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  • Suède : l’intégration des immigrés est un échec

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2022

    Suède : l’intégration des immigrés est un échec

    Après quinze jours d’émeutes qui ont secoué violemment le pays et fait déjà une centaine de blessés parmi les forces de l’ordre, le Premier ministre suédois Magdalena Andersson a annoncé un plan et des moyens visant à combattre la criminalité en Suède. Elle veut s’en prendre en particulier à la criminalité juvénile, qu’elle souhaite enrayer grâce à une collaboration plus étroite entre la police et les services sociaux, et des outils de contrôle pour s’assurer que les enfants restent à l’école et ne traînent pas dehors sans l’accord de leurs parents.

    Pourtant issue des rangs du Parti social-démocrate suédois des travailleurs, elle a reconnu publiquement l’insuffisance et les ratés des politiques d’intégration des nouveaux immigrés dans son pays. Le nombre de personnes nées à l’étranger et résidant aujourd’hui en Suède a doublé en vingt ans, pour atteindre désormais deux millions (un cinquième de la population de ce pays scandinave).

    «L’intégration a été trop faible tandis que nous avons connu dans le même temps une immigration massive. Notre société a été trop inconséquente sur cette question, et les moyens alloués à la police et aux services sociaux, trop légers». «Une telle ségrégation s’est installée dans le pays que, désormais, la Suède est compartimentée en sociétés parallèles. Nous vivons dans le même pays, mais dans des réalités complètement différentes».

     

    Source : lesalonbeige

  • [Tribune] Emmanuel Macron : l’échec !

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2022

    Jacques Myard 19 février 2022

    Après le calamiteux quinquennat de François Hollande, le Président « normal », le quinquennat d'Emmanuel Macron, élu à la hussarde dans des circonstances qui interpellent, est aussi un échec. Lors de sa campagne, il promettait aux Français un monde politique nouveau, une France dynamique championne, dans une mondialisation heureuse. Élu, il impose un style de gouvernement étonnant : c'est -Jupiter, ignorant tous les corps intermédiaires et s'entourant de technocrates.

    Le premier éclat surgit avec le brutal limogeage du chef d'état-major des armées Pierre de Villiers, qui eut le tort de défendre le budget des armées. Ses relations avec les militaires demeurent exécrables alors qu'il est le chef des armées. La démission du général Lecointre le confirme.

    Enfermé dans sa méthode de gouvernance, il provoque les manifestations monstres des « gilets jaunes » occasionnées par la hausse des carburants ; manifestations qui recommencent ces jours-ci, avec les camions de la liberté. La violence des manifestants atteint son paroxysme contre le chef de l'État le 4 décembre 2018 où, au Puy-en-Velay son convoi est pris pour cible. La réforme par points des retraites, quintessence d'une réforme technocratique, déclenche manifestations sur manifestations.

    Face à la pandémie du Covid, il tergiverse : le masque ne servirait à rien ; et pour cause, les masques ont été détruits par les conseillers de  devenus les siens.

    Adepte de la mondialisation heureuse, Emmanuel Macron opère un changement radical de pied et découvre la nécessité, pour la France, de retrouver sa souveraineté économique. Décision bien tardive pour un pays qui s'enfonce dans le déficit commercial et la désindustrialisation avec l'abandon des fleurons nationaux. Il a participé activement - et de manière obscure - au bradage d'Alstom à l'américain General Electric (GE) en 2015 et, aujourd'hui, il opère un tête-à-queue et fait racheter très cher par EDF les turbines Arabelle et le  de GE !

    L' empire, les policiers sont la cible de tirs, la peine de mort est devenue la règle des trafiquants de drogue, nombre d'innocents perdent la vie, dont des mineurs en nombre croissant. L' illégale, source de délinquance, est ininterrompue, les expulsions quasi inexistantes ; 15 % des personnes incarcérées sont des étrangers, les mineurs étrangers sont souvent des récidivistes confirmés.

    En politique étrangère, il restera dans les mémoires comme celui qui courtise Trump, lequel le ridiculise en l'époussetant... Pétri d'idéologie européenne fédérale, il adresse à tous les médias européens une véritable « épître » pour pousser nos partenaires à se rallier à ses convictions : il ne récolte qu'ironie et mépris. Macron mise tout sur l'Allemagne en l'appelant à briser les tabous, elle le prend au mot, exige même que la France cède à l'Union européenne son siège permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. À ce titre, le nouveau chancelier Olaf Scholz poursuit les mêmes objectifs que la fameuse Annegret Kramp-Karrenbauer (dite AKK), à savoir supplanter la France au Conseil de sécurité, n'ayons aucune illusion ! Le fameux moteur franco-allemand et dénommé « couple franco-allemand » à Paris, et surtout pas à Berlin, est une illusion totale d'Emmanuel Macron !

