Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

radicalisation

  • La ville de Bruxelles affiche des « Allahu akbar » partout pour lutter contre la radicalisation…

    Publié par Guy Jovelin le 11 février 2020

    Cette campagne d’affichage lancée début février dans la capitale belge – pour lutter contre la radicalisation – est révélatrice de l’ampleur du changement de civilisation en cours. Alors que des territoires entiers passent progressivement sous domination africaine et islamique dans tous les pays d’Europe de l’ouest, le moyen trouvé par les génies de Bruxelles pour lutter contre la violence d’une religion de conquête, c’est une campagne d’affichage qui reprend et explique le slogan principal des soldats de l’islam…

    Même la traduction donnée par l’affiche n’est pas bonne puisque Allahu Akbar ne signifie pas que Dieu est grand, mais LE PLUS grand. Plus grand que toutes les constructions humaines, mais aussi plus grand que les « idoles » associées à sa divinité (Trinité, saints etc…). C’est plus qu’une formule, c’est un cri de ralliement, c’est un appel à la guerre.

    Trouvé sur la RTBF : « La cellule PRE-RAD de Bravvo, le service de prévention de la Ville de Bruxelles, a lancé samedi en début d’après-midi, au carrefour de l’Europe à Bruxelles, une campagne de sensibilisation au radicalisme violent intitulée « Et toi, la radicalisation, t’en penses quoi ? « . Elle s’étalera sur tout le mois de février.

    Cette campagne de prévention vise en premier lieu les jeunes de 12 à 25 ans. Elle a été conçue en partant du constat qu’ils ont été les témoins d’un fait social d’une extrême violence, l’embrigadement idéologique, ces cinq dernières années. A travers cette campagne, il est question de libérer la parole des jeunes au sujet de l’extrémisme et du vivre-ensemble, de valoriser le débat démocratique sur ces sujets et de susciter une réflexion critique.

    Donner la parole aux jeunes

    « Notre démocratie n’est certes pas parfaite et l’idéal de justice sociale dont elle est porteuse est confronté à de nombreux défis, mais elle se fonde sur un rejet catégorique de la violence pour imposer son point de vue et, au contraire, érige le droit à la parole, l’égalité et le dialogue entre tous comme moyens pour transformer la société« , a déclaré le bourgmestre Philippe Close. « Avec cette campagne, nous avons donc voulu donner la parole aux jeunes, faire entendre leurs mots sur ce sujet délicat, et montrer que notre jeunesse partage cet idéal démocratique. Elle est non seulement capable de prendre la parole, mais sans doute peut-elle aussi nous apprendre beaucoup si on se donne la peine de l’écouter« .

    La campagne s’appuie sur les réflexions d’adolescents partagées au cours d’ateliers, menés par la Cellule PRE-RAD en collaboration avec l’ASBL Trames, au centre de jeunes R’en’Arts de Bravvo, dans le quartier des Marolles. Ils ont discuté des témoignages filmés « Rien à faire, rien à perdre« , réalisés par Isabelle Seret, qui donnent la parole à des jeunes Bruxellois ayant connu un parcours de radicalisation. Ce processus a débouché sur 20 phrases clés qui forment la colonne vertébrale de la campagne.

    Affiches, cartes postales…

    Elle se décline sous forme de cartes postales, d’affiches dans l’espace public, de clips diffusés sur des écrans dans la ville, de visuels diffusés sur les réseaux sociaux ou encore d’animations pédagogiques. De plus, 11 cartes de grande taille sont exposées au Carrefour de l’Europe en français et néerlandais. Un groupe Facebook servira d’espace de discussion et d’information pédagogique sur la radicalisation, les discours haineux et les formes d’extrémisme violent. Des vidéos de micro-trottoirs réalisées à Bruxelles y seront diffusées.

    Un kit pédagogique facilitant le discussion sera distribué dans les centres de jeunes de Bravvo et disponible sur demande à l’issue du mois de février. »

     

    Source : contre-info

  • Des policiers musulmans désarmés par crainte de leur radicalisation

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2019

    Depuis l’attaque terroriste interne à la préfecture de police de Paris, l’inquiétude grandit au sein des effectifs de police qui se demandent combien d’autres de leurs collègues pourraient se retourner contre eux.

