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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 466

  • Düsseldorf (All) : les élus verts inaugurent des plaques de rue en arabe pour “renforcer le lien vivant entre les communautés de migrants et les quartiers de la ville”

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Une plaque de rue bilingue n’est pas la seule façon de le faire, mais c’en est une parmi tant d’autres. Avec cela, nous exprimons notre appréciation et établissons un signe d’unité.

    Ce faisant, nous installons à Düsseldorf une autre des nombreuses enseignes pour représenter la diversité de notre ville et renforcer le lien vivant entre les communautés de migrants et les quartiers de notre ville. À Düsseldorf, nous vivons ENSEMBLE, et non côte à côte. Nous voulons toujours renforcer et exprimer cela.

    Gruene-dusseldorf via fdesouche

  • Une étude de sociologie démontre à nouveau que la diversité ethnique mine la confiance sociale

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Une recension de l’article « Statistical and Perceived Diversity and Their Impacts on Neighborhood Social Cohesion in Germany, Franceand the Netherlands »,

    Recension de l’OID (Observatoire de l’immigration et de la démographie). 

    Professeur de sociologie à l’université Humboldt de Berlin, Ruud Koopmans est un chercheur de renommée internationale1 pourtant peu relayé en France2, alors même que son champ d’études englobe généralement plusieurs pays européens et en particulier l’Allemagne, la France et les Pays-Bas. Ses travaux les plus notables concernent trois domaines en lien avec l’immigration à l’échelle européenne : l’analyse comparative des différentes politiques d’intégration ; les comportements politiques des immigrés et des minorités ethniques et l’incidence de la diversité ethnique sur la confiance sociale. C’est à ce dernier champ d’étude que s’intéresse le présent article. Il se fonde, pour l’essentiel, sur une étude publiée par R. Koopmans et M. Schaeffer en 2016 dans la revue Social Indicators Research3.

    Une méthodologie robuste et minutieuse

    Pour conduire leur analyse, les auteurs utilisent les résultats de l’« Ethnic Diversity and Collective Action Survey » (EDCAS), une enquête menée entre 2009 et 2010 à partir de 10 200 appels téléphoniques standardisés. M. Schaeffer et R. Koopmans se concentrent sur une sélection de 4 600 répondants correspondant aux 938 quartiers d’Allemagne, de France et des Pays-Bas retenus pour l’étude. Pour la France, ces quartiers sont issus des villes de Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille et Rennes, ainsi que de Paris et ses départements limitrophes (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

    L’étude développe en outre une double approche des effets de la diversité ethnique sur la cohésion sociale. Elle évalue dans un premier temps les effets de la diversité ethnique « statistique », objectivée par le pourcentage de personnes d’origine immigrée (personnes immigrées ou ayant au moins un parent immigré) dans chaque quartier considéré4. Dans un second temps, elle s’intéresse aux effets de la diversité ethnique « perçue » par les habitants, mesurée à l’aide de quatre indicateurs du questionnaire : l’existence de conflits intergroupes, l’existence de groupes caractérisés par des valeurs ou une langue différente et l’estimation par chaque répondant de la proportion de personnes d’origine immigrée vivant dans le quartier.

    En ce qui concerne la diversité « statistique », l’étude démontre une nette corrélation entre l’augmentation de la diversité ethnique et la baisse de la cohésion sociale dans les quartiers considérés. En particulier, les auteurs trouvent qu’en France, la diversité ethnique conduit à une augmentation des problèmes sociaux, ainsi qu’à une baisse significative de la confiance, du lien social et de la satisfaction dans la vie en général.

    Ces résultats sont particulièrement robustes dans la mesure où ils prennent en compte une multitude de facteurs sociaux pour évaluer l’incidence de la seule « diversité ethnique », selon une démarche expérimentale. Chaque indicateur de confiance est ainsi testé et ajusté pour tenir compte, dans chaque quartier, du taux de chômage, de la densité de population, du nombre d’années vécues dans le quartier, du statut de locataire ou de propriétaire, du niveau d’éducation, de l’âge, du sexe, du statut marital, du type d’emploi occupé, de l’origine immigrée ou non et même des croyances religieuses. Cette différenciation des facteurs pouvant avoir une incidence sur le niveau de confiance sociale mesuré permet d’éviter les biais liés à la condition socio-économique des habitants des quartiers retenus pour l’étude, et d’examiner de la manière la plus précise possible la seule incidence de la diversité ethnique.

