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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 471

  • Boissy-le-Châtel (77) : pour échapper à un contrôle, il compose le « 17 » et invente un enlèvement en cours ; un migrant clandestin interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les enquêteurs ont mené des investigations et se sont rendus compte que cette affaire d’enlèvement avait été inventée. Ils ont retrouvé l’homme à l’origine de l’appel qui a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros.

    Une fausse alerte pour tenter d’échapper à un contrôle de police qui se termine par une condamnation. Le 28 février dernier, un homme a composé le 17 pour alerter la police, affirmant qu’il assistait en direct à un enlèvement à Boissy-le-Châtel (Seine-et-Marne) raconte Le Parisien. Selon le requérant, quatre hommes armés de fusils et de battes de base-ball ont arrêté de force un automobiliste avant de l’obliger à monter dans une Peugeot 207 et de s’enfuir.

    Lorsque les policiers sont arrivés sur place, ils ont découvert que le témoin avait disparu et que la zone était déserte. Les techniciens de l’identité judiciaire de la police judiciaire de Meaux sont alors intervenus pour essayer de trouver des indices sur les lieux, mais n’ont rien découvert.

    Le lendemain, les enquêteurs ont repris leurs investigations, mobilisant de nombreux enquêteurs de la PJ de Meaux et de Coulommiers, ainsi qu’un substitut du procureur de Meaux. Ils ont envisagé toutes les hypothèses et ont examiné attentivement une Peugeot 207 qui pourrait correspondre à celle des ravisseurs. Ils ont également exploité le numéro de téléphone ayant contacté les secours.

    Finalement, les policiers ont réussi à contacter l’homme ayant donné l’alerte, qui a fini par leur avouer qu’il avait… tout inventé. Le trentenaire, qui est le patron d’un garage en Seine-Saint-Denis, a ensuite été convoqué par les enquêteurs de la PJ de Meaux. Il ne s’est pas présenté aux deux premiers rendez-vous mais s’est présenté au troisième, ce mercredi.

    En situation irrégulière, sans permis et sous l’empire de la drogue

    Le soir de son appel calomnieux, le gérant automobile était venu chercher une Renault Clio avec deux mécaniciens. L’un des employés a pris le volant, tandis que le second s’est installé à côté. Peu après, le convoi a été arrêté lors d’un contrôle de police. Le conducteur de la Clio était en situation irrégulière, sans permis et était positif aux stupéfiants. Pour tenter de détourner l’attention de la police, le trentenaire a décidé de composer le 17 et d’inventer un enlèvement. La procédure visant ce mécanicien sans-papiers ne s’est pas arrêtée.

    Le gérant a été condamné par le tribunal correctionnel de Meaux ce jeudi, dans le cadre d’une procédure de “plaider-coupable”, à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros. L’article 434-21 du code pénal prévoit une peine de six mois d’emprisonnement et une amende de 7500 euros pour avoir dénoncé de manière mensongère des faits constitutifs d’un crime ou d’un délit qui ont exposé les autorités judiciaires à des recherches inutiles.

    Actu 17 via fdesouche

  • Évreux (27) : un migrant clandestin défavorablement connu de la police, et qui fait l’objet d’une OQTF, soupçonné de viol sur une femme handicapée mentale dans un hôpital psychiatrique

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    L’affaire est pour le moins sordide. Vendredi 10 mars au soir, les policiers ont été appelés par les personnels d’un hôpital psychiatrique d’Évreux (Eure) qui leur ont signalé le viol d’une patiente de 24 ans atteinte d’une lourde déficience mentale. L’homme suspecté des faits est un autre patient qui se serait introduit dans la chambre de la jeune femme avant de la conduire dans la salle de bain, de la déshabiller et de la violer.

    Le suspect, hospitalisé dans une autre aile de l’hôpital sans contrainte particulière pour ses déplacements, est défavorablement connu de la police et de la justice, et fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). 

    Sur demande du parquet, il n’a pas été interpellé avant que la victime ne soit entendue par la sûreté départementale.

