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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 278

  • 7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

    Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

    On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
    Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

     

    Source : contre-info

  • «Notre appartement est invendable, on est bloqués» : à Paris, les riverains de la prison de la Santé excédés par les nuisances et l’insécurité autour de l’enceinte

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    Depuis la réouverture de la prison parisienne en 2019, le quotidien des habitants du quartier s’est fortement dégradé. À bout, ces derniers ont alerté le ministre de l’Intérieur.

    En ce début de soirée d’été, à l’angle des rues Jean Dolent et Messier dans le 14e arrondissement de Paris, plusieurs jeunes traînent devant un immeuble. Ces détenus en semi-liberté se retrouvent pour rejoindre, ensemble, la prison de la Santé. «Aujourd’hui, c’est la version soft. Le problème, c’est quand ils parlent fort, dealent et font preuve d’incivilité», explique une riveraine qui sort sa poubelle puis montre du doigt un filet de pomme de terre resté coincé sur l’enceinte du célèbre centre pénitentiaire, inauguré en 1867. «La nuit ici, c’est lancer de paquets par-dessus le mur et parloirs sauvages», témoigne un autre résident, quelques portes plus loin. «Ce soir, la pluie est plus efficace que la police», ironise-t-il. Depuis la réouverture, en 2019, du dernier centre pénitentiaire de Paris intra-muros après quatre ans de rénovation, la cohabitation, même à bonne distance, avec les détenus est très mal vécue par les habitants du quartier.

    «Tout ça se passe sous les yeux des caméras»

    Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, en date du 28 juillet dernier, ils font état de «trafic de drogue, invectives, incivilités, bruits, agressions verbales, menaces», notamment au moment du transfert des détenus en semi-liberté, entre 18 heures et 20 heures. Ils décrivent aussi les nuisances sonores la nuit : les bruits de moteur ou de klaxon des voitures, les conversations entre détenus à travers les fenêtres à barreaux . «À bout», les riverains réclament «une réunion avec un représentant de la Préfecture de police» afin de trouver des solutions. Ils sont pour le moment sans réponse. Déjà, quelques mois après la réouverture de la Santé, l’association avait écrit à la directrice de l’établissement pour alerter sur les dégradations de leur quotidien.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Limoges (87) : 2 jeunes sur un scooter percutés et tués par une voiture en tentant de fuir un contrôle de police ; un “bref épisode” d’émeutes éclate

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023

    En apercevant un équipage de la BAC, le scooter a pris la fuite et a percuté une voiture en grillant un feu rouge.

    Deux jeunes hommes sont morts dans la nuit de samedi à dimanche à Limoges, dans la Haute-Vienne, en tentant d’échapper à un contrôle de police, a appris Le Figaro de source policière, confirmant une information d’Actu17. (…)

    (…) Le conducteur de la voiture accidentée n’a quant à lui pas été blessé.

    (…) Selon nos informations, ce drame a déclenché un bref épisode de violences urbaines avant que le calme ne revienne.

    Le Figaro via fdesouche

  • « La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise » : En deux mois, une centaine de « sans-abri » de région parisienne pris en charge près de Rennes

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023

    19 sans-abri de la région parisienne étaient arrivés en juin 2023 à Montgermont, près de Rennes (Ille-et-Vilaine). Depuis, des nouveaux résidents ont été accueillis dans ce sas d’hébergement temporaire. Combien sont-ils ? Qu’est-il advenu d’eux ? La préfecture de Bretagne poursuit le dispositif, en déclinant les solutions dans les différents départements de la région.

    La Bretagne fait partie des dix régions choisies par l’État en mai 2023 pour accueillir des sans-abri de la région parisienne. Il a identifié des locaux, renommés sas d’hébergement. L’un d’eux est à Montgermont, en bordure de Rennes (Ille-et-Vilaine).

    […]

     

    Qui sont ces résidents temporaires ?

    Tous étaient à la rue, dans Paris ou en périphérie. Beaucoup d’hommes et femmes, isolées. Quelques familles avec des enfants mineurs. L’État avait promis que chacun viendrait sur la base du volontariat. « C’est vrai », confirment quatre jeunes qui sortent du sas de Montgermont. Ils ont entre 28 et 35 ans et sont originaires d’Éthiopie et d’Érythrée.

    « Ici, on est en sécurité et on peut faire une demande d’asile », détaille l’un d’eux qui dormait dehors depuis plusieurs mois au camp de migrants de la Porte de La Chapelle. La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise…

    […]

     

    Ouest-France via fdesouche

  • Pagny, Biolay… la Cour des comptes s’interroge sur les aides versées aux plus gros artistes dont la maison de disques de Halliday, décédé en 2017

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023

    Les aides à la création remplissent-elles leur rôle quand elles soutiennent Juliette Armanet à hauteur de 150.000 euros ou versent plus de 400.000 euros à la maison de disques de Johnny Hallyday depuis son décès, s’interroge un rapport. La part la plus importante des aides à la création serait versée à des artistes confirmés «dont l’équilibre économique ne paraît pas nécessiter de soutien particulie

    L’aide à la création devrait être, du moins dans l’imaginaire collectif, versée à de jeunes artistes en devenir. Surprise, selon un rapport de juin 2023 de la Cour des comptes, la plus grosse part des subventions – qui représente des centaines de milliers d’euros – bénéficie à des artistes confirmés. En 2021, par exemple, Florent Pagny, plus de 35 ans de carrière, s’est vu gratifié de 271.000 euros. Bernard Lavilliers, près de 60 ans de carrière, et 120.000 euros d’aides à la création. Ou encore Benjamin Biolay et Juliette Armanet, dont la notoriété n’est plus à prouver, qui ont respectivement reçu 119.000 et 154.000 euros. Non sans une certaine ironie, la Cour des comptes s’étonne également de trouver parmi les derniers bénéficiaires un certain Johnny Hallyday, dont les comptes ont été abreuvés entre 2019 et 2022 de 333.890 euros. L’artiste, on le rappelle, est décédé en 2017.

    Il n’y a rien d’illégal dans ces attributions de financement, rappelle Le Canard enchaîné. Mais, pour la Cour des comptes ces aides s’écartent de leur intention originelle. «Les dépenses consacrées à la création artistique ont vocation à favoriser la diversité musicale, les nouveaux talents et les projets innovants», rappellent les experts. Or ce n’est pas vraiment le cas. Une poignée de gros producteurs et d’artistes confirmés bénéficient «d’une part substantielle des aides», tandis que le reste est saupoudré sur une multitude de jeunes artistes et de petits labels. La Cour des comptes «s’interroge sur l’utilité d’aides importantes attribuées à des projets portés par des artistes installés et dont l’équilibre économique ne paraît pas nécessiter de soutien particulier».

    La question est d’autant plus pertinente que le gâteau est gros, très gros. «À chaque achat de smartphone, le consommateur casque une taxe de 14 euros pour avoir le droit de copier de la musique», rappelle Le Canard enchaîné. Tous les produits qui sont susceptibles de contenir de la musique sont ainsi frappés : concernant les CD et DVD à graver au départ, la redevance s’est étendue aux disques durs externes, aux clefs usb et cartes mémoire, aux baladeurs MP3, aux box internet, aux téléviseurs avec mémoire, aux tablettes et aux smartphones, la vente de ces derniers constituant la plus grande part des sommes collectées. En 2021, téléphones et tablettes reconditionnées ont été ajoutés à la liste des produits impactés. En 2022, la redevance copie privée s’est élevée à plus de 300 millions d’euros, dont près de 170 au titre des «droits du sonore», donc de l’industrie musicale. […]

    Le Figaro via fdesouche