GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 467

  • Polémique à la mairie de Toulouse : Les non-catholiques peuvent bénéficier jusqu’à 6 jours de congés payés supplémentaires. Un syndicat proteste.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    Toulouse : ces congés religieux qui font polémique au Capitole

    Sur le papier, en plus des fêtes fériées, les agents de traditions religieuses juives, musulmanes ou bouddhistes ont droit à plus de congés que les autres, s’ils demandent des autorisations d’absences rémunérées.

    Les statuts de la fonction publique prévoient pour les agents territoriaux une autorisation d’absence payée pour les fêtes religieuses. Mais quid de celles qui sont des jours déjà fériés ? Un syndicat municipal dénonce une inégalité de traitement entre les diverses confessions religieuses.

    Les agents de la mairie de Toulouse de confession catholique sont-ils discriminés par rapport à leur collègue de religion juive, musulmane, voire bouddhiste, en matière de congés ? C’est ce que laisse entendre le syndicat autonome des territoriaux Toulouse métropole, le SATTMC-STT31, qui vient de lever un « lièvre » juridique autour des tableaux de service et surtout de la gestion des fêtes religieuses par la municipalité. Dans un tract envoyé à 15 000 exemplaires à tout le personnel, le délégué syndical, Jean-Christophe Béziat, s’étonne de l’application à géométrie variable d’une disposition du Code du travail.

    Des agents municipaux privilégiés

    « Les statuts de la fonction publique prévoient un nombre de jours légaux pour permettre aux agents de vivre en famille les fêtes relatives aux différents calendriers religieux, explique-t-il. Ces jours-là, les agents concernés peuvent déposer un jour de congé exceptionnel payé. Le problème, c’est que les fêtes chrétiennes comptent déjà au nombre des jours fériés en France et que les agents qui respectent ce calendrier ne peuvent pas profiter de ce dispositif en posant Noël, Toussaint ou Pâques… » , s’insurge-t-il. En creux, il remarque que toutes les autres confessions, qui profitent déjà de ces jours fériés, peuvent en plus sacrifier à leurs propres traditions en se faisant porter pâle, qui pour « Yom Kippour », qui pour « l’Aïd-el-Kebbir », qui encore pour le
    « Vesak ». Ce qui, au final, peut représenter une demi-douzaine de jours de congés payés supplémentaires dans l’année, quand les simples catholiques ou protestants doivent se contenter de l’ordinaire. « Il n’y a aucune raison que tout le monde ne profite pas de ces avantages. Il s’agit clairement d’une discrimination et d’une distorsion de la loi », assure Jean-Christope Béziat, dont le syndicat a déjà saisi le président de la République Emmanuel Macron, sur le sujet, ainsi que la Cour européenne des Droits de l’Homme pour trancher ce litige.

    (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Que le TéFéCé arrive jusqu’au bout !

     

     

    Le Toulouse Football Club s’est qualifié hier pour la finale de la «Coupe de France» en éliminant la valeureuse équipe d’Annecy.
    Les médias ont relaté cette victoire au minima.
    Que ce serait-il passé si le gagnant fut le PSG, club par excellence du grand capital et du grand libéralisme ou de l’Olympique de Marseille du même acabit ?
    Une effervescence démesurée bien entendu !
    Ici, c’est la qualification dQue le TéFéCé arrive jusqu’au bout !’une équipe de province qui vivote depuis des années de la ligue 1 à la ligue 2, faisant rêver des gens de conditions diverses, mais attachés à leur «Terre», oui, des «petits», des gens de condition «populaire et sociale».
    Moi, cela me fait chaud au cœur.
    Que le TéFéCé arrive jusqu’au bout !
     
