GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 537

  • Enquête interne à BFM TV, le journaliste présentateur de la nuit soupçonné de servir d’outil d’influence pour le Maroc

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    La direction de BFMTV a lancé une enquête interne pour comprendre l’origine de contenus diffusés par la chaîne dans des circonstances troubles. Au moins l’un porte sur le Maroc, a appris POLITICO de multiples sources internes. Une dizaine de contenus suspects ont été identifiés. Selon une source au fait de l’enquête, la direction s’interrogerait aussi sur l’influence d’autres Etats.

    Plus précisément, des images et propos n’ayant pas suivi les circuits de validation habituels ont été diffusés pendant l’émission Le journal de la nuit, un journal télévisé diffusé à partir de minuit, laissant soupçonner une ou plusieurs opérations d’influence dont l’origine n’a pas été officiellement identifiée, selon une dizaine de sources internes informées de l’audit. Des auditions ont notamment été lancées auprès des collègues du présentateur Rachid M’Barki, qui n’est plus apparu à l’antenne depuis la mi-janvier.

    “Une enquête interne a été ouverte il y a deux semaines suite à des informations reçues concernant un journaliste de notre chaîne”, a confirmé auprès de POLITICO Hervé Beroud, directeur général délégué d’Altice média, la maison mère de BFMTV. “Ce journaliste est en dispense d’activité depuis le début de cette enquête et pour tout le temps de cette enquête. BFM est probablement victime dans cette affaire et nous ne pouvons tolérer aucune suspicion sur le travail de l’ensemble de notre rédaction et de nos 300 journalistes”, a-t-il déclaré.

    […]

    Plusieurs membres de la rédaction ont en tête la diffusion d’un reportage présenté par Rachid M’Barki, à propos du forum économique de Dakhla, une ville du sud du Maroc où se sont réunis des investisseurs espagnols en juin 2022.

    Sur fond d’images promotionnelles de l’événement, le présentateur y fait référence au “réchauffement des relations diplomatiques” entre l’Espagne et le Maroc, facilité, dit-il, par la “reconnaissance espagnole du Sahara marocain”. Une expression inhabituelle dans les médias français pour faire référence à la situation du Sahara occidental, au cœur d’une grave crise diplomatique entre le Maroc et l’Algérie. Le Maroc fait pression sur la France pour qu’elle sorte de la position de neutralité qu’elle a jusqu’ici préféré adopter sur la question.

    En juillet 2019, Rachid M’Barki, invité à une célébration du 20e anniversaire de l’accession au trône du roi du Maroc, parlait de ses liens avec le pays dans un entretien vidéo mis en ligne par le média marocain Le 360, considéré comme proche du pouvoir.

    Interrogé sur sa participation à un rapprochement “à travers des ONG” entre la France et le Maroc, le journaliste affirmait vouloir “rester très discret là-dessus”, ajoutant : “J’essaye d’agir à ma manière à mon petit niveau pour faire briller le Maroc.”

    Il était alors déjà présentateur à BFMTV et un visage familier de l’antenne.

    […]

    Politico via fdesouche

  • Avec le Parti de la France, la peur changera de camps !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Parce que la sécurité est la première des libertés, le Parti de la France s'engage à la rétablir sur tout le territoire. Pour cela, consignes et moyens supplémentaires seront donnés aux forces de l'ordre pour neutraliser la racaille qui pourrit la vie des Français. La peur changera de camp !

    328828823_8611785588895476_7340088322739981341_n.jpg

  • Transsexuels : l’ordre des médecins creuse encore

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    On avait eu une idée de la servilité de l’ordre des médecins pendant la plandémie du Covid. Voici un nouvel avis où ce dernier ne trouve rien à redire à des chirurgies irréversibles sur des enfants auxquels on aura lavé le cerveau pour qu’ils se disent et se pensent transsexuels.

