Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

égorgée

  • Marseille : il y a 3 ans, Laura et Mauranne étaient tuées, l’une poignardée à mort, l’autre égorgée, aux cris de “Allah Akbar”, par un clandestin tunisien

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020

    C’est un attentat qui a profondément marqué les esprits à Marseille. En pleine journée le 1er octobre 2017, deux étudiantes, deux cousines ont été tuées au couteau sur le parvis de la Gare Saint-Charles à Marseille. L’assaillant avait été tué par des militaires d’une patrouille de l’opération Sentinelle. L’acte, revendiqué par l’Etat Islamique, a été qualifié d’attentat.

    Une plaque commémorative est depuis installée sur le parvis pour rendre hommage à ces deux jeunes filles de 20 ans.

    Maritima


    Laura Paumier, 21 ans, et Mauranne Harel, 20 ans, sont les dernières victimes de la lâcheté collective face au totalitarisme islamique. Laura était élève infirmière, engagée dans le scoutisme. Mauranne était étudiante en médecine.

    Les deux cousines ont été l’une égorgée, l’autre éventrée, dimanche, gare Saint-Charles, à Marseille. Le tueur, Ahmed Hanachi, criait «Allah akbar» en plongeant son couteau. Il a été abattu par un réserviste en patrouille. L’État islamique l’a reconnu comme un de ses «soldats».

    Le Tunisien de 29 ans vivait clandestinement. Il avait été arrêté sept fois depuis 2005 pour de la petite délinquance, sans avoir jamais été expulsé. Deux jours avant qu’il n’assassine, la canaille avait été interpellée pour vol, à Lyon, puis relâchée. Laura et Mauranne sont mortes des renoncements de la République et des belles âmes à protéger les citoyens de l’immigration de peuplement et de l’islam conquérant qu’elle amène.

    Le Figaro

  • Québec : Noémie étranglée et égorgée par Ali Mahadi Mahamat, son conjoint du Tchad dont elle couvrait les agressions sexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Noémie Lavoie n’a jamais pu prendre le train pour son Saguenay natal. Alors qu’il était menacé d’expulsion pour de nombreux crimes violents l’hiver dernier, son conjoint l’a étranglée, puis égorgée.Ses deux sœurs se trouvaient pourtant à l’étage de leur résidence de Montréal.

    [...]

    L’affaire avait fait grand bruit l’hiver dernier. La jeune femme de 24 ans avait été assassinée brutalement dans un logement du quartier Ahuntsic. Son conjoint, un récidiviste violent, était visé depuis trois semaines par une mesure d’expulsion vers le Tchad, son pays natal.

    Même s’il avait déjà été impliqué dans une sordide agression sexuelle, il avait été libéré pendant les procédures d’immigration.

    [...]

    Noémie Lavoie n’a eu aucune chance. Son conjoint l’a étranglée avant de lui trancher la gorge et de la poignarder à quatre reprises au thorax. Selon le rapport d’autopsie, la jeune femme est morte des coups de couteau à la gorge et au thorax, et non de l’étranglement. L’arme du crime a été retrouvée sur une pile de vêtements. Le motif du meurtre n’est toutefois pas mentionné dans les documents de cour.

    Malgré son jeune âge, l’homme de 24 ans avait de lourds antécédents criminels de violence. À seulement 20 ans, la liste de ses antécédents judiciaires comptait déjà 27 infractions.

    En 2017, il a été condamné à 24 mois de prison pour agression armée, voies de fait graves et complicité après le fait.

    Ali Mahadi Mahamat avait participé à une horrible affaire d’agression sexuelle à l’endroit d’un autostoppeur pris à l’Étape par le couple quelques jours plus tôt. La victime, un jeune homme, avait vécu l’enfer. Ses bourreaux l’avaient forcé à faire une fellation. On l’avait aussi battu à répétition à coups de tringles à rideaux et tailladé de coups de couteau.

    [...]

    Notons que dans cette affaire, Noémie Lavoie avait été condamnée à 105 jours de prison pour complicité après le fait.

    [...]

    La Presse via lesobservateurs