Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020
Délirant avec cet exemple :
Mais en indiquant simplement sur le site internet mis en place par l’Etat pendant le confinement que ses 50 employés allaient se retrouver en situation de grande précarité, Ami K. n’a pas eu longtemps à plaider sa cause. Elle a sans aucune difficulté, et sans avoir à fournir le moindre justificatif, pu obtenir au total 210.000 euros d’aides financières.
Un magistrat confirme :
“Une simple déclaration sur internet suffisait alors, il n’y avait aucun contrôle”.
Et ce n’est pas un cas isolé : ces dernières semaines, les dossiers d’escroqueries au chômage partiel se sont multipliés. D’après de premières investigations, ce sont sans doute plusieurs dizaines de millions d’euros qui ont ainsi été obtenus de façon illégale.
Source : lesalonbeige