Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2023
Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 207
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Lille, terre d'hospitalité
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C'est une nouvelle trahison de la part de Marine Le Pen et du RN
Alors que le pays est plongé dans une crise politique favorable à la droite nationale, la femme de gauche Marine Le Pen a annoncé, avec son plus beau sourire et après avoir obtenu des miettes en commission mixte paritaire, que les 88 députés RN allaient finalement voter la « Loi immigration » chère à Gérald Moussa Darmanin. Il n'y a semble-t-il pas de limite pour absolument prouver que le RN est un parti du Système comme les autres.Cette loi interdira notamment de placer des mineurs en rétention administrative et permettra une régularisation massive des travailleurs clandestins. Cela accélérera inéluctablement le remplacement de population et le chômage chez les Français autochtones, devenus trop chers pour les patrons cosmopolites.Darmanin estime d'ailleurs qu'il s'agit d'une « défaite pour Marine Le Pen car cela signifie qu'elle est pour la régularisation des sans-papiers. »C'est une nouvelle trahison de la part de Marine Le Pen et du RN qui espèrent un adoubement médiatique et politique en faisant de l’esbroufe parlementaire. Comment leur faire encore confiance ?Il est évident que jamais le Parti de la France n'aurait voté un tel texte qui va contre l'intérêt supérieur du pays et des vrais Français. A leur place, nous aurions obligé le gouvernement à rédiger une « Loi remigration » et non pas une « Loi immigration».Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France -
« Loi Immigration »
Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2023
L'enclave étrangère de Seine-Saint-Denis annonce déjà, par la voix de Stéphane Troussel, calife socialo-communiste de ce micro-État narco-trafiquant, qu'elle n'appliquera pas la pourtant dérisoire « Loi Immigration ». -
Loi bidon, tempête parlementaire dans un verre d'eau : quel spectacle !
Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2023
La "Loi immigration" ne servira rien. Ce n'est pas un problème de texte mais de volonté. Ni nos gouvernants ni nos juges n'appliquaient les lois déjà existantes. Quant à la tempête parlementaire dans un verre d'eau, c'est totalement grotesque. Entre une Marine Le Pen qui se cherche une respectabilité, imaginant faire un « coup politique » comme sous la IVe République en provoquant une alliance contre-nature, la Macronie qui tangue et l'extrême-gauche qui couine, c'est un vrai spectacle de République agonisante...
Thomas Joly - Président du Parti de la France
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La facture du « quoi qu’il en coûte » !
Publié par Guy de Laferrière le 19 décembre 2023
La chronique de Philippe Randa
Il y a les philosophes et leurs gros pavés fourmillant de citations multiples et variées : ceux-là n’aiment rien tant que citer et citer toujours, encore et encore, leurs prédécesseurs en philosophie qui eux-mêmes, d’ailleurs, n’aimaient déjà rien tant qu’à étaler leur culture encyclopédique en citant et citant toujours, encore et encore… pour démontrer on ne sait finalement plus trop quoi, le lecteur ayant généralement oublié l’énoncé du sujet dans l’attente vaine de réponses compréhensibles… si réponses il y a !
Et il y a les témoignages des acteurs de la société dans leur activité quotidienne : concis, précis, compréhensible par tout à chacun car souvent ce qu’ils rapportent est vécu par tous.
L’exemple par ce pharmacien de Clermont-Ferrand qui fait face, comme tous ses confrères de l’hexagone, à une pénurie de « sa » matière première, soit… les médicaments !
« Une épreuve au quotidien. Et si la très grande majorité des clients a appris la résilience, d’autres s’agacent au comptoir. De dépit », titre le quotidien La Montagne qui rapporte les faits.
Des faits « simples », comme l’explique l’apothicaire (comme on l’appelait dans le temps): « C’est simple. On a des pénuries sur tous les antibiotiques. On les reçoit par vague. Ça finit toujours par arriver, mais on ne sait jamais quand… On se fait engueuler toute la journée ! »… et d’en expliquer la cause sans circonvolutions inutiles : « Le marché français n’est pas intéressant pour les laboratoires qui peuvent vendre plus cher ailleurs ! En Allemagne, en Italie, il n’y a pas de pénurie. Il ne faut pas rêver, c’est la loi de l’offre et de la demande. »
Première raison, mais pas la seule puisqu’il n’hésite pas à pointer aussi un passé récent où le « quoi qu’il en coûte » de l’actuel locataire de l’Élysée faisait alors office de devise nationale : « Même si on a donné l’habitude aux gens de ne rien débourser, la santé a un coût, et les caisses de la Sécurité sociale sont vides. Ils ont dépensé des milliards pendant le Covid. Les gens vont devoir payer un minimum. »
Présenter la facture au consommateur, donc… à tous les consommateurs et pas seulement à l’électeur ou électrice macroniste, hélas !
Une électrice ressemblant peut-être à cette jeune fille, venue justement l’autre jour chez ce pharmacien et « qui a refusé de payer 4 euros pour sa santé, alors qu’elle avait le dernier iPhone à 1 300 euros en main. À un moment donné, il faut aussi avoir un minimum de bon sens. »
Mais si « bon sens » rimait avec « macronisme », les poules auraient des dents et les semaines 4 jeudis… voir peut-être davantage !
Source : synthesenationale