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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 395

  • "Non, Louis XIV n’est pas un “étranger qui a fait l’histoire de France”...

    Publié par Guy de Laferrière le 23 juin 2023

    Louis XIV, icône du pouvoir, entre au MBAM | Le Devoir

    Non, Louis XIV n’est pas un “étranger qui a fait l’histoire de France”...

    "TRIBUNE - Une affiche du nouveau Musée de l’histoire de l’immigration présente Louis XIV comme «un de ces étrangers qui ont fait l’histoire de France». Pour l’historien et essayiste Vincent Haegele, directeur de la bibliothèque de Versailles, cette contre-vérité historique témoigne d’une volonté de persuader les Français qu’ils n’appartiennent à aucune nation.

    Vincent Haegele a notamment codirigé, avec Franck Favier, l’ouvrage collectif «Traîtres. Nouvelle histoire de l’infamie» (Éditions Passés composés, 20203).
    À chaque fois, c’est le même dilemme: faut-il relever une énième provocation, quand bien même celle-ci s’affiche en toutes lettres dans l’espace public? La récente campagne de promotion du Musée de l’immigration aurait pu rester d’une banalité affligeante: elle est l’illustration de l’éternelle tentation de draguer le public à grand renfort de pauvres effets de manches. Elle rappelle les aboyeurs des temps jadis qui promettaient un spectacle hors du commun pour les boîtes de Pigalle. Flatter les bas instincts, espérer un soupçon de polémique et voilà, la machine est en route.

    Donc, oui, nous aurions pu ignorer cela. Oublier ce «Louis XIV, mère espagnole, grand-mère autrichienne» et donc «étranger». Mais voilà, au-delà du procédé lamentable, il y a eu nécessairement des réunions, des avis donnés et, on l’imagine, l’accord d’un comité scientifique…"

    "persuader les Français qu’ils n’appartiennent à aucune nation."

    C'est exactement cela, le programme révolutionnaire de 89/93, sur lequel s'appuie notre Constitution d'aujourd'hui, qui l'affirme dans son néfaste "Préambule" : détruire la France traditionnelle, lentement surgie des Âges, et la remplacer par une abstraction (la soi-disante "République", alors que nous ne sommes ni en République ni en Démocratie, ce qu'on nous présente comme telles n'étant rien d'autre qu'un Totalitarisme idéologique et une nouvelle religion).

    Et cette abstraction-là, toute personne sur terre peut la faire sienne, et, donc, devenir "française" puisqu'être français n'est plus naître de parents français mais aligner des mots creux et vides de sens, et qui plus est totalement démentis et contredits par la réalité...

    Il faut donc remonter à la source, à la cause du Mal : la Révolution, sur laquelle se fonde notre Système, et, tout simplement, changer ce Régime qui nous dilue, nous dissout, nous détruit, pour renouer avec "les intuitions de nos origines" :

    • notre Royauté traditionnelle, qui, rappelons-le une fois de plus aux idéologues, a fait la France;

    • et redire sans cesse que la France est une Patrie charnelle, non un enfilage sans fin de niaiseries et billevesées purement abstraites et idéologiques...

     

    Source : lafautearousseau.

  • Près de Montpellier, des dizaines de jeunes “venus des cités” font des razzias sur les plages de la région ; les baigneurs dépouillés de leurs biens, de nombreuses plaintes déposées

    Publié par Guy de Laferrière le 22 juin 2023

    Vingt à quarante adolescents venus des cités de Montpellier font une razzia sur les plages du Pont du Diable, sur le bord du fleuve Hérault. Les baigneurs sont dépouillés de biens.

    Depuis ces dernières semaines, beau temps oblige, les baigneurs habitués des plages du site du Pont du Diable, sur les rives du fleuve Hérault, dans les communes d’Aniane, Saint-Guilhem-le-Désert et Saint-Jean-de-Fos, à 30 km à l’ouest de Montpellier se pressent nombreux, notamment le week-end.

    Cela attire la convoitise d’une bande d’adolescents des cités de Montpellier, qui ne vient pas faire du tourisme, mais une razzia sur les effets personnels des baigneurs. Des pickpockets agiles et doués qui agissent en douceur.