    En ce qui concerne la diversité perçue, l’étude arrive aux mêmes conclusions que pour la diversité statistique. Ces résultats ont en outre pour intérêt de tester de manière indépendante l’effet de la diversité perçue chez les répondants natifs et chez les répondants d’origine immigrée. Or dans ces deux catégories de répondants, une baisse similaire de la confiance sociale est observée, pour des niveaux de diversité perçue équivalents. Ceci tend à montrer que la baisse de la cohésion sociale n’est pas liée qu’à un rejet des immigrés par les natifs, mais résulte aussi d’un rejet analogue des natifs par les immigrés, ainsi que de l’existence de groupes hétérogènes au sein même des populations immigrées.

    (…)

    Revue Conflits via fdesouche

  • La presse relaye l’action de Civitas contre le spectacle transgenre pour enfants prévu à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Il y a quelques jours, nous vous signalions l’action de sensibilisation menée par Civitas à Nantes contre un spectacle de promotion de l’idéologie du genre auquel seront conviés les enfants de plusieurs écoles nantaises durant la Semaine Sainte. La section locale de Civitas a organisé un collage et un tractage aux abords de douze écoles de Nantes. Et l’affaire commence à faire du bruit. Des parents se sont naturellement inquiétés que leurs enfants soient soumis à la propagande LGBT. Et la presse a été alertée.

    Un premier article est paru dans Ouest France.

    Ce matin, c’est au tour du Figaro de traiter le sujet.

    Les remous causés par cette affaire ont obligé la majorité municipale de Nantes a tenté de se justifier via un communique qui élude le fonds du problème : nos enfants n’ont pas à être soumis à de la propagande LGBT.

    La section Civitas locale entend bien continuer à mettre la pression pour protéger nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info

  • LES VILLES DIRIGÉES PAR LES ÉCOLOGISTES : UN ENFER !

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023

    écrit par  
     
    En 2020, Europe Écologie-Les Verts (EELV) a remporté les élections dans huit grandes villes : Annecy, Besançon, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Poitiers, Tours et Strasbourg – sans compter celles où ils appartiennent à la majorité municipale comme à Marseille, Montpellier, Nancy ou Paris. Presque trois ans après leur installation, leur bilan n’est guère brillant.

    A peine élus, les maires écologistes ont défrayé la chronique avec des déclarations à l’emporte-pièce. On se souvient de Pierre Hurmic (Bordeaux) annonçant qu’on « ne mettra pas des arbres morts [i.e. des sapins] sur les places de la ville » au moment de Noël ; de Léonore Moncond’huy (Poitiers) affirmant que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants d’aujourd’hui » pour justifier la réduction des subventions municipales aux deux aéroclubs de la ville ; ou encore de Grégory Doucet (Lyon) s’en prenant au Tour de France qui véhiculerait « une image machiste du sport » et ne serait pas « écoresponsable » avec tous ses véhicules, ses déchets et tous « les petits objets, les goodies, les machins qui sont jetés par la caravane ».

    Une gestion idéologique

    Mais les édiles verts ne se contentent pas de parler. Ils agissent, en ne perdant jamais de vue qu’ils mènent un combat idéologique.

    A Grenoble, par exemple, le maire Éric Piolle (élu depuis 2014) a souhaité autoriser le burkini dans les piscines municipales et imposé le menu végétarien dans les cantines scolaires. A Lyon, le menu sans viande est également préconisé, ainsi que le budget genré qui permettra de vérifier que les dépenses municipales bénéficient autant aux femmes qu’aux hommes.

    A Bordeaux, la municipalité a mis en place un plan de prévention et de lutte contre les « LGBTphobies » prévoyant, entre autres, des passages piétons arc-en-ciel, l’illumination de la porte de Bourgogne aux couleurs arc-en-ciel chaque 17 mai (Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie), l’organisation d’un « Mois des fiertés » en juin.

    A Tours, le maire Emmanuel Denis a prévu de bâtir une Maison de l’Hospitalité pour accueillir les migrants. Léonore Moncond’huy a fait la promotion, dans le magazine municipal Poitiers Mag, de la manifestation publique organisée, les 17 et 18 septembre 2022, par l’association Alternatiba, au cours de laquelle les extrémistes d’Extinction Rébellion ont organisé des ateliers de désobéissance civile. A Annecy, la mairie a installé des distributeurs de protections périodiques gratuites et biologiques, et se targue d’être la première ville de France à avoir porté et mis en place ce dispositif à l’échelle communale.

