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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 464

  • Les enlèvements et séquestrations, souvent liés au trafic de drogue, se multiplient en France

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Les enlèvements en plein jour suivis de séquestration ont considérablement augmenté ces derniers mois dans l’Hexagone. Ils concernent généralement des personnes impliquées dans le trafic de drogue et n’épargnent aucune région du pays.

    Un jeune homme frappé, brutalisé et sous la menace d’une arme, jeté de force dans le coffre d’une voiture par quatre agresseurs masqués. La scène se déroule en plein jour, le 8 janvier dernier, à Villeparisis (Seine-et-Marne). Au cours de l’enquête, les policiers retrouvent la victime à son domicile à l’autre bout de la région parisienne. Elle n’a pas souhaité déposer plainte. À Marseille (Bouches-du-Rhône), mais aussi un peu partout en France, les affaires de séquestration se sont multipliées ces dernières années. 128 ont été comptabilisées en 2022, soit une tous les trois jours en moyenne.

    L’enlèvement est une violence souvent destinée à régler des conflits dans le milieu des narco-trafiquants. “Le mobile d’un enlèvement-séquestration est, dans la très grande majorité des cas, lié au trafic de stupéfiants. Il s’agit de recouvrer une dette, de régler un contentieux au sujet de marchandises qui n’ont pas été livrées, qui n’ont pas été payées ou qui ont été volées“, explique Yann Sourisseau, chef de l’Office centrale de lutte contre la criminalité organisée. Pour les victimes, ces méthodes peuvent parfois s’avérer de simples avertissements, visant à leur faire peur.

    francetvinfo via fdesouche

  • Paris : en pleine grève des éboueurs, une association de défense de la cause animale manifeste pour la défense des rats

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Alors que plusieurs milliers de tonnes de déchets jonchent les trottoirs de la capitale, laissant craindre l’apparition de risques sanitaires, une association de défense de la cause animale va manifester samedi 18 mars pour défendre les rats, rapporte Le Parisien. “Baroque”, “ridicule”, “hors sol”… L’initiative de PAZ, organisée “bien avant” le début de la grève des éboueurs, fait tiquer les acteurs locaux.

    À 13h30, Paris animaux zoopolis organise un “petit happening pour défendre les rats et les animaux liminaires”, place Saint-Sulpice, dans le VIe arrondissement de Paris. Les militants ont prévu de “sensibiliser les passants“, de “brandir des silhouettes de rats pour faire changer le regard que l’on porte sur eux” ou encore de faire des discours.

    Il est grand temps de cesser d’empoisonner massivement les rats, exige auprès du Parisien Amandine Sanvisens, cofondatrice de PAZ. Il faut expérimenter d’autres méthodes.” Objectifs : “interpeller la mairie de Paris“, “mettre le sujet rat sur la table” et “obtenir une réponse sur le groupe de travail que nous avons demandé“.

    L’association dénonce également les “méthodes cruelles” utilisées par la ville pour tuer ces “animaux étonnants, intelligents, sociaux et même rieurs, dotés de surprenantes capacités d’empathie“.

    Je ne suis pas sûr que leur manifestation de ce samedi, en pleine grève des éboueurs, soit bien comprise. Ça paraît un peu baroque en ce moment ! C’est peut-être d’ailleurs un coup de com“, s’interroge le maire LR du VI arrondissement, Jean-Pierre Lecoq, interrogé par le Parisien. “On a fait notre demande auprès de la préfecture de police bien avant la grève des éboueurs, répond Amandine Sanvisens. Ça n’a aucun rapport. Et ça fait depuis 2008 qu’on a lancé notre campagne sur les rats.”

    En attendant, la manifestation n’est pas du goût des spécialistes de la question. “Cette manifestation est ridicule et complètement hors sol, s’insurge Romain Lasseur, biologiste, spécialiste des rats, doctorat de toxicologie animale. Ce n’est ni le lieu ni le moment, en plein milieu de ce mouvement social qui fait souffrir les Parisiens, avec des rats et un risque sanitaire.”

    Interrogé par le Parisien, Christophe Farinet, figure syndicale chez les éboueurs et encadrant et secrétaire général adjoint à la CGT propreté assainissement, minimise la portée du sujet. “Il n’y a pas plus de rats que d’habitude. D’ailleurs, après les grosses grèves comme en 2010, quand les éboueurs avaient repris le travail, on n’avait pas remarqué de pics des populations de rats“, explique-t-il.

    actu.orange via fdesouche

  • Saint-Étienne : refusant un contrôle, Rayane, avait percuté un policier à 60 km/h sur sa trottinette ; il a été condamné a une amende

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Rayane a pris un avocat et il a bien fait. Ce dernier va soulever plusieurs points contestables à son procès, cette semaine, pour « violences aggravées », « refus d’obtempérer », « conduite sous stupéfiants » et « détention de stupéfiants ». Les faits paraissent graves, mais au final l’affaire va un peu se dégonfler.

