qui confère également des récompenses et non des pénalités. Mais culturellement et politiquement elle prépare les Bolognais à penser à la chinoise : les « big data » collectées sur le Web permettront à la municipalité d’évaluer le comportement éthique du citoyen. La municipalité saura donc si vous avez pris des amendes, si vous avez préféré les transports en commun à la voiture, si vous avez fait des économies d’énergie dans votre logement, si vous avez bien fait la collecte sélective des déchets, si vous êtes « culturellement actif ». Comme le dit le conseiller du Mouvement 5 Etoiles de Bologne :

    « Nous vous voyons et nous vous le montrons avec des points ». 

    Ce n’est qu’un jeu, rien qu’un jeu… les ‘non-complotistes’ vous le disent, croyez-les… ou pas.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Boutcha : étrange déroulé des évènements

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Boutcha : étrange déroulé des évènements

    30 mars : les Russes se retirent de Boutcha.

    31 mars, le maire de Boutcha a publié une vidéo sur Facebook où il claironnait que l’armée ukrainienne avait remporté une grande victoire en libérant sa ville et disait que c’était un jour de joie (la vidéo est ici). Il ne disait pas un mot de cadavres dans les rues.

    1er avril : les troupes d’Azov et autres Ukrainiens entrent dans la ville.

    1er avril : la police nationale ukrainienne faisait savoir que le régiment Safari des forces spéciales a commencé l’opération de nettoyage de Boutcha : la ville est en train d’être nettoyée des saboteurs et des complices des forces russes.

    2 avril : dans la presse ukrainienne, pas de cadavre sur la photo, pas de cadavre dans l’article, qui évoque la chasse aux collabos des Russes.

    2 avril : on commence à voir des images de corps dans les rues de Boutcha.

    3 avril : le monde entier dénonce le « génocide » accompli par les Russes. L’agence Reuters est sur place et en fin de soirée publie un long reportage, sur ce qu’elle a vu et sur ce qu’on lui dit et ajoute : « Reuters n’a pas pu immédiatement vérifier les allégations d’Arestovych et de Fedoruk » (un conseiller de Zelensky et le maire de Boutcha) sur les responsables.

    4 avril : Déclaration du ministère de la Défense de la Fédération de Russie

    Les séquences audiovisuelles publiées par le régime de Kiev, témoignant de “crimes” prétendument commis par des militaires russes dans la ville de Boutcha, région de Kiev, ne sont qu’une nouvelle provocation.

    Pendant le temps que cette commune était contrôlée par les Forces armées russes, aucun civil n’a été affecté par la violence. Les militaires russes ont livré et distribué 452 tonnes d’aide humanitaire aux civils de la région de Kiev.

    Tant que la ville se trouvait sous le contrôle des Forces armées russes, et surtout après, jusqu’aujourd’hui, les civils de Boutcha pouvaient se déplacer librement dans la ville ainsi qu’utiliser les communications mobiles.

    Les sorties de la ville de Boutcha n’étaient pas bloquées. Tous les résidents locaux avaient la possibilité de quitter la commune en prenant la sortie vers le nord, notamment en Biélorussie. En même temps, les militaires ukrainiens poursuivaient les bombardements des banlieues sud de la ville, y compris des quartiers résidentiels, à l’arme lourde, recourant également à l’aide de chars et de lance-roquettes multuples.

    Nous voudrions souligner que toutes les unités russes ont quitté Boutcha le 30 mars, le lendemain des négociations en présentiel entre la Russie et l’Ukraine en Turquie.

    Qui plus est, le 31 mars, le maire de Boutcha Anatoli Fedorouk avait confirmé dans son message vidéo qu’il n’y avait aucun militaire russe dans la ville. Pourtant, il n’avait point mentionné qu’il y eût des corps de civils ligotés et fusillés dans la rue.

    Il n’est donc pas surprenant que tous les prétendus “témoignages des crimes” de Boutcha ne soient apparus qu’au quatrième jour, avec l’arrivée dans la ville des agents du Service de sécurité d’Ukraine (SBU) et de la télévision ukrainienne.

    Il est particulièrement préoccupant que tous les corps qui ont été montrés par le régime de Kiev ne soient pas devenus rigides après au moins quatre jours, n’aient pas de lividités cadavériques et que le sang dans les plaies n’ait pas coagulé.

    Tout cela confirme incontestablement que les photos et les vidéos ukrainiennes de Boutcha ne sont qu’une énième mise en scène conçue pour les médias occidentaux, comme cela avait déjà été le cas pour la maternité de Marioupol et dans bien d’autres villes.

    Ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie :

    La Fédération de Russie a demandé de tenir, le 4 avril 2022, une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) portant sur la provocation émanant des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

    Pourtant, le Royaume-Uni qui préside le CSNU en ce moment n’a pas donné son accord pour la tenue de cette réunion.

    Aujourd’hui, la Russie exigera à nouveau que le CSNU soit réuni en raison des provocations criminelles des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

     

    Source : lesalonbeige

  • Antibes (06) : un homme de 63 ans entre la vie et la mort après avoir été étranglé par l’étranger qu’il hébergeait, le suspect était recherché dans le cadre d’une affaire d’homicide en Espagne

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2022

    La victime aurait été étranglée avec une corde à sauter. Elle hébergeait le suspect à son domicile depuis des mois. Ses motivations restent à déterminer.

    Un homme a été placé en garde à vue ce dimanche matin à Antibes (Alpes-Maritimes). Il est accusé d’avoir tenté de tuer un homme de 63 ans qui l’hébergeait. Ce dernier est entre la vie et la mort à l’hôpital selon une source proche de l’enquête, confirmant une information de Nice-Matin.

    Les policiers municipaux sont intervenus vers 07h15 après avoir été requis par une habitante de l’avenue des Oiseaux qui entendait des hurlements et des appels au secours chez l’un de ses voisins. Les fonctionnaires ont frappé à la porte et un homme leur a ouvert, et aurait lâché en anglais : “il est mort !”. Dans le logement, les agents ont découvert la victime inconsciente sur son lit et ont immédiatement donné l’alerte. “Cet homme de 63 ans a vraisemblablement été étranglé avec une corde à sauter”, confie cette même source.

    Pris en charge par les secours, le sexagénaire en arrêt cardio-respiratoire a pu être réanimé avant d’être évacué à l’hôpital dans un état critique. Le suspect qui a ouvert aux forces de l’ordre, âgé de 35 ans et originaire de la Géorgie, a été placé en garde à vue. L’homme, inconnu des services de police français, fait néanmoins l’objet d’une fiche de recherche Schengen émise par l’Espagne, dans le cadre d’une affaire d’homicide et de vol selon nos informations. Des faits commis le 13 novembre 2021.

    D’après les premiers éléments, le sexagénaire hébergeait son agresseur présumé dans un climat de peur depuis plusieurs mois. Le mis en cause se serait imposé au domicile de sa victime. La brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat a été chargée de l’enquête. Des constatations ont été réalisées au domicile du sexagénaire. Les motivations du suspect devront être déterminées.

    Actu 17 via fdesouche