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évêques de français

  • Les évêques français imposent l’écriture inclusive à leurs “frères et sœurs”

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2019

    L’écriture inclusive fait son entrée officielle dans les textes liturgiques de l’Église conciliaire. On avait déjà, en début d’homélie, de palabres, de discussions, le tonitruant « Mes frères et mes sœurs » déclamé par des curés avant-gardistes avant l’inclusion certifiée conforme par les précieux ridicules des temps post-féministes.

    Désormais, les prières pour la célébration de la messe Paul VI se mettent à la page de l’inclusion :  « frères et sœurs » dans la nouvelle traduction du Missel Romain remplacera le mot « frères » de par la volonté des évêques de France, aux « serviteurs » on rajoutera les « servantes » et tout dans la même veine. Et ainsi, comme le chante François,  pas celui au Vatican, mais Claude de son petit prénom, “Oh oh, ce serait le bonheur”…

    La Conférence épiscopale de France se donne des excuses pour expliquer ce changement conforme à la mode du temps et si contraire à la tradition linguistique française : cette traduction serait plus proche du texte original en latin, clame-t-elle tout en précisant quand même que c’est pour faire plus de place aux femmes.  

    C’est le 5 novembre dernier que la CEF avait annoncé dans un communiqué avoir obtenu l’aval du Vatican pour cette nouvelle traduction du Novus Ordo Missae. Ce dernier pourra peut-être ainsi être plus proche de l’ancien texte latin avec cette traduction inclusive qui est avant tout mue par une pastorale bien-pensante et politiquement correcte, il n’en restera pas moins toujours aussi éloigné « de façon impressionnante, dans l’ensemble comme dans le détail, de la théologie catholique de la Sainte Messe, telle qu’elle a été formulée à la XXIIe session du Concile de Trente, lequel, en fixant définitivement les « canons » du rite, éleva une barrière infranchissable contre toute hérésie qui pourrait porter atteinte à l’intégrité du Mystère. » (in Préface des cardinaux Ottaviani et Bacci au Bref examen critique du Nouvel Ordo Missae). Ce n’est juste qu’un pas supplémentaire dans la confusion des esprits modernes…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info