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beyrouth

  • Beyrouth, notre responsabilité nationale

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    Ceux qui, en France, soutiennent la pétition déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.

    Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.

    Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est à dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:

    « Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : nuit, ciel et plein air
  • Macron était à Beyrouth. Pas la France.

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    A Beyrouth où il s'est rendu ce jeudi - non comme le Président d'une Nation historiquement intéressée à la survie du Liban, stratégiquement et spirituellement liée à lui, et protectrice, depuis presque huit siècles, des chrétiens qui le peuple et en sont l'âme, mais comme une sorte d'agent spécial dépêché en urgence par les organisations internationales - Emmanuel Macron a invité les Libanais à une réforme politique profonde "avec les responsables en place".
     
    Les responsables en place sont ceux qui ont ruiné le pays et l'ont conduit, une fois de plus, au bord du gouffre.
     
    Les responsables en place sont ces féodaux corrompus et dépravés qui tiennent le Liban comme un vautour tien sa proie.
     
    Les responsables en place sont tous, y compris et surtout le Président Aoun, maronite traître a son camp, des marionnettes du Hezbollah, force politique chiite a vocation de parti unique, secte apocalyptique, armée d'Allah et de l'Imam caché, financée et entièrement contrôlée par l'Iran, dont l'engagement auprès du régime Syrien dans sa juste résistance à l'islamisme sunnite et au nouvel ordre mondial ne peut faire oublier nos 58 paras morts au Drakkar. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Et le Hezbollah fait peser sur le Liban chrétien une menace mortelle.
     
    La foule en colère qui, dans les rues du quartier chrétien de Gemmaysé dévasté par les explosions et ravagé par la crise économique, a fustigé Aoun et interpellé Macron aux cris de "Aidez-nous ! Révolution !", et "le peuple veut la chute du régime", devra attendre que la France fasse elle même sa révolution nationale pour lui venir en aide.
     
    En espérant qu'il ne sera pas trop tard.
  • Beyrouth : solidarité d'Etat avec le Liban, mais solidarité nationaliste avec les seuls Chrétiens.

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    La double explosion qui vient de tuer et de blesser gravement des centaines de libanais à Beyrouth et dont la cause n'est pas établie est un drame humain auquel aucun français ne peut rester insensible. Touché de plein fouet par la crise sanitaire et plus que jamais confronté aux antagonismes religieux et politiques, le Liban est, une nouvelle fois, cruellement meurtri. Notre solidarité d'Etat va à ce pays qui nous est cher et où l'intérêt de la France a toujours d'être présente.
     
    Pour autant, de notre point de vue national et civilisationnel, il nous faut rappeler que, dans les faits, dans l'histoire, et plus encore selon notre coeur, il n'existe pas de "peuple libanais".
     
    Il y a nos frères chrétiens maronites ou syriaques du Liban, théoriquement sous la protection de la France depuis Saint Louis et la charte signée à Saint-Jean-d'Acre le 24 mai 1250.
     
    Il y a nos camarades des Phalanges chrétiennes que Bachir Gemayel marqua à jamais et au sein desquelles combattirent de nombreux volontaires nationalistes français dans les années 70, ce parti Kataëb dont le secrétaire général vient de périr dans les flammes et le souffle de la déflagration.
     
    Et puis, il y a les autres... 
  • Bien qu’assigné à résidence, Carlos Ghosn a quitté le Japon en jet privé

    Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2019

    Par  le 30/12/2019

    Coup de tonnerre dans l’affaire Carlos Ghosn ! L’ex-PDG du groupe Renault-Nissan est arrivé à Beyrouth (Liban) lundi soir en provenance de Turquie, à bord d’un jet privé, selon le quotidien L’Orient-Le Jour. Une information confirmée par Les Échos et Europe 1. D’après ce qu’a indiqué l’entourage de l’homme d’affaires franco-libanais à la radio, ce dernier ne souhaite pas se soustraire à la justice, mais le contexte juridique du pays ne lui permettait pas d’espérer un procès équitable.
    […]

    Le Point via fdesouche