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angela merkel

  • La Russie réclame le jugement d’Angela Merkel et de François Hollande

    Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2023

     

    Le président de la Douma d’État russe, Viacheslav Volodine, a demandé la tenue d’un tribunal militaire international comparable à celui de Nuremberg pour juger l’ancienne chancelière allemande Merkel et l’ancien président français François Hollande.

    « Les aveux faits par le représentant du régime de Kyiv et les anciens dirigeants de l’Allemagne et de la France devraient être utilisés comme preuves devant un tribunal militaire international. Ces dirigeants ont comploté pour déclencher une Guerre Mondiale aux conséquences prévisibles. Et ils méritent d’être punis pour leurs crimes », a-t-il déclaré

    Angela Merkel avait assuré, lors d’un entretien à Die Zeit, avoir négocié et signé les Accords de Minsk non pas pour faire la paix en Ukraine, mais pour donner du temps à l’armée ukrainienne pour préparer la guerre actuelle [1]. François Hollande lui avait donné raison dans un entretien à Kyiv Independent [2].

    Le Droit international considère les « crimes contre la paix » comme plus graves que les crimes contre l’humanité. Cependant, les Nations Unies n’ont jamais défini clairement ce qu’ils sont vraiment.

    La non-application des Accords de Kiev a prolongé la guerre civile en Ukraine durant 8 ans faisant au moins 20 000 morts.

    La Russie n’a pas envahi l’Ukraine, mais a lancé une opération militaire spéciale pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité ; résolution qui valide les Accords de Kiev.

    Source RV

  • Angela Merkel, symbole de la fin d’une civilisation.

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2021 

    Après 16 ans de chancellerie et quatre victoires électorales à son actif, Angela Mekel se retire. Que restera-t-il de son bilan ? Un événement considérable : le choix de la fin de la civilisation occidentale chrétienne.

    angela merkel,fin d'une civilisationEn acceptant l’arrivée de millions de  musulmans ou en favorisant l’adoption du mariage homosexuel, auquel elle était pourtant opposée, elle a choisi de tourner la page.

    Angela Merkel avait pourtant des qualités hors du commun. Intelligente, honnête et tenace. Ce n’est pas si fréquent, par les temps qui courent. Elle réussit à s’allier successivement avec tout l’échiquier politique allemand avec une habileté manœuvrière rare. Elle sut résister aux pressions et menaces américaines pour imposer la finalisation du gazoduc russe Nord Stream 2 car elle considérait que c’était l’intérêt de l’Allemagne. Elle savait être mordante : on se rappelle, dans son pays, ce mot terrible lâché au Figaro à propos de Nicolas Sarkozy : « Je dois avouer que je ne savais pas qui était cet homme jusqu’à ce que mon mari m’offre un coffret de DVD de Louis de Funès. Ensuite, j’ai su qui était Nicolas Sarkozy. »

    Mais, obsédée par les sondages, elle faisait sien le moindre mouvement d’opinion ayant une ampleur significative. Ainsi pour les migrants. On se rappelle la photo du corps du petit Kurde gisant sur une plage turque qui fit le tour du monde. Merkel comprit que l’opinion s’était retournée et ce fut le fameux « Wir schaffen das » (« Nous y arriverons »), donnant le coup d’envoi à l’accueil improvisée d’une immense cohorte de  venus du Proche-Orient, d’ centrale et d’Afrique. Personne n’a encore fait le compte du bouleversement démographique et religieux que cela engendrera à long terme.

    La chancelière s’est ensuite défendue d’avoir pris la décision seule. Il fallait, en effet, donner une réponse à l’Autriche, totalement débordée, et qui avait besoin de connaître la position allemande. Elle appela, dans la même soirée, ses alliés du SPD qui, en bons socialistes, donnèrent leur feu vert. Mais fort opportunément, elle ne put joindre les dirigeants de son propre parti. Le patron de la CSU bavaroise, en particulier, qui se serait violemment opposé à cette perspective. Horst Seehofer ne cessera de rappeler, par la suite, qu’il dormait chez lui et que si la chancelière avait vraiment voulu lui parler, il n’était pas difficile à trouver.