    Retour en arrière : le 20 septembre 2022, Rayane est sur sa trottinette électrique boulevard Thiers. Des policiers veulent le contrôler mais il refuse de s’arrêter. « Pourquoi ? », demande la juge. « J’ai eu de mauvaises expériences avec la police dans le passé, j’ai eu peur. » « Ce n’est pas parce que vous aviez du cannabis sur vous ? » « Oui, aussi… »

    Rayane décide d’accélérer sur sa trottinette. Il fait des pointes à 60 km/h, selon les policiers qui le prennent en chasse dans leur voiture. Un autre équipage est prévenu et, à l’intersection avec la rue Barrouin, trois fonctionnaires à pied lui barrent le chemin. Rayane affirme qu’il ne les a pas vus : « Je regardais mon téléphone, c’est en relevant la tête que je les vois au dernier moment. »

    […]

     

    Son mea culpa et la procédure bâclée vont amener les juges à se montrer cléments : le parquet avait requis entre six et huit mois de prison avec sursis, Rayane écope finalement de 90 jours-amendes à 10 euros.

    Le Progrès via fdesouche

  • Panique dans la Macronie : tous ses députés placés sous protection policière

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Gérald Darmanin a annulé son déplacement en Gironde et convoqué tous les préfets de France ce vendredi matin à 10h30 pour une visio-conférence sur la situation sociale après le recours au 49-3 pour imposer la réforme des retraites. La participation de tous les préfets était obligatoire, selon Mediapart. L’ampleur et la violence des manifestations de mécontentement d’hier soir inquiète les services de police.

    Tous les députés Renaissance sont placés sous protection policière par peur de représailles. Ne parlons pas des ministres invités à réduire leurs déplacements au strict nécessaire et sous haute protection. Combien coûte une telle mesure ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Krach bancaire : vers l’effondrement, la Révolution et l’or à 3000 $ l’once !

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

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    Marc Rousset

    Le CAC 40 a dévissé ce mercredi de 3,58 % à 6885,71. Tout cela à cause d’un battement d’ailes de papillon en Californie ! C’est en fait la banque centrale des États-Unis qui est à l’origine de la faillite de la banque californienne Silicon Valley Bank (SVB), car elle a été obligée de remonter les taux d’intérêt pour combattre l’inflation. SVB, la dix-neuvième banque américaine en matière d’actifs, avec 170 milliards de dollars de dépôts, était une banque honnête finançant de nombreuses « start-up » en Californie et de nombreux domaines viticoles. Cette faillite n’a donc rien à voir avec la crise des crédits hypothécaires « subprimes » pourris à hauts risques qui ont conduit en 2008 à la faillite de Lehman Brothers.

    La SVB avait investi dans des produits très sûrs, des bons du Trésor américain, mais à un moment où les taux d’intérêts étaient très bas, voire négatifs. Et lorsque les dirigeants de SVB ont voulu vendre 20 milliards de dollars de bons du Trésor américain pour faire face aux retraits précipités des dépôts par les clients (bank run), SVB a alors essuyé une perte de 1,8 milliards de dollars. Les bons du Trésor avaient en effet perdu de leur valeur, suite à la hausse des taux d’intérêt déclenchée par la Fed ! Une levée de fonds en capital pour reconstituer la trésorerie n’a pas pu être réalisée et ce fut la faillite pour SVB.

    Un autre fait marquant de cette faillite, c’est que l’Agence de garantie dépôts (FDIC) a immédiatement pris le contrôle de SVB et « Signature » (autre banque en faillite). Mais la FDIC propose un maximum de garantie de 250 000 dollars par déposant. Et pour certaines sociétés ayant des dépôts de plusieurs millions de dollars, c’était la faillite assurée, avec des répercussions économiques terribles, des faillites en chaîne, des licenciements sans fin (au minimum 100 000), des arrêts d’activité pour des sociétés innovantes de haute technologie (la moitié des « start-up » américaines), de recherche biologique, pleines d’avenir. C’est donc l’État fédéral américain qui remboursera la différence, de façon à ce que tous les déposants puissent récupérer leur argent. Seuls les actionnaires des banques et leurs dirigeants ont tout perdu dans cette faillite retentissante. En fait, c’est la politique du « quoi qu’il en coûte » et la fuite en avant qui continue, depuis 2008, pour maintenir le Système. Joe Biden, pour éviter que la situation ne dégénère, a déclaré qu’il sera fait tout ce qui est nécessaire (« whatever is needed ») !

