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Meyer Habib ne devrait finalement pas être sanctionné. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a écarté une demande de levée de l’immunité parlementaire du député LR formulée par 39 députés de gauche qui l’accusaient d’ « apologie de crimes de guerre » israéliens à Gaza.
Dans une réponse rendue publique samedi par des députés de La France insoumise (LFI), Yaël Braun-Pivet écrit que « les propos tenus par un parlementaire dans l’hémicycle de l’Assemblée sont couverts, conformément à l’article 26 de la Constitution, par le principe d’irresponsabilité, lequel présente un caractère absolu et qu’aucune procédure ne permet de « lever » ». Elle indique que les règles constitutionnelles ne lui permettent pas de déclencher elle-même la procédure pouvant aboutir à la levée d’immunité d’un élu.
Israël dans la circonscription de Meyer Habib
Des députés socialistes, écologistes et insoumis avaient mis en cause une phrase prononcée par Meyer Habib, élu de la 8e circonscription des Français établis hors de France, lors de la séance des questions au gouvernement mardi. « Alors que la ministre (des Affaires étrangères Catherine Colonna) était invitée à réagir à la mort d’un agent du Quai d’Orsay suite à des bombardements israéliens sur un bâtiment d’habitation abritant des civils, le député Meyer Habib a prononcé distinctement, et par deux fois, les mots : « Et ce n’est pas fini ! » », des propos pouvant « s’apparenter à l’apologie de crimes de guerre », avaient estimé ces députés.
Fêtes sobres et solidaires. Ils sont les oubliés de l’actualité de ces derniers mois. Ils, ce sont les migrants. En cette fin d’année 2023, des Rennais continuent de leur venir en aide. Reportage.
l fait partie de ces sujets épineux, qui peuvent susciter des débats houleux lors des réveillons de Noël et du Nouvel an. Celui de l’accueil des migrants, peut même provoquer certaines réflexions du type « tu es prêt à en recevoir chez toi ? ». Une question à laquelle cette habitante de Rennes (Ille-et-Vilaine) pourrait répondre par l’affirmatif. Car depuis maintenant près de quatre mois, Amélie Brion et sa famille accueillent Yaya et Abdoulaye, deux mineurs non accompagnés, qui étaient à la rue : « On vit à cinq dans notre 72 m². On a deux chambres, mais je ne me suis pas posé trop de questions. Mon cœur de maman a parlé. »
Une rencontre miraculeuse à Nantes
C’est en septembre dernier que les chemins d’Amélie et Yaya se sont croisés. Une rencontre fortuite…
HAUCONCOURT/LUXEMBOURG – Nicolas, père de famille de 29 ans, a reçu neuf coups de couteau devant une discothèque, au nord de Metz. Sa compagne, consultante au Luxembourg, témoigne.
«C’est la première fois de ma vie que je me suis dit que j’allais mourir». Cinq jours après une soirée festive qui a tourné au cauchemar, Nicolas, 29 ans, se remet doucement d’une altercation dont il aurait pu ne pas sortir vivant. Le jeune homme de 29 ans, originaire de la région messine, a déposé plainte après avoir été poignardé à neuf reprises, vendredi dernier, devant la boîte de nuit Le Victoria, située à Hauconcourt, à une quarantaine de kilomètres de la frontière luxembourgeoise.
«Il a été touché au ventre, aux cuisses, aux fesses et à la main. Une bouteille a été cassée sur sa tête. Heureusement, aucun organe vital n’a été touché. Mais il s’est vu partir», témoigne sa compagne Jenny*, consultante au Luxembourg. Actuellement en congé parental – Nicolas et Jenny ont deux enfants de 2 ans et 6 mois – elle doit désormais s’occuper de son conjoint, «complètement dépendant», à l’heure actuelle.
(…) Nicolas assure qu’il s’est excusé, mais l’homme aurait brandi un couteau. La victime l’aurait alors frappé en réponse. En deux temps trois mouvements «entre sept et dix personnes» auraient ensuite lynché le jeune Mosellan à coups de lame et de bouteille de vodka.
(…) «C’est une agression gratuite», déplore Jenny, indiquant que Nicolas n’est pas un habitué des lieux, «au contraire des agresseurs». Dans sa plainte, la victime affirme que certains d’entre eux auraient prononcé des paroles à caractère discriminatoire – «Sale gwer» (NDLR: un terme péjoratif pour désigner les personnes blanches) -, ce qui devra être confirmé par l’enquête pour «tentative de meurtre» confiée à la gendarmerie de Maizières-lès-Metz. Sollicité, le parquet de Metz n’avait pas encore répondu, jeudi, aux questions de L’essentiel.
Nicolas devait aller aux toilettes mais il y avait tellement de monde qu’il est allé uriner sur le côté de la boîte. Quelqu’un lui a dit “tu m’as bousculé” mais même s’il pense ne pas l’avoir fait, il s’est excusé immédiatement. Sauf que l’autre individu a sorti un couteau. Nicolas lui a mis un coup mais un autre est arrivé et lui a mis un coup de gazeuse. Finalement, ils lui sont tombés à plusieurs dessus.