    Pour couronner le tout, les Français sont stigmatisés par ses petites phrases à l'emporte-pièce, véritables florilèges de son mépris. Macron rabaisse la fonction présidentielle, se présentant bras dessus bras dessous avec des jeunes, torses nus, jouant les amuseurs publics en recevant à l'Élysée McFly et Carlito... Tenter de reconquérir l'opinion publique en démultipliant les voyages sur le terrain tout en saturant les médias, il fait campagne aux frais des contribuables. C'est inadmissible !

    Emmanuel Macron conduit la France d'échecs en échecs, il n'est plus crédible, c'est la raison pourquoi il diffère le plus possible l'annonce de sa candidature. Il le sait, dès qu'il descendra de son Olympe jupitérienne, il marchera vers la roche Tarpéienne.

     

    Source : bvoltaire

  • Echec complet du rassemblement des “musulmans contre la radicalisation” organisé par Chalghoumi

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2019

    Jeudi à Paris, bide complet pour le rassemblement des “citoyens musulmans contre la radicalisation” organisé par l’équipe de l’imam Chalghoumi (l’ami de Caroline Fourest, du CRIF et du Grand Orient de France) devant la fontaine Saint Michel.

    Il y avait plus de journalistes que de participants…

     

    Source : medias-presse.info

  • La république démocratique pose problème

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2019

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    La république démocratique pose problème

    De Franck Abed :

    Les démocrates nous expliquent que la démocratie reste un merveilleux système, même si elle connaît échec sur échec. Néanmoins, selon eux, il convient de ne pas la remettre fondamentalement en cause. En effet, les difficultés de la démocratie résulteraient de son seul fonctionnement et non du régime en tant que tel. Pourtant, en réalité, la nature même de la démocratie amène de vraies difficultés, et la façon de la « traduire » ou la mettre en œuvre au quotidien n’est seulement qu’un arbre, utilisé pour masquer une véritable forêt.

    Aujourd’hui, la démocratie dysfonctionne tellement qu’elle engendre une énorme frustration chez de nombreux Français. Cela ne se concrétise toutefois pas encore d’une façon véritablement radicale, nonobstant le phénomène des Gilets Jaunes lié à une offre politique particulièrement déficiente. La contestation à l’égard de ce système grandit, mais à ce jour elle reste trop faible pour espérer un changement institutionnel. Même si le régime démocratique est intrinsèquement mauvais, et qu’il produit de mauvais fruits, les Français n’entrevoient pas encore d’autres propositions institutionnelles sérieuses. Certains mouvements, bien souvent caricaturaux, en appellent de manière confuse et maladroite à des systèmes autoritaires de type fasciste, sans avoir la force, l’assise sociale et la maîtrise organisationnelle pour mener à bien leurs projets. Quant aux mouvements d’extrême-gauche, une fois de plus en décalage complet avec une réalité qu’ils voudraient modeler sur leur idéologie, leurs idées restent à la fois trop archaïques ou utopiques pour séduire une masse critique de Français, au-delà de leurs sempiternelles divisions et éclatement en multitude de groupuscules.

    Nous pouvons le regretter, mais force est de constater que le régime démocratique et la république s’avèrent très bien implantés, tant par l’inertie de l’habitude, que par l’incapacité des mouvements qui lui sont opposés à proposer une alternative crédible. Alors que les Français usent déjà du droit de vote pour élire leurs maires, leurs députés, leurs députés européens et surtout le Président de la République, de nombreux compatriotes appellent à encore plus de démocratie. Il s’agit de cette prétendue démocratie directe, entrée dans le forum public avec l’acronyme RIC, qui est réclamée.  

    L’expérience du vote, et de ses multiples échecs pour la désignation d’une classe politique compétente, devrait conduire les citoyens à une prise de recul, voire même à une contestation en profondeur de la pratique électorale. C’est malheureusement tout le contraire qui se produit. Les élections, aussi bien municipales que pour la députation et l’élection présidentielle, ne produisent pas de résultats positifs. Eh bien, que nous rétorquent les démocrates et autres républicains ? Donnons aux Français l’opportunité de voter encore et toujours plus ! Le raisonnement souffre d’un total manque de logique, mais pourtant nous l’entendons partout. Qui aujourd’hui ne réclame pas le RIC ? Presque personne. Rappelons que pour certains, si en URSS le communisme n’a pas rencontré le succès escompté, c’est parce que le système soviétique ne mettait pas assez en avant le… communisme. 