    Relevé par Breizh Info

    « Sollicitée par l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, la section Éthique et Déontologie du Conseil National de l’Ordre des médecins a rendu son avis ce jeudi 05 janvier sur la prise en charge chirurgicale des mineurs prétendument « transexuels » : Cet avis apporte de l’eau au moulin des jeunes filles fragiles voulant bénéficier d’actes de chirurgies mutilants, notamment des torsoplasties (ablation des seins).

    Selon l’organisation communautaire « Réseau santé trans », « l’argumentation de l’Ordre des Médecins mérite qu’on s’y attarde, car elle ouvre un espace de possibilités pour d’autres opérations chirurgicales, notamment la féminisation faciale et l’augmentation mammaire, chez les adolescentes transféminines, mais aussi les chirurgies pelviennes. »

    Décryptage pour les non-initiés au charabia trans : les opérations de féminisation faciale consistent à rendre plus féminin des visages d’hommes. Le terme « chirurgies pelviennes » est, quant à lui, un euphémisme pour désigner une castration complète, c’est à dire l’ablation du pénis et des testicules pour donner naissance à un trou béant appelé « néo-vagin ».

    La plupart des actes de « chirurgie pelvienne » sont stérilisantes ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Aurillac : des lycéens confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Le n’importe quoi intégral que l’on appelle « art contemporain » a encore frappé.

    A Aurillac, des lycéens ont été confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires – qui singent notamment la crucifixion et la Cène, insérées au sein d’une exposition d’oeuvres sur le Chili. Aux parents d’élèves, il a été expliqué qu’il s’agissait d’une exposition de photographies du pays.

    En ce moment, jusqu’au 18 février, divers artistes exposent des oeuvres sur le thème du Chili. Comme nous l’indique une mère de famille aurillacoise, « des élèves emmenés par leurs professeurs d’espagnol ou d’arts ont été confrontés à ces abominations à l’insu des parents qui pensaient qu’il ne s’agissait que de photos de type touristique… Les parents font confiance aux professeurs signent l’autorisation de sortie scolaire et se retrouve avec des jeunes choqués, scandalisés, horrifiés… Mais le mal est fait !« .

    Selon nos informations, l’auteur de ces abominations est une certaine Zaida Gonzalez, dont la présentation en regard des « oeuvres » précise : « photographe et médecin vétérinaire, elle étudie la photographie publicitaire à partir de 1997. Elle n’exerce pourtant à aucun moment cette profession dans laquelle elle ne se retrouve pas […] elle se décide à développer une oeuvre personnelle […] entremêlant scènes oniriques et esthétique populaire […] Elle aborde sans complexe […] presque de façon militante, les thèmes sensibles de la société chilienne, l’avortement, la religion, les relations de couple standardisées par le mariage et le machisme inhérent, l’homosexualité« .

    Un certain nombre de ses oeuvres sont des simulacres d’images de communion, détournées au profit de l’activisme LGBT.

    Elle est exposée par la galerie Negpos à Nîmes qui présente en ce moment même une de ses oeuvres – là aussi blasphématoire – mais aussi LGBT, sataniste et clairement occultiste, le Jugement dernier : « il s’agit d’un projet photographique qui s’approprie les 22 arcanes majeurs du Tarot (puisant dans le Rider-Waite Smith Tarot, le Tarot de Marseille et le Tarot du chat de Marseille) en remplaçant les figures des cartes par des modèles non standardisés, tels que des travestis, des transgenres, des transsexuels, des migrants, des jeunes atteints du syndrome de Down, des personnes âgées et d’autres personnes qui correspondent au sens de la carte attribuée« .

     

    Source : medias-presse.info

  • Le rejet de l’euthanasie nous concerne aussi, par Civitas Portugal

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Moins d’un mois après que le Président de la République ait demandé un contrôle préventif de la loi sur l’euthanasie, la Cour Constitutionnelle a annoncé hier que certaines des règles de la loi sont inconstitutionnelles.

