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bachaga boualam

  • C’était un 7 février…

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2024

    1982 : dans la nuit, décès du bachaga Boualam, 75 ans, grand officier de la Légion d’honneur, chef musulman d’Algérie dont plus de 2 000 hommes mourront au cours des deux guerres mondiales.

    En mars 1962, alors que se consommait la trahison gaulliste, il proclamait lors d’une émission pirate de radio dans les départements d’Algérie que « l’Ouarsenis est terre française ».
    Il fut rejoint par environ 105 hommes, dont le commando Albert.
    C’est à cette occasion que le colonel Jean Gardes créea le fameux maquis OAS de l’Ouarsenis, en collaboration avec Boualam, qui avait prévu de ramener ensuite des milliers de harkis.
    Les forces françaises, essentiellement de gendarmerie, s’associeront avec le FLN pour venir à bout de ces partisans de l’Algérie française…
    Summum de l’ignominie, c’est l’aviation, sous les ordres du gouvernement, qui ira jusqu’à appuyer les Felagah de l’ALN (branche armée du FLN) pour mener à bien cette opération contre le maquis… Face à des soldats français expérimentés ayant rejoint les maquisards harkis mieux valait utiliser des avions…
    Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, fut responsable de la harka de la région de l’Ouarsenis pendant la guerre d’Algérie. Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c’est-à-dire chef de 24 tribus arabes des Beni-Boudouane, situées en Ouarsenis (entre Alger et Oran).
    Durant les combats contre le FLN, il perdit dix-sept membres de sa famille, dont un de ses fils, Abdelkader.
    Des livres du Bachaga Boualam sont en vente ici.

     

    Source : contre-info

  • 7 février 1982 : dans la nuit, décès de Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    • 1982 : dans la nuit, décès du bachaga Boualam, 75 ans, grand officier de la Légion d’honneur, chef musulman d’Algérie dont plus de 2 000 hommes mourront au cours des deux guerres mondiales.

    En mars 1962, alors que se consommait la trahison gaulliste, il proclamait lors d’une émission pirate de radio dans les départements d’Algérie que « l’Ouarsenis est terre française ».
    Il fut rejoint par environ 105 hommes, dont le commando Albert.
    C’est à cette occasion que le colonel Jean Gardes créea le fameux maquis OAS de l’Ouarsenis, en collaboration avec Boualam, qui avait prévu de ramener ensuite des milliers de harkis.
    Les forces françaises, essentiellement de gendarmerie, s’associeront avec le FLN pour venir à bout de ces partisans de l’Algérie française…
    Summum de l’ignominie, c’est l’aviation, sous les ordres du gouvernement, qui ira jusqu’à appuyer les Felagah de l’ALN (branche armée du FLN) pour mener à bien cette opération contre le maquis… Face à des soldats français expérimentés ayant rejoint les maquisards harkis mieux valait utiliser des avions…
    Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, fut responsable de la harka de la région de l’Ouarsenis pendant la guerre d’Algérie. Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c’est-à-dire chef de 24 tribus arabes des Beni-Boudouane, situées en Ouarsenis (entre Alger et Oran).
    Durant les combats contre le FLN, il perdit dix-sept membres de sa famille, dont un de ses fils, Abdelkader.
    Des livres du Bachaga Boualam sont en vente ici.

     

    Source : contre-info

  • Bachaga Boualam, Mon pays la France

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2021

    "Quand les Français débarquèrent sur nos côtes, le mot Algérie n’existait pas. Notre histoire commence en 1845 comme celle de la France, en tant que peuple, a commencé avec les Capétiens. 1830, en cette terre d’Afrique du Nord, c’est le chaos, deux millions d’esclaves rançonnés par les pillards ou les féodaux, rongés par la syphilis, le trachome, le choléra, la malaria ; des déserts, des marais pestilentiels, plus rien de ce qui avait été la paix romaine."
    Bachaga Boualam, Mon pays la France (1963)