    Mais, suite à l’effet domino, c’est tout le secteur bancaire dans le monde qui a été dans la tourmente. Les valeurs bancaires en France et en Europe ont chuté de 10 % à 15 % et le Crédit Suisse, prestigieuse banque systémique qui avait déjà dévissé depuis deux ans, a accentué sa descente aux enfers avec une chute de plus de 30 % de son cours de Bourse. Son premier actionnaire, la Saoudi National Bank, avec 9,8 % des actions, a annoncé qu’il n’allait pas soutenir la banque suisse en apportant des capitaux nouveaux. Au nom de SVB s’est donc ajouté celui de Crédit Suisse, d’où une véritable tempête boursière en Europe sur toutes les banques : BNP Paribas, Société Générale, Commerzbank, Deutsche Bank. Le Prix Nobel Joseph Stigliz n’exclut pas d’autres défaillances. C’est en fait la Banque Nationale suisse qui, en s’engageant à apporter 50 milliards de francs suisses pour sauver la deuxième banque systémique du pays et trentième plus grande banque dans le monde, semble cette fois avoir véritablement sauvé les meubles !

    Le problème financier, économique et structurel fondamental, c’est qu’à l’heure actuelle, suite à l’augmentation des taux d’intérêt par la Fed, on peut estimer aux États-Unis qu’il y a dans les portefeuilles d’obligations et de bons du Trésor des établissements financiers, environ 620 milliards de moins-values latentes, comme ce fut le cas pour SVB, en Californie, lorsqu’elle fut obligée de revendre les obligations à l’actif de son bilan, afin de renflouer sa trésorerie mise à mal par les retraits de ses déposants. De plus, suite à la remontée des taux, de nombreuses banques dans le monde doivent désormais rémunérer davantage leurs déposants, ce qui diminue leurs bénéfices.

    Il se trouve que la plupart des Français ne savent pas que de nombreuses banques, les compagnies d’assurance-vie – dont la fameuse AFER, par exemple – n’évaluent pas leurs obligations au prix du marché qui tient compte de la hausse des taux d’intérêt, mais à la valeur nominale de leur remboursement. L’AFER estime que, suite à l’entrée perpétuelle de nouveaux déposants, elle n’aura jamais à faire des cessions sur le marché pour vendre ses obligations en portefeuille au prix du marché ! Mais quid si un grand nombre d’adhérents paniqués de l’AFER veulent récupérer leur argent ? Non seulement l’AFER sera obligée de revendre des titres avec des moins-values, mais étant donné ses faibles effectifs administratifs par souci d’économie, elle ne sera même pas capable de répondre aux demandes trop nombreuses de retraits par ses adhérents. C’est la raison pour laquelle il a été décidé aux États-Unis que toutes les obligations d’État détenues par les déposants seraient remboursées par l’État fédéral à leur valeur nominale et non pas au prix plus bas du marché.

    D’où la ruée actuelle salvatrice sur les bons du Trésor américain car, à ce petit jeu, on est sûr de gagner ! Si les bons du Trésor baissent parce que les taux d’intérêt montent, l’État rembourse, en cas de faillite, à la valeur nominale de remboursement la plus élevée, mais si les taux d’intérêt baissent et que les bons du Trésor augment, le détenteur des ces bons garde le profit pour lui. C’est la fameuse loi du monde financier sans scrupules : les profits pour moi et les pertes pour les citoyens, les contribuables et la collectivité ! Suite à la ruée des achats par les investisseurs, les taux des bons du Trésor diminuent maintenant aux États-Unis et les détenteurs de ces bons ne peuvent que gagner !

    Les États en Europe suivront-ils la même politique en cas de faillite d’une banque ou d’un établissement financier ? C’est fort probable pour éviter l’effondrement du Système, mais que se passera-t-il si cette action doit concerner de très nombreux établissements financiers en faillite ? Faudra-t-il qu’ils en aient encore les moyens ! Un nouveau “quoi qu’il en coûte” qui finira par conduire les États à la banqueroute en Europe, ce qui pend au nez de la France et de l’Italie ! Depuis 2008, les États ne savent que distribuer de l’argent en empruntant sur les marchés et en faisant reprendre par la BCE la plupart de leurs émissions souscrites par les banques, tandis que la BCE fait marcher la planche à billets à plein régime (assouplissement quantitatif de la BCE qui vient juste de s’arrêter).