     
     
  • Des cheminots ont envahi un immeuble parisien hébergeant BlackRock

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

     

    Des cheminots en grève contre la réforme des retraites ont envahi pendant une vingtaine de minutes jeudi l’ancien siège du Crédit Lyonnais à Paris, le bâtiment historique Centorial logeant notamment aujourd’hui BlackRock, avec force fumigènes et sifflets. « On est là ! » ont chanté les militants SUD-Rail et CGT dans le hall de l’immense immeuble dans le 2e arrondissement de la capitale, choisi parce qu’il symbolise selon eux les banques et la richesse.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1643923357836910592

     

    […]

    Dans la matinée, la banque Natixis, filiale de Banque Populaire Caisse d’Épargne (BPCE), a aussi été la cible de militants. L’ONG altermondialiste Attac a occupé pendant deux heures le hall du siège de l’entreprise situé dans le 13e arrondissement de Paris, selon des publications sur Twitter de l’ONG. Les militants arboraient une banderole « la fraude fiscale nuit gravement à nos retraites ». Natixis et quatre autres banques font l’objet d’une enquête du parquet national financier (PNF) pour des soupçons de fraude fiscale.

    Lire l’article entier sur lefigaro.fr

  • L’extrême brutalité de l’occupation israélienne : les images choquantes à l’intérieur de la mosquée Al-Aqsa

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

     

    Ce sont des images terribles et révoltantes… La police israélienne a attaqué et arrêté des fidèles palestiniens lors d’un raid ultra violent dans leur propre lieu de culte à la mosquée Al-Aqsa, dans la partie occupée de Jérusalem-Est. Utilisant des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes, causant des blessures par suffocation aux fidèles, ainsi que des coups de matraque et de fusil. Comment peut-on tolérer de telles atrocités ? La Croix-Rouge palestinienne a signalé qu’il y avait 12 blessés, dont trois ont été transférés à l’hôpital. Des images qui rappellent les violences que subissent les manifestants Français par les CRS et autres Brav-m.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1643390120094212097

     

    Le Média en 4-4-2.

  • Le Charnier de la République

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    Le Charnier de la République

    L’historien Joachim Bouflet vient de publier un ouvrage sur la Grande Terreur à Paris (juin-juillet 1794), intitulé Le Charnier de la République. Un ouvrage à mettre entre les mains des robespierristes mais aussi de ceux qui prennent à la légère le retour de l’extrême-gauche à l’Assemblée nationale. Cet épisode a été marqué par l’exécution à Paris, place du Trône Renversé – aujourd’hui place de la Nation -, de plus de 1300 personnes en six semaines. L’auteur raconte les jugements expéditifs d’accusés sans défense pris par le tribunal révolutionnaire présidé par le terrible Fouquier-Tinville. Il est le père de ceux qui diabolisent et condamnent sans procès des opposants politiques, voire toute personne qui ne pense pas correctement.

    Ces exécutions en masse ont nécessité le creusement de fosses communes pour recevoir les corps des victimes, véritables charniers institutionnalisés dont les pouvoirs publics ont tenté en vain d’effacer la mémoire, avant qu’ils deviennent un cimetière privé : le cimetière de Picpus. Nombreux sont ceux qui ont été mis à mort pour leur fidélité à la religion et à la foi de leurs ancêtres, comme les bienheureuses carmélites de Compiègne, mais aussi dix-huit autres serviteurs de Dieu ainsi qu’une multitude de martyrs. Ces pages rendent hommage à ces chrétiens héroïques envers lesquels la République n’a jamais fait de mea culpa. Nombre de laïcs ont été envoyés à l’échafaud comme “fanatiques”, et l’on sait que ce terme revêt une haine de la foi catholique. Ainsi Elisabeth Minet, couturière de 46 ans, arrêtée car elle a “cherché à réveiller le fanatisme en colportant et mettant en vente des figures superstitieuses”. Son crime ? Faire commerce de figurines de la Vierge et des saints. Taxée de fanatisme par le tribunal, elle réplique :

    “Je ne connais pas de loi qui ait ordonné de faire disparaître tous ces objets ; je vous avoue que je voulais pour ma satisfaction avoir une figure de la bonne Vierge, parce que je suis attachée à la divinité”.

    Cette naïve profession de foi suffit à la faire transférer à la Conciergerie, d’où elle ne sort que pour être menée à la guillotine le 16 juin 1794.

     

    Source : lesalonbeige