Le cardinal Marx, de l’Église conciliaire, et président de la Conférence épiscopale allemande, cautionne toutes les ouvertures progressistes : tant dans le domaine religieux, où il prône, et en cela il ne fait qu’appliquer radicalement les décrets du concile Vatican II, une déconstruction à saveur protestante morale, disciplinaire, sacramentelle, démocratique et synodale, que dans le domaine civil, et en cela il ne fait qu’appliquer la déconstruction mondialiste, en encourageant la fin des nations, le village-planète global, les individus nomades sans passé ni racines ni identité, par le soutien à l’invasion migratoire.
Récemment les feux de la rampe, et de la critique, se sont à nouveau braqués sur cet prélat au nom si bien donné : il a fait un don, révèle le Deutsche Welle, de 50 000€ à l’organisation soutenues par l’Église évangélique d’Allemagne, United4Rescue.
L’association en question est engagée dans le « sauvetage » des migrants en mer, et durant les derniers mois, a sollicité des dons pour financer l’acquisition d‘un bateau afin de patrouiller en Méditerranée en vue d’aller repêcher des aspirants à l’Eldorado européen qui dispense allocations familiales, sécurité sociale gratis, nourriture et logements offerts, et autres joyeusetés, que les contribuables autochtones, éternels vaches à lait de l’immigration, doivent eux payer.
Les responsables du parti identitaire d’outre-Rhin, l’Afd, ont demandé au cardinal rouge de clarifier si l’argent du don provenait des caisses du diocèse, donc des offrandes des fidèles, ou de son portefeuille personnel.
« Je me sentirai bouleversé, écrit sur twitter Stephen Brandner, le porte-parole du parti, si je devais découvrir que mes taxes consistantes payées pendant 30 années à l’Église catholique avaient servi à financer des activités de secours en mer, parce que ce n’est absolument pas mon intention de favoriser les affaires des trafiquants d’êtres humains. »
Ces bateaux d’Ong humanitaristes, poursuit Brander, pousseraient « toujours plus de personnes à tenter une traversée en mer suicidaire vers l’Europe ».
Johannes Huber, député du parti souverainiste, a lui aussi publié des critiques envers le cardinal germain en l’accusant d’avoir, par ce don à une organisation engagée dans le secours maritime d’étrangers, employé les offrandes des citoyens pour un but illégal qui consiste « à alimenter le business des trafiquants ».
L’archi-diocèse gouverné par le prélat incriminé a fait savoir que l’argent du don fait à l’Ong humanitariste venait de « fonds spéciaux » de la « balance diocésaine ». Ces réserves sont à disposition du cardinal pour être destinées à des associations de charité ou pour financer « des interventions urgentes ». Elles peuvent être prélevées par le cardinal sans qu’il ait besoin de se justifier.
L’Église évangélique allemande, derrière l’Ong aidée par le haut-prélat, lui a immédiatement porté secours, à travers une déclaration de Heinrich Bedford-Strohm, un de ses évêques qui a loué le geste de Marx le conciliaire. Les deux marchent main dans la main pour bâtir des lendemains de “vivre-ensemble” colorés, merveilleux et toujours meilleurs, qui chantent… et désenchantent déjà.
Ce n’est pas la première fois, souligne le journal allemand Deutsche Welle, que les dons de ce progressiste cardinal, un proche du pape François, dont d’ailleurs il met en pratique la ligne immigrationniste et immigrophile, deviennent la cible de critiques importantes. Déjà en 2018 et 2019, le président de la Conférence épiscopale allemande avait donné de l’argent à ces Ong humanitaristes spécialisées dans l’aide à l’invasion du Vieux continent. Sa collaboration, mais avec l’argent des autres, au grand remplacement civilisationnel et religieux est active, sonnante et trébuchante…
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info