    Quant à Anne Vignot, maire de Besançon, elle a introduit une clause de « bien-être animal » dans les marchés publics et a réalisé des travaux dans une des écoles de la ville en vue de désimperméabiliser la cour de la récréation et, par la même occasion, de la « dégenrer ».

    On pourrait passer des heures et des heures à lister les actions de ces maires qui essaient tous, semble-t-il, d’être plus écolo-progressistes les uns que les autres. Deux sujets concentrent cependant leurs attaques : l’automobile et le logement.

    Automobilistes et propriétaires dans le collimateur des édiles verts

    Sans grande surprise, les maires écologistes s’en prennent aux automobilistes. Tous construisent des pistes cyclables à tout-va comme à Tours, où le maire Emmanuel Denis, a fermé le pont Wilson aux voitures, un axe stratégique en plein centre-ville, au grand dam des commerçants qui voient l’accès à leur boutique devenant compliqué. La ville, cependant, reste l’une des moins embouteillées de France. Ce qui n’est pas le cas de Bordeaux qui vient de gagner deux places dans le TomTom Traffic Index 2023 pour s’installer au deuxième rang des villes comptant le plus d’heures de bouchons.

    Ces embouteillages augmentent la pollution et le taux de CO2 que les écologistes disent vouloir combattre. TomTom a calculé qu’à Paris les bouchons sont responsables de plus de 13 % des émissions de CO2 liées au trafic routier.

    Des villes polluées et congestionnées, voilà donc, à ce jour, le résultat des politiques municipales en faveur des « mobilités douces ». La mise en place des zones à faibles émissions (ZFE) va peut-être régler le problème, au prix de l’exclusion de la plupart des Français des centres-villes.

    L’autre ennemi du maire vert, c’est le propriétaire foncier. Ainsi l’encadrement des loyers (limitation des augmentations) est appliqué à Paris, Lyon et Bordeaux et leur banlieue proche. D’autres agglomérations ont demandé à rejoindre ce club en 2023 comme Grenoble et Marseille. A Paris et Lyon, on applique aussi le plafonnement des loyers (fixation d’un montant maximal). Des mesures dont les effets néfastes apparaîtront bientôt au grand jour : pénurie de logements, augmentation de la fraude et de la délinquance, ségrégation sociale, mauvaise allocation des ressources, etc., comme l’a montré une étude du think tank suédois Timbro.

     Les écologistes n’aiment pas non plus les locations touristiques de type Airbnb. Annecy, Bordeaux, Lyon, Marseille, Paris ont mis en place des restrictions pour les locations de courte durée. A Annecy, par exemple, le maire François Astorg a décidé de supprimer 52 % des meublés de tourisme (2 200 au lieu de 4 598 aujourd’hui).

    Par ailleurs, sur les 1 136 communes autorisées par le gouvernement à appliquer une majoration de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires, 255 l’ont effectivement mise en place. Parmi elles, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Marseille et Paris ont décidé d’appliquer le taux maximal de majoration de 60 %. Ce sera bientôt le cas à Annecy.

    Le matraquage des propriétaires se concrétise aussi par des taux de taxe foncière élevés. Alors qu’en 2021, le taux moyen (taxe foncière + taxe d’enlèvement des ordures ménagères) dans les cinquante plus grandes villes de France était de 52,02 %, il s’établissait à 64,62 % à Poitiers, à 63,02 % à Grenoble, à 55,87 % à Bordeaux.

    Avec respectivement 50,29 % et 50,13 %, Strasbourg et Tours étaient dans la moyenne, quand Annecy, Besançon et Lyon pratiquaient des taux inférieurs à celle-ci. Mais cela risque de ne pas durer ! En 2022, la hausse moyenne de la taxe foncière était de 4,7 % dans les 200 plus grandes villes de France. Elle était de 16,3 % à Marseille, de 16 % à Tours, de 12,6 % à Strasbourg, de 8,8 % à Annecy. En 2023, la hausse sera de 52 % à Paris, de 25 % à Grenoble, de 14 % à Marseille, de 11,6 % à Tours, de 9 % à Lyon, de 5,3 % à Annecy, de 4,53 % à Bordeaux.