    TF1 via fdesouche

  • Pertuis (84) : Abdel Samad Aharram, 13 fois condamné, se faisait passer pour un soignant afin de voler des patients de l’hôpital

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une gourmette en or, un portefeuille, des bijoux, de l’argent liquide… Entre les 16 et 18 février derniers, à Pertuis, Abdel Samad Aharram, 29 ans, est accusé d’avoir commis plusieurs vols auprès de patients de l’hôpital , du personnel soignant et d’une pensionnaire d’une maison de retraite. Quatre plaintes ont été déposées. Placé sous mandat de dépôt le 22 février, il comparaissait vendredi 10 mars devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

    Le mode opératoire était à peu près toujours le même : un individu se présentait, se faisant passer pour un membre du personnel soignant, expliquait que la personne devait passer une radio ou un scanner, et qu’il fallait enlever ses bijoux pendant ce temps. Il partait avec et ne revenait pas.

    Identifié par plusieurs victimes, le prévenu, qui a déjà travaillé comme auxiliaire ambulancier auprès de l’hôpital de Pertuis, ville dont il est originaire, a aussi été filmé par des caméras de vidéosurveillance en compagnie d’un autre individu.

    Avec 13 mentions à son casier judiciaire et une addiction à la cocaïne dont il a du mal à se débarrasser, Abdel Samad Aharram est incarcéré pour la deuxième fois de sa vie.

    (…)

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Paris XIVe : comment une photo diffusée sur Snapchat a provoqué un rapt suivi de séquestration entre des lycéens

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les faits remontent à mai 2022. Un adolescent qui avait diffusé la photo d’un de ses camarades de classe du lycée parisien Raspail (XIVe) s’est vu réclamer 400 euros avant d’être enlevé… Quatre jeunes viennent d’être reconnus coupables par le tribunal pour enfants de Paris pour ce rapt suivi de séquestration, qui aurait pu se finir devant les assises.

    Une entourloupe sur fond de location de voiture et d’une caution chapardée, un adolescent qui envoie sur Snapchat la photo du jeune aigrefin qui est aussi son camarade de classe. Et une expédition punitive ponctuée d’humiliations qui se conclut par le paiement d’une « amende », autrement dit une rançon de… 400 euros pour la libération de Yanis (tous les prénoms ont été changés), 17 ans. Cet adolescent, élève du lycée Raspail (Paris XIVe), a vécu un enfer le 20 mai 2022. Pour ces faits, cinq lycéens ont été jugés fin janvier par le tribunal pour enfants de Paris. Quatre d’entre eux ont été reconnus coupables et seront fixés sur leur peine le 27 septembre 2023.

    Malmené, bousculé, giflé dans l’enceinte de son lycée

    Il est 10 heures ce jour-là quand Yanis est accompagné aux WC de son établissement scolaire par Mehdi, un camarade de classe. Un différend oppose les deux ados depuis que Mehdi a arnaqué un proche de Yanis en faisant l’intermédiaire pour une location de voiture. Il a bien empoché la caution de 1 000 euros. Mais il n’a jamais livré le véhicule. Questionné sur Mehdi par ses amis, Yanis diffuse une photo du compte Instagram de Mehdi sur le réseau social Snapchat, ainsi que des informations personnelles.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Rillieux-la-Pape (69) : des tags jugés racistes découverts sur les murs d’un gymnase

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Ce week-end, certains Rilliards ont découvert avec indignation des tags injurieux et insultants à l’égard des personnes issues de l’immigration. Le maire (LR) Julien Smati a tenu à réagir.

    Elles sont de couleurs noire et rouge, et ont été repérées au cours du week-end des 11 et 12 mars sur les murs d’un gymnase de la commune de Rillieux-la-Pape. Des inscriptions, à caractère raciste recouvrent un pan de mur du gymnase du Cosec aux Semailles, situé entre la route du Mas Rillier et la rue d’Athènes.

    […]

     

    Des inscriptions pour le moins très visibles, qui s’étalent sur une vingtaine de mètres, et qui n’ont pas laissé indifférent sur les réseaux sociaux. « La France aux Français ? Qui nettoie vos rues ? Qui ramasse vos ordures… La France marche grâce à tout le monde. Immigrés ou pas ! », pouvait-on lire.

    […]

     

    Le Progrès via fdesouche