    Il se trouve que les banques centrales peuvent toujours émettre de la monnaie pour payer en monnaie de singe, mais qu’elles subissent aussi des pertes en détenant des obligations publiques ou privées qui se dévalorisent avec la hausse des taux ! La BCE détient ainsi à son actif la bagatelle de 4 410 milliards d’euros d’obligations rachetées dans le cadre de l’assouplissement quantitatif. La Banque nationale suisse qui intervient souvent sur les marchés, afin d’éviter que le franc suisse ne se valorise trop, vient d’essuyer en 2022, pour la même raison, une perte phénoménale de 132,5 milliards de francs suisses, soit pratiquement le même montant en euros !

    La capacité de la Fed et de la BCE à limiter l’inflation par des hausses de taux d’intérêt est donc maintenant fortement entravée par la faillite de SVB et l’effondrement du Crédit suisse, banque systémique. De plus, un très grand nombre d’établissements sont en faillite virtuelle partout en Europe. La nécessaire réforme des retraites d’une France hyper-endettée suffira encore moins à rassurer les marchés financiers. Voilà les banques centrales prises au piège avec des injonctions, des obligations contradictoires entre l’inflation qui doit être jugulée et le risque des déposants réclamant leur argent dans de longues files d’attente devant les agences bancaires ! Il est probable que la Fed ne majorera pas du tout son prochain taux d’intérêt directeur, 0,50 % étant le maximum envisageable.
    En fait, c’est le début de la fin pour le Système occidental qui se débat comme un beau diable depuis 2008, en pratiquant systématiquement la fuite en avant avec ses banques centrales, et qui a choisi de reculer pour mieux sauter et s’effondrer à terme d’une façon inéluctable ! En 2008, c’était en réalité de nouveau 1929 qui a été évité ! Mais demain, ce sera un krach pire que 1929 ! Et, comme toujours, lorsque les banques dévissent, l’or, valeur refuge, bondit ! Le métal jaune vient d’augmenter, en euros, de 10 % en 3 jours tandis que Crédit Suisse dévissait de 20 % ! On comprend mieux pourquoi les banques centrales en 2022 ont acheté 1136 tonnes d’or dans le monde !

    Il est fort probable que l’or va continuer à terme de s’envoler, étant déjà à 1920 dollars l’once malgré la hausse du dollar par rapport à l’euro ! Comme nous l’indiquions dans notre dernière chronique, l’expert Doug Casey estime que l’once d’or atteindra sans peine les 3 000 $. Et selon Jim Richards, autre expert incontesté, auteur de plusieurs ouvrages sur l’or et les crises, l’once d’or pourrait même s’envoler un jour jusqu’à 10 000 $ l’once !

    Notre intime conviction, c’est que l’effet cumulatif d’un krach à venir pire que 1929 et de la défaite des Occidentaux en Ukraine ainsi que le constat de l’’échec de la politique économique et sociétale en France seront le point de départ d’une révolution conservatrice. Les Européens, après la chute du mur de Berlin, ont aussi commis l’erreur de ne pas se rapprocher de la Russie ! Les élites ont de plus favorisé la délocalisation stupide pour engraisser leurs entreprises multinationales, au lieu de mettre des droits de douane, sans se soucier de l’avenir économique, technologique et industriel des peuples, ni de la paupérisation croissante des populations, au nom des bobards et de l’arnaque du libre-échange mondialiste imbécile, puisque l’échange commercial se résume en fait à des importations et à une perte de savoir-faire sans contrepartie! Le déficit commercial français est aujourd’hui supérieur à 150 milliards d’euros !

    Le prochain krach boursier et économique à venir en 2023 ou en 2024, après la victoire russe et la défaite traumatisante pour les bien-pensants de l’OTAN en Ukraine, sera à la fois le catalyseur et le déclencheur de la révolte des peuples contre l’UE et les élites actuelles progressistes, naïves, insouciantes et incompétentes du style Macron ! Ce sera alors le signal de la révolte populaire et conservatrice pour faire l’inverse de tout ce que l’on fait actuellement sur le plan économique, démographique, familial, sociétal, et politique (vivement le retour à la Real Politik !). Ce krach sera provoqué certainement par l’inflation non maîtrisée puisque le krach récent vient de démontrer l’impossibilité structurelle de remonter les taux d’intérêt aux États-Unis et en Europe, le surendettement démentiel de l’Europe du sud dont la France, et l’explosion de la zone euro !

    Ce krach mondial sera pire que 1929 et aura pour conséquence, en France, la chute de l’incapable enfant-roi Macron, une révolte populaire, la providentielle réaction tant crainte par la gauche et la nécessaire révolution conservatrice pour redresser le pays, afin de nous sortir de cette lente, abominable et inexorable décadence qui dure depuis plus de 40 ans !

     

    Source : synthesenationale