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  • « Des stéréotypes raciaux d’un autre temps » : une pétition, initiée par une « influenceuse », demande le retrait d’une BD pour des dessins jugés « racistes »

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2025

    perubu19/02/2025 à 20h29
     

    Une bande dessinée destinée à la jeunesse et vendue à partir de 2018 est sous le feu des critiques depuis quelques jours. Il s’agit du tome 7 de Boule à zéro, écrit par belgo-gersois Serge Ernst.  L’influenceuse Britanie Lenga dénonce des caricatures offensantes de personnages noirs et asiatiques. Une pétition demandant son retrait approche des 10 000 signatures.

    Drousie (dit Zidrou), dessiné par le Gersois Serge Ernst et colorisé par Laurent Carpentier.  L’ouvrage raconte les aventures pleines d’humour et de tendresse d’une petite fille hospitalisée (Boule à zéro) à la suite d’un cancer.

    Cependant, certains coups de crayon du dessinateur Ernst ont suscité une vive réaction de Britanie Lenga, créatrice de contenu aux milliers d’abonnés sur les réseaux sociaux qui dénonce « des stéréotypes raciaux d’un autre temps ».  […]

    La Dépêche via fdesouche

  • BD : le dernier Astérix donne dans le militantisme « homoparental ».

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2019

    Les successeurs de Goscinny et Uderzo (créateurs de la célèbre BD), Jean-Yves Ferri et Didier Conrad, font  passer leur idéologie bobo-gauchiste dans le dernier album qu’ils réalisent et qui vient de paraître : la fille de Vercingétorix.
    Tout doit être souillé…

    Déjà, en 2017, la célèbre page d’ouverture montrant une carte de la Gaule et désignant « le village gaulois qui résiste encore à l’envahisseur » avait été purement et simplement supprimée…
    Effectivement, à l’heure où le peuple français est en train d’être remplacé silencieusement, il est gênant de montrer des exemples de résistance à l’invasion.

    Dans le nouvel album, le pirate noir est redessiné pour être moins caricatural (lèvres notamment), mais surtout l’héroïne – une gamine insupportable assez dans l’air du temps – est élevée par deux « papas » [sic].

    Une référence à l’« homoparentalité » [sic] assumée par les auteurs dans leurs entretiens.

     

    Source : contre-info