Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

cahors

  • Scènes de chaos à Cahors (46) : échauffourées en ville, des hommes cagoulés avec couteaux et battes attaquent le commissariat, la gare et l’hôpital.

    Publié par Guy de Laferrière le 29 octobre 2024


    Une série de rixe a éclaté à Cahors (Lot) dans la nuit du lundi 28 octobre au mardi 29 octobre. Trois adolescents ont été blessés à l’arme blanche dont un grièvement. Deux mineurs suspectés d’avoir participé aux échauffourées sont en garde à vue.
    Ce lundi 28 octobre vers 18h, une rixe a éclaté boulevard Gambetta à Cahors (Lot) au niveau du lycée Clément-Marot. Les auteurs présumés, tous mineurs selon nos informations, ont été interpellés par la police rapidement dépêchés sur place. Au cours de cette rixe, trois adolescents âgés de 17 ans dont une jeune fille ont été blessés à l’arme blanche et présente des plaies. L’un deux serait plus grièvement blessé.

    Des hommes cagoulés avec des battes de baseball et des couteaux

    Par la suite durant la soirée, un attroupement composé d’une vingtaine d’individus, certains cagoulés, se sont présentés au commissariat de la ville avec des couteaux et des battes de baseball. La police a dû faire usage de gaz lacrymogène pour les disperser. 

    Ce même groupe se serait ensuite rendu à la gare de Cahors et devant l’hôpital où là encore les forces de l’ordre ont dû intervenir avec l’appui d’une équipe cynophile venue spécialement de Montauban.

    Dans un communiqué de presse, la préfète du Lot “condamne avec fermeté ces agissements qui sont inacceptables.”  En réaction, Claire Raullin annonce l’arrivée d’effectifs de police supplémentaires sur la voie publique aujourd’hui et dans les prochains jours. Selon une source interne au commissariat ce genre d’événement reste inédit à Cahors.

    Sur Facebook, le syndicat Alliance Police Nationale salue le professionnalisme et le sang-froid de leurs collègues confrontés à cette situation.

    Totem via fdesouche

  • Cahors (46) : Le tribunal prononce une obligation de quitter le territoire pour 4 trafiquants de drogue nord-africains…

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2022

    Cahors. Le tribunal prononce une obligation de quitter le territoire pour 4 trafiquants de drogue...

    Originaires d’Afrique du nord, en situation irrégulière, ils s’adonnaient à un trafic de drogue entre Cahors et Cajarc…

    Tous les quatre originaires d’Afrique du nord, en situation irrégulière, ils s’adonnaient à un trafic de drogue entre Cahors et Cajarc. Outre les peines de prison, le tribunal correctionnel de Cahors prononce à leur encontre une obligation de quitter le territoire national.

    (…)

    La situation des quatre prévenus :

    – 1) âgé de 26 ans, né au Maroc, vit en couple, père d’un enfant, fume du cannabis, condamné à deux reprises pour stupéfiants et transport d’armes… : « Je voudrais avoir une dernière chance, je veux régulariser ma situation en France »

    – 2) la trentaine, il comparaît libre, arrivé en France à l’âge de 16 ans, 6 condamnations au casier judiciaire, dont déjà plus de 2 ans de détention, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français…

    – 3) condamné pour port d’armes, sous un autre nom, que l’identité avancée devant le tribunal de Cahors, père de 2 enfants, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, laquelle n’a pu être exécutée en raison de la période sanitaire,

    – 4) casier judiciaire vierge.

    actu.fr via fdesouche

  • Cahors (46) : un migrant mineur non accompagné de 16 ans agresse sexuellement une mère devant ses deux enfants dans un parc

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2022

    Une agression à caractère sexuel a eu lieu ce dimanche à Cahors, en plein parc.

    L’histoire est glaçante d’autant qu’elle est survenue dimanche après-midi, vers 13h30, au niveau du Parc Tassart, à proximité du Musée Henri-Martin, à Cahors. Selon nos informations, une mère de famille qui se promenait avec ses deux jeunes enfants s’est retrouvée face à un mineur s’exhibant. Non content de lui, l’individu âgé de 16 ans aurait poussé le vice en plaquant la mère le long d’un mur, afin de l’agresser sexuellement.

    “Le jeune home l’avait prise au niveau du bras, l’avait plaquée contre un mur, et avait frotté son sexe contre elle. Grâce à sa réaction, elle parvenait à prendre la fuite”.

    Un autre protagoniste, le gendre de la victime, a également reçu un coup de poing au visage, selon le parquet. Les policiers du commissariat de Cahors ont rapidement identifié et interpellé un suspect à hauteur de la gare de Cahors. “Il s’agit d’un mineur de 16 ans, connu des services judiciaires et bénéficiaires du dispositif de prise en charge applicable aux mineurs non accompagnés”, intervient Alexandre Rossi.