    Les propriétaires n’ont pas fini de payer les lubies des maires écologistes, et les locataires en subiront aussi les conséquences en voyant l’offre de logements à la location se raréfier.

    La sécurité est oubliée

    En matière de délinquance, c’est également la hausse qui prévaut. Certes, les maires ne sont pas seuls responsables de la situation, mais leur inaction dans ce domaine entraîne immanquablement une hausse de la délinquance. Hostiles aux polices municipales et à la vidéosurveillance au début de leur mandat, beaucoup d’entre eux sont en train de réviser leur jugement.

    Il faut dire que Lyon, Bordeaux, Paris, Grenoble sont dans le top 10 des villes les plus dangereuses de France. Marseille et Montpellier ne sont pas loin. La délinquance a augmenté de 26,5 % à Lyon en 2021, de 7 % à Bordeaux, de 6 % à Strasbourg. Annecy, Besançon, Tours et Poitiers, de taille plus modeste, sont plus paisibles, mais la criminalité y progresse aussi : + 27,4 % à Tours ; + 15 % à Annecy ; + 7,8 % à Poitiers.

    Aux Etats-Unis, ce sont notamment les questions de sécurité qui ont fait chuter Lori Lightfoot à Chicago. La maire n’a pas réussi à se faire réélire pour un second mandat. C’est la première fois qu’une telle chose arrive depuis 1983. C’est aussi la première fois que les Démocrates perdent la ville depuis 1931. Les électeurs ont sanctionné celle qui n’a pas empêché les homicides de progresser de 51 % et les carjackings de 204 % ! Peut-être ont-ils aussi voulu de se séparer d’une « wokiste » indécrottable : noire, féministe et homosexuelle, elle avait exigé, par exemple, en mai 2021, n’être interviewée que par des journalistes issus des minorités.

    Les entreprises fuient les villes écolos

    Lori Lightfoot menait également une politique écologiste déterminée. Le site internet de la ville indique que « Chicago est chef de file en matière d’initiatives environnementales innovantes, et le développement durable est au cœur de ses politiques. Du plan d’action climatique de Chicago aux investissements ciblés de la ville en matière d’efficacité énergétique, Chicago intègre le développement durable dans les lieux de travail, de vie, d’apprentissage et de loisirs de ses habitants, tout en se préparant à un avenir résilient ».

    Politiques environnementalistes offensives, augmentation de l’insécurité, difficultés à se loger et à se déplacer… tout cela fait fuir les entreprises. Le milliardaire Kenneth Griffin, fondateur du hegde fund Citadel a ainsi annoncé qu’il transférait son siège social de Chicago à Miami en raison de l’augmentation de la criminalité et de la mauvaise gestion de l’État de l’Illinois. Caterpillar, Boeing et Tyson Foods ont, elles aussi, déjà quitté Chicago.

    A Barcelone, la maire écologiste Ada Colau entend réduire le tourisme de masse et lutter contre la spéculation. Elle refuse d’agrandir l’aéroport, ferme certains lieux touristiques, sanctionne les entreprises pour mauvaise gestion des déchets. Airbnb est quasiment interdit. Des immeubles résidentiels appartenant à des banques ont été expropriés pour en faire des logements sociaux. Tout cela sur fond de velléités séparatistes au niveau régional.

    Plus de 7 000 entreprises ont ainsi quitté la Catalogne, dont la moitié pour la région de Madrid où les impôts sont moins élevés et le climat plus favorable aux affaires.

    Il est encore trop tôt pour savoir si les villes françaises dirigées par les écologistes perdent leurs entreprises. Mais il n’est pas exclu que les effets observés à Barcelone et Chicago se produisent aussi à Grenoble, Tours ou Lyon.

    PHILBERT CARBON

    Source :fr.irefeurope.org

  • Et, dans la famille "cingleries de foldingues", je demande...

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023

     

    Et, dans la famille "cingleries de foldingues", je demande...

    Jacques Attali : "L’Islam est une des dimensions fondatrice et positive du passé et de l’avenir de l’Europe."

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    Certes, il vaut mieux entendre "ça" que d'être sourd, mais tout de même ! À ce stade dépassé de cinglerie stratosphérique, c'est sûr, "il n'y a plus qu'à tirer l'échelle" !...

     

    Source : lafautearousseau