    Deux policiers musulmans, dont un capitaine converti lors de son mariage, ont été désarmés en raison des indices de radicalisme les concernant.

     

     
  • Echec complet du rassemblement des “musulmans contre la radicalisation” organisé par Chalghoumi

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2019

    Jeudi à Paris, bide complet pour le rassemblement des “citoyens musulmans contre la radicalisation” organisé par l’équipe de l’imam Chalghoumi (l’ami de Caroline Fourest, du CRIF et du Grand Orient de France) devant la fontaine Saint Michel.

    Il y avait plus de journalistes que de participants…

     

    Source : medias-presse.info

  • Quand les parlementaires découvrent la radicalisation en France…

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 27 juin 2019

     

    Depuis deux jours, pas un débat organisé par les chaînes d’information en continu ne fait l’impasse sur le sujet. La radicalisation ferait son petit bonhomme de chemin dans des services publics atones face à ce danger mortel. Armée, police, transports publics, école, rien n’échappe à la vaste entreprise de transformer la France en une terre où l’islamisme règne sans partage. Malgré le petit bruit médiatique bien sympathique qui permet de sortir des sempiternels reportages sur la canicule, on ne découvre rien sous le soleil de France… Le pire est que les deux parlementaires ont tendance à minimiser l’ampleur du phénomène.

    Eric Diard et Eric Pouillat sont des députés heureux. Fiers représentants des Républicains pour le premier et d’En Marche pour le second, ils ont réuni leurs forces pour aller sur un terrain inquiétant et dangereux : celui de la radicalisation des services publics. Un sujet complètement nouveau pour tout individu né de la dernière pluie. Un spécimen pas si rare sur les bancs de l’Assemblée nationale où le rapport d’une centaine de pages de ces deux députés permet à l’ensemble de l’institution de se couvrir de louanges. Un travail novateur et sans concession ? On est loin du compte…

    Oui-oui fait une enquête sur l’islamisation

    Après huit mois d’enquête et des dizaines de témoignages recueillis, ces deux inspecteurs dans l’âme se sont rendus compte que la radicalisation touchait tous les services publics. Du chauffeur de la RATP qui refuse de serrer la main de ses collègues femmes aux policiers qui préfèrent suivre les règles du Coran plutôt que les lois républicaines, aucun secteur n’est épargné. Pas même l’école où les élèves reviennent dans leur famille avec l’idée de faire rentrer leurs parents dans le droit chemin de l’Islam…

    Car oui, cela est étrangement peu souligné, mais quand on parle de radicalisation, il s’agit bien entendu de la campagne des islamistes pour imposer leur religion et leur conception insupportable de textes religieux qu’ils n’ont jamais lu la plupart du temps. Il ne faut surtout pas mettre mal à l’aise les musulmans alors la radicalisation ne doit pas être directement associée avec l’Islam… Un tel aveuglement et une lâcheté aussi grossière sont justement les engrais d’une radicalisation que plus grand monde n’ose affronter de peur d’être traité d’islamophobe et de raciste. Le gauchisme a remporté la partie et c’est l’islamisme qui profite à plein de ce succès.

    Les services publics et la société dans son ensemble sont de plus en plus sous la coupe de l’Islam, mais les deux gusses de députés estiment malgré tout qu’il s’agit d’un phénomène « marginal ». Les centaines de cas répertoriés ne seraient donc que l’écume des jours. Ces deux génies sont-ils au moins sortis une fois du VIIe arrondissement de Paris pour mener leur enquête ? Les lieux où l’Islam s’impose par la force et la terreur foisonnent en France et les habitants sont obligés de changer leurs comportements afin de rentrer dans le moule…

    L’islamisation n’est pas un épiphénomène comme ces deux députés le croient et tentent de convaincre le reste des citoyens. La France va mal et ce n’est pas avec des médecins qui font des demi-diagnostics et qui refusent de préconiser le moindre traitement que les choses vont aller mieux. Les pouvoirs publics continuent de se voiler la face, préambule à un port du voile généralisé.

     

    Source : 24heuresactu