    La Dépêche via fdesouche

  • Cahors (46) : un lycéen de 17 ans gravement blessé au couteau à la sortie de son établissement par 4 jeunes déjà connus de la police

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2022

    Un lycéen et son grand frère ont été agressés à la sortie du lycée Clément Marot, mardi 29 mars. Des armes blanches étaient mêlées aux coups. Les auteurs des faits ont été interpellés.

    Une rixe a éclaté, mardi 29 mars, devant le lycée Clément Marot. Vers 16 heures, quatre jeunes sont venus tabasser un élève, âgé de 17 ans, de l’établissement. Il était accompagné de son grand frère, venu le chercher à la sortie. Les agresseurs, deux anciens de l’établissement exclus quelque temps auparavant et deux toujours scolarisés là-bas, ont sorti des couteaux. L’une des victimes a été blessée au cou. “Cela aurait pu être très grave”, assure le commissaire divisionnaire Patrick Meynier, directeur départemental de la sécurité publique du Lot. Les deux jeunes ont été transportés à l’hôpital, et ont reçu plusieurs jours d’ITT (incapacité temporaire de travail).

    Cette rixe, d’une “violence spectaculaire” selon le commissaire, a créé de l’inquiétude et de l’insécurité au sein de l’établissement cadurcien mais aussi dans le quartier. Avant l’arrivée de la police nationale, les auteurs ont pris la poudre d’escampette. Le dossier a été pris très au sérieux et placé en “priorité absolue”. Les enquêteurs de la sûreté ont été mobilisés, ainsi que certains agents de la police scientifique.

    (…) Les quatre auteurs sont connus des services de police, déjà pour des affaires de violence. “Ce sont des mini-terreurs qui jouent au caïd dans la rue”, regrette le commissaire. Il va plus loin : “c’est un gaspillage de réflexion et de talent. Ils ont tâché leur avenir professionnel”.

    La Dépêche via fdesouche

  • Cahors (46) : un septuagénaire tabassé pour avoir roulé trop lentement, selon l’agresseur déjà connu de la justice, il l’aurait traité de « sale b**gnoule »

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Âgé de 31 ans, le prévenu jugé hier par le tribunal correctionnel de Cahors est accusé de violences volontaires et de délit de fuite.

    Les faits remontent à l’été dernier. Le 14 juillet 2020, un homme âgé de 78 ans dépose plainte à la gendarmerie : alors qu’il circulait en voiture dans Figeac, un autre homme le colle avec son véhicule, lui fait des doigts d’honneur, le dépasse par la droite et finit par lui couper la route en s’arrêtant. Ce second conducteur sort alors de sa voiture, force la portière de la victime et lui assène des coups. Quelques jours plus tard, le véhicule et son propriétaire sont identifiés notamment grâce à une témoin.

    Si le prévenu reconnaît, à la barre comme en garde-à-vue, les faits, il tente pour autant de les nuancer.

    Selon sa version, c’est lui qui a été destinataire des premières incivilités routières et du premier coup de poing. “Il nous a foncé dedans, j’ai eu peur pour mon enfant car j’ai déjà perdu mon fils il y a trois ans. Je lui ai coupé la route, je suis allé à sa voiture et j’ai pris un poing. Il m’a insulté de sale bougnoule. Là, j’ai pété un câble. Je reconnais que c’est inexcusable“, confie le prévenu.

    “Outre son âge, cette personne est gravement malade. Peut-être vous a-t-il insulté mais j’ai du mal à croire que cette personne déjà sous le choc vous mette un coup de poing”, avance la présidente du tribunal. Lourd de 12 mentions, le casier judiciaire du prévenu ne joue pas en sa faveur. Les premières condamnations remontent à 2005 et les dernières à 2016, beaucoup concernent des faits routiers.

    Du côté de la partie civile, on dénonce “une agression gratuite”.

    Il essaie d’échapper à sa responsabilité en essayant de dire que mon client est raciste et violent. Il ne semble pas avoir compris la gravité des faits. Mon client a 78 ans, il circulait normalement, peut-être un peu trop lentement au goût du prévenu“, déplore l’avocate qui réclame pour la victime 5 000 € de dommages et intérêts, tous préjudices confondus. “Au moment des faits, il était suivi pour un cancer avec un traitement fatigant et une insuffisance respiratoire“. Résultat : “Des injections plus lourdes, des interventions décalées, et plusieurs mois d’angoisse et troubles du sommeil“. Quant au parquet, il requiert 200 € pour la contravention et trois mois d’emprisonnement pour le délit de fuite assorti d’un sursis probatoire de 2 ans et une obligation de soins et de travail.

    C’est la parole de l’un contre l’autre. Le prévenu s’est emporté parce qu’il a eu peur. Depuis 2016, on n’a jamais entendu parler de lui. Il a même tenu à présenter ses excuses. Il travaille, il est inséré, il ne pose aucune difficulté“, souligne Me Yassfy qui, face aux sommes réclamées par la partie civile appelle “à raison garder”. La décision du tribunal sera rendue le 7 octobre.

    La Dépêche via fdesouche