    La démocratie ne fonctionne pas, car elle semble incapable d’offrir simultanément un cadre institutionnel pérenne, la liberté bien comprise et réelle de chacun dans l’espace public, et surtout une juste et efficace politique. Tout personne sincère, quelle que soit sa couleur politique, ne peut que reconnaître la faillite de la démocratie et de la république en France. Ce phénomène ne constitue pas une nouveauté, mais la marque de fabrique de l’institution républicano-démocratique. Un système qui encourage la guerre civile permanente entre « une gauche » et une « droite » ne peut offrir la concorde sociale nécessaire à la réalisation de grands projets. L’instabilité institutionnelle établie avec le quinquennat n’offre pas la dimension du temps, condition essentielle pour mener une saine politique au service du bien commun. La démocratie ne peut que conduire à la frustration, car chaque personne qui vote pour un candidat en définitive rejeté par les « urnes » ne se sentira ni comprise, ni écoutée, ni respectée : elle réalisera à terme qu’elle-même a également été « rejetée par les urnes ». Cependant, la perspective d’une nouvelle élection balaie ce sentiment d’insatisfaction et d’amertume, car elle laisse accroire que le recalé de la veille peut être l’élu du lendemain… La République se bâtit sur une cascade d’illusions : quand l’une s’évanouit, une autre surgit, ou renaît !

    De la même façon, l’Etat devient lui aussi source de frustration, car les Français s’acquittent de nombreux impôts pour des services publics déficients ou minimalistes. Le virage libéral qui a été pris au début des années 1980, a permis de nombreuses privatisations pas toujours heureuses. Celles-ci ont dessaisi l’Etat de leviers essentiels de puissance, de croissance ainsi que de rentabilités économiques certaines. Aucun gouvernement digne de ce nom ne vend ses bijoux de famille – comme des fleurons industriels – pour un intérêt à court terme au risque d’hypothéquer l’avenir – et moins encore à des puissances étrangères. La décentralisation a permis en réalité une dilution du pouvoir étatique, sans que les régions, les départements ni les communes ne disposent des moyens nécessaires pour accomplir leurs différentes et précieuses missions. Concrètement, l’Etat démocratique s’affaiblit chaque jour davantage avec la décentralisation massive et les privatisations. Et je ne mentionne pas ici l’Union Européenne, qui vérole tout avec ses directives imposées, pour la plupart, en dépit du bon sens.  

    Autrefois, le Premier Ministre jouait le rôle de fusible par excellence dès que l’action gouvernementale en venait à provoquer un trop grand déplaisir des Français. Avec l’hyper-présidentialisation du système, née avec Nicolas Sarkozy, le Président devient l’unique responsable et le Premier Ministre remplit le rôle de subalterne. Ce n’est donc pas un hasard si depuis cette élection, aucun président en exercice n’a été réélu. Il y a de fortes chances qu’Emmanuel Macron connaisse le même sort. Pour rappel, son prédécesseur fut tellement décrié et critiqué qu’il renonça à défendre son titre lors de l’élection présidentielle de 2017. Cette hyper-présidentialisation fragilise encore plus le système républicain, car il n’existe plus de premier rempart entre le magistrat suprême et le peuple…

    De fait, les élites sont stigmatisées pour au moins deux raisons. La première : elles n’accomplissent pas avec succès ce pourquoi elles ont été désignées. La seconde : leur niveau de revenu atteint des montants faramineux pendant que le peuple trime en étant payé aux lance-pierres. Les Français peuvent accepter ces grands écarts de revenus, quand les élites travaillent au bonheur de tous. En revanche, l’injustice est très mal supportée. Or depuis des années, les responsables politiques – dans une très large mesure – bien loin de servir l’Etat, se servent de lui pour accumuler richesses, positions, pouvoir, prestige médiatique et comportements de parvenus au détriment du bien commun. De même, il n’est pas rare de voir des politiques de premier plan rejoindre des groupes privés, ce qui renforce l’idée déjà très présente chez bon nombre de Français, d’un système de corruption ou d’influence, aux antipodes de l’esprit démocratique tant vanté par ses différents promoteurs.

    Toutes les représentations citoyennes connaissent les pires difficultés à susciter des adhésions. Les partis politiques, les associations politiques, les syndicats sont désertés par les Français qui n’y trouvent plus leur compte. L’abstention bat souvent des records à chaque nouvelle élection. La probabilité que ce phénomène s’arrête flirte avec le néant, sauf grand retournement de tendance qu’amèneraient des « évènements » majeurs. Seule la présidentielle rencontre un certain succès, pour la raison énoncée plus haut : la personnalisation effective de la première place du système républicain permet l’identification évidente du responsable politique.

    En fin de compte, si les Français désertent toutes les organisations représentatives, la faute ne leur en incombe pas totalement. Les politiques et les syndicalistes, qui défendent des intérêts particuliers, loin des enjeux réels qu’affrontent la France et les Français, doivent être désignés comme les principaux responsables de cette situation. Mais ils ne sont pas les seuls coupables. Gorge Orwell a écrit de façon catégorique en son temps : « Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice ! » Rien de plus à ajouter à cette terrible vérité.

    La république et la démocratie posent véritablement problème. Malheureusement la contre-révolution institutionnelle n’est pas encore pour demain…

     

    Source : lesalonbeige