Publié par Guy de Laferrière le 30 mars 2023

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Publié par Guy de Laferrière le 30 mars 2023
Publié par Guy de Laferrière le 30 mas 2023
Le banal rappel au civisme s’est transformé en tabassage en règle. La scène remonte au 18 février dernier dans une rame du métro de Toulouse (Haute-Garonne) qui circulait entre Bagatelle et le terminus de Basso-Cambo. Un passager allume, tranquille, une cigarette. Et un autre voyageur, incommodé, lui demande sans agressivité de l’éteindre. Mais ce rappel au règlement va lui coûter très cher. L’intéressé n’apprécie pas en effet d’être ainsi tancé, il se rue sur son interlocuteur et fait tomber sur lui une pluie de coups. L’agression se double d’un vol puisqu’il profite du passage à tabac pour arracher le sac à dos de la victime et le faire passer à un complice présent dans la rame.
Son propriétaire s’accroche, il poursuit ses agresseurs en courant jusque sur le parvis du terminus. Deuxième accrochage, deuxième volée de coups pour l’usager de 24 ans qui ira porter plainte peu après au commissariat.
L’enquête s’est dénouée en ce début de semaine grâce au long travail de recoupement des images de vidéoprotection des spécialistes de la cellule technique d’aide à l’enquête de la sûreté départementale. Il a permis d’identifier deux hommes, âgés de 18 et 22 ans, déjà connus des services de police, et interpellés chez eux. Le téléphone de la victime a été retrouvé chez l’un d’eux qui a aussi conduit les policiers dans un buisson de son quartier où se trouvait encore le sac à dos vidé.
L’un des deux agresseurs a fait le choix d’une procédure de « plaider coupable ».
20 minutes via fdesouche
Publié par Guy de Laferrière le 30 mars 2023
Le suspect a été interpellé et placé en garde à vue. Le syndicat Force Ouvrière indique que plusieurs incidents ont eu lieu ces derniers mois au sein de cet établissement hospitalier.
Trois personnes ont été poignardées mercredi 29 mars à l’hôpital de Montauban dans le Tarn-et-Garonne par un patient, indique une source policière à franceinfo. L’une d’elle est dans un état grave. La victime gravement touchée est un agent de la fonction publique hospitalière, selon la CGT jointe par France Bleu Occitanie. Son pronostic vital est engagé. Il se trouvait dans les allées du bâtiment central au moment de l’attaque. L’agression a eu lieu au rez-de-chaussée de l’hôpital à la pause méridienne. Selon une source policière, l’auteur des coups de couteau est un patient connu des services psychiatriques de l’hôpital. Il a été interpellé et placé en garde à vue.
Selon nos informations, un jeune homme de 26 ans, aurait pénétré dans les locaux du centre hospitalier avant d’agresser trois personnes sur le site.
Une femme de 43 ans a été grièvement blessée. Elle a été prise en charge par le SMUR.
Un homme de 57 ans et une femme de 50 ans ont été légèrement blessés.
Publié par Guy de Laferrière le 30 mars 2023
D’après une circulaire ministérielle dont « Le Monde » a eu connaissance, les migrants seront incités à partir en province, grâce à un dispositif garantissant un hébergement et un meilleur accès au droit. L’objectif est d’éviter les retours à Paris, où nombre d’entre eux vivent dans la rue.
Le gouvernement s’apprête à ouvrir des « sas » d’hébergement temporaire en région pour mieux orienter les personnes migrantes à la rue en dehors de l’Ile-de-France, où les situations de campements sont récurrentes et l’hébergement d’urgence saturé. D’après le ministère de l’intérieur, quelque 500 places devraient être ouvertes, dont les premières « courant avril »,réparties dans dix régions. L’idée est que lors des opérations de mises à l’abri, les personnes soient dirigées en province dans des bâtiments aménagés. Sous trois semaines, un examen de leur situation administrative sera systématiquement enclenché et un hébergement, proposé.
D’après la circulaire ministérielle diffusée aux préfets en mars par les ministres de l’intérieur et du logement, et dont Le Monde a pris connaissance, les personnes seront informées, selon leur profil, de leur droit à demander l’asile, un titre de séjour ou un retour volontaire dans leur pays et, tout le temps de la procédure d’examen, un hébergement leur sera garanti.
(…) L’enjeu est donc de réussir durablement le départ vers la province des publics migrants à la rue, alors que l’hébergement d’urgence en région parisienne est saturé et qu’une partie du parc hôtelier, qui pouvait être réservé par l’Etat pour accueillir des familles à la rue, se réoriente vers une clientèle touristique, à l’approche de la Coupe du monde de rugby et des Jeux olympiques.
La circulaire ministérielle prévoit que demandeurs d’asile et réfugiés se verront, à la sortie de ces sas, proposer des hébergements, tandis que les demandeurs d’asile qui ont perdu leur droit à un hébergement et à une allocation de subsistance « seront systématiquement orientés vers l’hébergement généraliste ». Il en sera de même pour les personnes en situation irrégulière et souhaitant demander leur régularisation. En outre, pour ces dernières, des « créneaux de rendez-vous et des guichets dédiés devront être réservés » en préfecture.
Sur le cas précis des personnes sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), la circulaire indique que « l’examen actualisé de chaque situation est nécessaire » pour voir si des éléments nouveaux, notamment eu égard à la vie privée et familiale, justifient un réexamen du droit au séjour. « Beaucoup de situations sont très mal connues, et certaines personnes remplissent sans doute déjà les conditions pour obtenir un titre de séjour, précise le directeur général des étrangers en France, Eric Jalon. Les critères ne seront pas modifiés, mais il faut que les réponses soient apportées plus rapidement. »
Une façon de créer une incitation à accepter le départ en région, avec l’espoir de sortir d’impasses administratives. « L’idée est qu’à travers un examen plus normé et cadré, les personnes puissent avoir un meilleur accès au droit, y compris celui du séjour », appuie Sylvain Mathieu.
Publié par Guy de Laferière le 30 mars 2023
(Sur Sud Radio) Islamisation de l'Europe : c'est encore pire en Allemagne et dan le Royaume-désuni que chez nous... Au sein de l'OTAN, un officier allemand a confié à son homologue français : "Avec la Turquie, on ne peut plus rien faire, plus rien dire, la population turque est trop élevée dans notre pays. L'entrisme de l'Islam politique turc est trop fort..."
(extrait vidéo 1'16)
https://twitter.com/F_Desouche/status/1640683470186856448?s=20
711, Gibraltar;
1453, Constantinople;
aujourd'hui... le combat contre l'Islam envahisseur continue !