Dans son dépôt de plainte, auquel Lorraine Actu a eu accès, Nicolas évoque « quatre ou cinq personnes ». Le jeune homme a été passé à tabac. Il indique aux gendarmes avoir été victime d’insultes racistes : « sale blanc » ou encore « tape-le, le gwer (un mot utilisé comme une insulte raciste envers les personnes blanches) ». D’après Meggy, « Nicolas a eu un instinct de survie : il a réussi à se relever et ouvrir les portes pour se réfugier dans la boîte ».
Finalement, « avec deux amis, ils sont passés par une sortie de secours, ils ont pu prendre la voiture et ils sont partis à l’hôpital de Mercy », ajoute la jeune femme. Nicolas a reçu neuf coups de couteau et a dû se faire poser 40 points de suture. « On lui a cassé une bouteille d’alcool sur la tête et on a dû lui mettre 15 points de suture à cet endroit », précise Meggy.
L’ampleur de la dette d’Altice France, s’élevant à 24 milliards d’euros, pousse l’entreprise à explorer diverses stratégies pour tenter de respirer un peu plus facilement. La société mère de SFR a récemment levé 350 millions d’euros sur les marchés obligataires par le biais de la banque Goldman Sachs, avec un remboursement programmé pour le 1er février 2027.
Cette injection financière vise à racheter une portion de la dette arrivant à échéance en 2025, qui s’élève initialement à 1,65 milliard d’euros. Cela fait partie d’une série d’échéances à venir : 1,33 milliard d’euros en 2026, puis 5,5 milliards en 2027. À l’échelle nationale, les dettes d’Altice France totalisent 24 milliards d’euros, tandis que le groupe dans son ensemble affiche un endettement de 60 milliards d’euros au niveau mondial !
Cette opération ne constitue pas la première initiative d’Altice dans cette direction. En octobre dernier, le groupe avait déjà levé 800 millions d’euros d’emprunts sur les marchés dans une optique similaire. Parallèlement, la société explore d’autres pistes pour obtenir des liquidités, envisageant la vente d’une part conséquente des datacenters de SFR, une possible cession d’une partie de l’opérateur lui-même, ainsi qu’une vente éventuelle de Meo au Portugal.
Le milliardaire ultra endetté est obligé de se séparer de ses joyaux : les data centers vendus en partie à la banque américaine Morgan Stanley. Altice Portugal pourrait être vendu à un Private Equity pour 6 milliards de dollars.
Rappelons que Patrick Drahi, président et fondateur d’Altice, regroupe BFM TV, BFM Business, BFM Régions, RMC Découverte, RMC Story, RMC Sport, RMC Info Talk Sport, I24 News, SFR, 01.net, Libération. Le milliardaire assure que «Investir dans les médias, on ne le fait pas pour l’influence». Autre information importante, Alexandre Marque, avocat de Patrick Drahi dira au magazine Challenges.fr :
«M. Drahi a pris la nationalité israélienne et renoncé à la nationalité française. La perte de la nationalité lui est définitivement acquise. Il ne s’agit pas d’une double nationalité franco-israélienne».
On m’objectera que c’était du second degré, que nous manquons d’humour. Il n’empêche que, oui, je m’offusque de ce “manifeste pour mettre fin à Noël” publié par Libération. Car derrière un ton badin, il y a bien un message sous-jacent. Ne vous y trompez pas, chez Libé rien n’est gratuit.
Or, le journal gauchiste tente bien de faire passer l’idée qu’il n’y a pas “d’intérêt à maintenir ces traditions”. Et Marie-Eve Lacasse, reine du calembour au sein de la rédaction de Libé, fait une proposition : “hybridons nos fêtes et nos traditions”.
Hybrider nos fêtes et nos traditions
On connaît cette chanson : elle est toujours destinée uniquement aux catholiques et aux Européens.
Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église des représentants d’un autre culte invités à célébrer leurs rites lors d’un événement “inter-religieux” ? Jamais !
Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église cet espace religieux transformé en salle de concert ? Jamais !
Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église l’officiant prétendre que les autres croyances peuvent également mener au salut ? Jamais !
Tout cela ne se constate que dans des lieux de culte catholiques, par la complicité malfaisante de certains prêtres modernistes ayant perdu toute notion de leur mission sacerdotale.
La proposition émise par Libération d’hybrider nos fêtes et nos traditions est un insupportable appel au reniement qui n’est entendu par aucune autre croyance, culture ou civilisation. Ni les Juifs, ni les musulmans, ni les bouddhistes n’ont l’intention d’hybrider leurs fêtes et leurs traditions.
Et vous ne risquez pas de lire de sitôt un article de Libération intitulé Manifeste pour mettre fin à Hanouca…