    Le document a été renvoyé par le Palais de Belém à l’Assemblée de la République, qui devrait bientôt reprendre le processus révolutionnaire de “correction” du texte et le soumettre à nouveau au vote, puis à l’analyse du “catholique” Marcelo Rebelo de Sousa. Au total, ce sera la quatrième fois que le Chef de l’État devra décider de la suite à donner à cette affaire, après avoir demandé, en février 2021 et au début de ce mois, le contrôle préventif du diplôme et, en novembre 2021, avoir opposé son veto au diplôme, le renvoyant à l’Assemblée de la République, en évitant, en tant que “catholique”, de rejeter définitivement cette initiative insensé.

    Réaffirmant ce qu’il avait transmis dans son bref communiqué de presse du 5 janvier, le mouvement Civitas regrette, d’une part, le manque d’engagement non négociable envers la vie humaine, dont seul Dieu peut disposer, de la part du Président de la République et, d’autre part, l’euphorie déplacée des deux partis politiques et d’autres entités, pour la plupart conservatrices, face au “plomb” du Palais Ratton.

    Loin d’être un exploit, comme beaucoup le prétendent, prouvant un manque total de discernement, nous nous trouvons face à une circonstance passagère, c’est-à-dire que la loi en question peut être parfaitement confirmée par la Cour Constitutionnelle à condition que, comme on peut le lire dans l’Arrêt n.º 5/2023, le législateur prend l’initiative de préciser «si l’exigence [associée à la pratique infâme de l’euthanasie] est cumulative (souffrance physique, plus souffrance psychologique, plus souffrance spirituelle) ou alternative (à la fois souffrance physique, psychologique et spirituelle).» En bref, il s’agit de la substitution vulgaire d’une conjonction. Comme si cela ne suffisait pas, dans le communiqué accompagnant l’arrêt susmentionné, les juges de la Cour Constitutionnelle déclarent allègrement que «la Cour a considéré que le droit de vivre ne peut en aucun cas être transformé en un devoir de vivre», cherchant grossièrement à se substituer au Créateur et prétendant avoir la fausse primauté constitutionnelle de décider quand mettre fin à la vie humaine, même en piétinant de manière insensée et préméditée les desseins de Dieu.

    Comme il fallait s’y attendre, les partis politiques promoteurs de ce diplôme infâme, qui défendent tous des idéologies conduisant à l’égocentrisme et à l’absence totale de surnaturel, se sont déjà déclarés tout à fait intéressés à corriger le “petit détail” de la conjonction erronée afin que, “au nom du progrès”, il soit légal d’assassiner ses semblables.

    Si les médecins et autres personnels médicaux sont tenus de combattre de manière constructive la souffrance de leurs patients, ces derniers, comme l’écrivait Mgr Bernard Tissier de Mallerais, doivent «essayer d’en assumer au moins une partie [la souffrance], en profitant de cette grâce qui leur est offerte pour satisfaire la justice divine de leurs péchés et éviter ainsi les peines du Purgatoire», tout en s’unissant à la Passion rédemptrice de Notre Seigneur Jésus-Christ.

    De la part du mouvement Civitas, une résistance ferme sera maintenue aux initiatives promouvant la culture satanique de la mort, avec la promesse de l’intensification nécessaire des activités de formation et d’information dans les semaines à venir. Néanmoins, il est impératif que les catholiques portugais offrent des prières et des sacrifices pour les auteurs de cette infamie, ainsi que pour l’élimination de toutes les lois qui portent atteinte, même le moins du monde, aux droits de Dieu, et pour le triomphe de la Sainte Mère l’Église. La prière, le sens surnaturel et l’action militante sont les seules armes efficaces pour vaincre de manière exemplaire les ennemis du Christ Roi.

    31 janvier 2023

    Le Secrétariat de Civitas Portugal

    Source : Délégation Civitas Portugal