    Un phénomène qui se répète tous les étés. Ces mineurs sont entre vingt et quarante, se déplacent en scooter notamment et sont à l’affut : quand les personnes se mettent à l’eau, ils dérobent ni vu, ni connu, clés de voiture -puis, ils les repèrent sur les parkings proches-, téléphones portables et portefeuilles. De nombreuses plaintes ont déjà été déposées et des enquêtes de gendarmerie sont en cours.

    (…) Actu.fr via fdesouche

  • Agression, Brahim, le Français

    Publié par Guy de Laferrière le 21 juin 2023

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  • Bordeaux : Une grand-mère et sa petite-fille violemment agressées

    Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2023

    Mise à jour le 20 juin à 17h15

    Lundi 19 juin, aux alentours de 17 h 30, sur le cours de la Martinique, en plein centre de Bordeaux (Gironde), une grand-mère de 73 ans et sa petite-fille de 7 ans ont été victimes d’une violente agression devant leur domicile. Le suspect a été interpellé quelques heures plus tard.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1671040451032371200

     

    Sur les images prises par la caméra de l'interphone du domicile, on voit un homme observant la grand-mère et sa petite fille devant leur domicile. Il s'approche pour bloquer la porte d'entrée avec son pied avant de se précipiter à l'intérieur pour saisir les victimes et les projeter violemment sur le trottoir. L'agresseur vole des effets personnels avant de s'enfuir.

    Selon CNews, l'homme interpellé quelques heures plus tard par la police, Brahima B., est un Français né en 1993, sans domicile fixe et « très défavorablement connu des services de police ». Il a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte pour déterminer le mobile et les circonstances de cette agression. La grand-mère s'est vue délivrer 4 jours d'ITT. Des expertises complémentaires seront réalisées pour déterminer les dommages.

    L'agresseur présente des troubles du comportement majeurs liés à une pathologie psychotique et schizophrène. BFMTV relate que sa garde à vue est levée : "A la suite de cette expertise, les autorités ont décidé que le suspect soit hospitalisé en psychiatrie à l'hôpital Charles Perrens à Bordeaux".

     

    Source : bvoltaire

  • 21 juin 1973 : Ordre nouveau introduisait le problème de l'immigration dans le débat politique français

    Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2023

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    Au début des années 1970, la droite nationale française n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, au top de sa splendeur. Cependant, avec courage et panache, un jeune mouvement maintenait en vie l'idéal nationaliste. Ce mouvement, c'était Ordre nouveau... Durant son existence éphémère (1969-1973), Ordre nouveau suscita tout ce qui, dans les décennies qui suivirent, devait amener la droite nationale aux portes du pouvoir, à savoir le Front national et le combat contre l'immigration incontrôlée. 

    C'est justement la dénonciation de cette immigration, si juteuse à la fois pour le grand patronat et pour les organisations marxistes, qui attira sur Ordre nouveau les foudres du Système. En effet, le 21 juin 1973, au Palais de la Mutualité à Paris, ON organisait la première grande réunion publique sur le thème "Halte à l'immigration sauvage !". La soirée fut épique cliquez ici. et cliquez là... Une semaine plus tard, le 28 juin, le gouvernement prononçait sa dissolution. C'était il y a 50 ans... Et, depuis, la situation n'a pas cessé d'empirer.

    Afin de marquer le 50e anniversaire de cette ultime campagne d'Ordre nouveau, il nous a semblé intéressant de mettre en ligne l'article que notre camarade et ami Philippe Pierson, hélas décédé en 2015, consacra à ce mouvement dans la revue Synthèse nationale (n°16, novembre-décembre 2009).

    Roland Hélie 

    LE TEMPS D’ORDRE NOUVEAU…

    L’existence d’Ordre Nouveau a  été relativement brève. De sa naissance, en novembre 1969, à la dissolution de juin 1973, il ne s’est guère écoulé plus de trois années. Ordre Nouveau succédait à d’autres mouvements nationalistes au parcours plus ou moins météorique et même s’il s’est dans une large mesure prolongé dans le Parti des forces nouvelles (PFN), le « temps d’ON » fut bref et singulier. Cette singularité même fut porteuse d’avenir.

    Contrairement à ce qu’on dit parfois, l’aventure n’a pas été sans lendemain. Celui qui croit à son combat ne milite jamais en vain.  Le « groupuscule avorton et paradeur »- ainsi que ses grands amis de la Ligue communiste le désignaient dans leur style inimitable – n’est pas resté sans héritage.