    De même, elle oublia purement et simplement d’en parler à ses partenaires européens, mis ainsi devant le fait accompli.

    La sortie précipitée du nucléaire relève de la même logique du sentiment : après l’incident nucléaire de Fukushima, l’opinion publique allemande, très en pointe sur le sujet, s’inquiéta et des manifestations eurent lieu pour sortir du nucléaire. Elles ne furent pas d’une ampleur considérable mais suffisantes pour que Merkel, approuvée cette fois par l’ensemble de la classe politique allemande, fasse voter la sortie du nucléaire à une écrasante majorité, le 30 juin 2011. Depuis, les centrales à charbon tournent à plein régime. Allez comprendre…

    Pour l’adoption du mariage homosexuel, c’est encore pire. Merkel, digne fille de pasteur, y était opposée : « Pour moi, le mariage, c’est quand un homme et une femme vivent ensemble », déclarait-elle encore, en 2015. Mais l’opinion publique y était devenue favorable et les élections législatives de l’automne 2017 se profilaient. La gauche (Verts, SPD et Die Linke) avait annoncé que cette question serait un thème majeur de la campagne. Alors, pour couper l’herbe sous le pied de ses adversaires, elle permit l’inscription du mariage homosexuel à l’ordre du jour de la séance du 28 juin 2017. Toute la gauche vota pour, ainsi que 75 députés CDU-CSU sur 309 (dont Ursula von der Leyen). Merkel vota contre, rappelant qu’elle y était opposée. Voter contre une loi dont on a organisé l’adoption, c’est une signature très Angela Merkel qui gagna les législatives suivantes où la question du mariage homosexuel ne fut plus évoquée.

    Finalement, au Panthéon des fossoyeurs de l’Occident chrétien, la gentille Mutti figurera en bonne place.

     

    Antoine de Lacoste

     

    Source : lafautearousseau

  • L’ancien chef du renseignement allemand veut expulser les immigrés : c’est lui qui a été viré

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2021

    L’ancien chef du renseignement allemand veut expulser les immigrés : c’est lui qui a été viré

    Hans-Georg Maassen, l’ancien directeur des renseignements allemands, viré par Angela Merkel en 2018, a dénoncé, dans un entretien au Daily Mail le samedi 3 juillet, la politique immigrationniste d’Angela Merkel. En 2015, la chancelière allemande avait laissé entrer plus d’un million d’immigrés dans son pays, avec les conséquences que l’on connaît. Les Allemands « ne peuvent pas comprendre pourquoi de plus en plus de personnes entrent dans ce pays alors qu’elles n’ont évidemment aucun droit à l’asile ».

    Hans-Georg Maassen avait été démis de ses fonctions en 2018 après avoir contredit publiquement l’affirmation de la chancelière selon laquelle des étrangers avaient été «chassés» par des extrémistes lors de troubles dans la ville de Chemnitz, en Allemagne de l’Est.

    L’ancien chef du renseignement insiste sur l’inconsistance des politiques allemands, qui donnent l’impression d’accepter « tout simplement le fait que les gens d’ici soient victimes de ces migrants ». Quelques jours après qu’un réfugié somalien, arrivé en 2015, a poignardé et tué trois personnes à Würzburg – aux cris d’ « Allah Akbar », Hans-Georg Maassen interroge :

    « Pour n’expulsons-nous pas les migrants ?».

    « Le parti a clairement subi beaucoup de dégâts au cours des 20 dernières années ». « C’est devenu un club pour élire la chancelière sous le slogan ’Nous voulons que Merkel soit réélue’, mais la substance politique et programmatique réelle a disparu ».

    Candidat CDU en Thuringe, pour les élections du 26 septembre qui décideront du successeur d’Angela Merkel, l’ancien chef des renseignements espère être élu, et incarner l’aile droite de la CDU.

     

    Source : lesalonbeige