    J’ai parlé d’une aventure. C’en fut une, en effet, et qui vit encore en nous. Nous avions eu vingt ans quelque part autour de mai 1968 et poussés par je ne sais quelle aberration, nous nous étions engagés dans le combat nationaliste à une époque où régnait une atmosphère de gauchisme assez comparable dans son unanimisme à la mode écolo d’aujourd’hui. A cette différence près que toutes les chapelles du gauchisme prônaient la révolution violente, en paroles, mais aussi en actions. Pour un lycéen, un étudiant, un jeune travailleur, s’affirmer militant de l’ULN (Union des lycéens nationalistes – branche lycéenne d’Ordre nouveau), du GUD (Groupe Union et Défense – branche étudiante) ou d’ON était assez concrètement dangereux.

    D’où une première singularité : il était préférable de ne pas avoir de répugnance de principe pour l’affrontement physique, ou alors de savoir la garder pour soi.

    Autre singularité : nous nous voulions en rupture. Avec la démocratie bourgeoise, version gaulliste ou libérale, avec le conformisme marxiste et marxisant, bien sûr, mais aussi avec nos aînés « nationaux ». Soyons clair : c’était très souvent - pas toujours –  injuste mais pour nous, tout ce qui dans la famille « nationale » avait plus de 30 ans (plus de 75% des adhérents n’avaient pas cet âge) était au mieux un honorable vaincu, au pire un vieux con (1). Nous ne voulions rien connaître des défaites du passé, sinon les enseignements à en tirer.

    Nous avions notre propre style, nos propres emblèmes et signes de reconnaissance – comme le rat noir et ce graphisme particulier que l’on rencontre encore aujourd’hui dans les coins d’Europe les plus inattendus (2).

    L’organisation était assez brouillonne et aléatoire. Il suffisait souvent d’adhérer pour se retrouver à son corps défendant responsable de plusieurs arrondissements parisiens ou d’un département entier.

    Les cheveux étaient plutôt longs, nous pratiquions l’autodérision plus souvent qu’à notre tour et nul n’était plus moqué que le « mytho », celui qui se complaisait dans la nostalgie des combats d’hier. Nous préférions les Stones et les Who à la musique militaire, nous riions beaucoup, nous chantions, nous recevions des coups que nous rendions généreusement, nous buvions pas mal aussi…. Nous étions fêtards et bagarreurs et les petites militantes désireuses de protéger leur vertu avaient parfois fort à faire…Et « le mouvement » était toute notre vie.

    Finalement, nous ne vivions pas si mal notre époque. Pour nous aussi, d’une certaine façon, mai 68 était passé par là. Nous savions que rien ne serait plus vraiment pareil, que cela nous plaise ou non, et incarner le nationalisme d’après 68 était très exactement ce que nous voulions.

    Alors bien sûr, ce qui reste d’abord aux « anciens » ce sont des souvenirs épiques, tumultueux et des amitiés indéfectibles. Une vraie solidarité aussi… Comment pourrait-il en être autrement ?

    Mais est-ce bien tout ? Sûrement pas, sinon l’héritage d’ON serait au final assez conforme à l’image qu’en donnaient nos adversaires : barres de fer et casques noirs, meetings homériques, bagarres sur les marchés et guère de  réflexion, ni de véritables visées politiques.

    Dirigeants et militants avaient bel et bien une ligne et un objectif principal et le « style ON », dans ses excès même, n’en était qu’une traduction. Mais ce n’est pas dans les documents d’actualité de l’époque qu’on pourra s’informer là-dessus, tant l’occasion ne fut quasiment jamais donnée à ON d’exposer ses thèses dans les médias.

    Nous n’y comptions guère d’ailleurs, tablant sur l’agressivité et le goût du spectaculaire pour obtenir une visibilité qui ne nous aurait jamais été accordée spontanément. Dans certaines circonstances et à condition de ne pas confondre le moyen et le but, un tel choix peut se justifier : il ne sert à rien de chercher à plaire à  des adversaires qui ont tous les moyens de vous ignorer sur le fond et tout intérêt à vous diffamer. De surcroît, compte tenu de l’ambiance de l’époque où le gauchisme faisait régner une atmosphère de terrorisme intellectuel mais aussi physique, le « style ON » n’était pas vraiment un obstacle au recrutement à condition de savoir éliminer détraqués et provocateurs (3).

     

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