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catalan

  • l'alliance socialos (Sanchez)/révolutionnaires catalans (Puigdemont) ? DANGER !

    Publié par Guy de Laferrière le 15 novembre 2023

    Le jeu dangereux des révolutionnaires indépendantistes catalans, qui ont opéré un détournement d'héritage sur le sain régionalisme traditionnaliste catalan. Aujourd'hui, ils sont prêts à mettre au pouvoir le socialo Sanchez, homme de guerre civile (il a rallumé les blessures de la Guerre civile en expulsant le corps de Franco du Valle de los Caídos) et homme aussi de toutes les cingleries de foldingues d'aujourd'hui; mais à une condition : l'amnistie pour le coup de force tenté par le dangereux agité Carlos Puigdemont. Ne pas oublier non plus que, dans leur combat face à l'État espagnol, les révolutionnaires/indépendantistes catalans ont adopté une stratégie régionaliste tiers-mondiste en favorisant l'importation massive de migrants non hispanophones (surtout des marocains et des pakistanais) faisant de la Catalogne un "nid à jihadistes"...

    Alors, l'alliance socialos (Sanchez)/révolutionnaires catalans (Puigdemont) ? DANGER !

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    Trahissant frontalement le magnifique héritage spirituel, culturel, politique des régionalistes catalans historiques, les révolutionnaires d'aujourd'hui ont osé souiller le magnifique drapeau des pals de Catalogne ( la "senyera") en y ajoutant l'horrible étoile bleue des sanguinaires cubains Castro, Guevara et Compagnie !

    Là où les Catalans ont toujours lutté pour défendre leurs libertés locales et leurs héritages historiques, les révolutionnaires voudraient faire de la Catalogne un Cuba sur Méditerranée, en y important les ingrédients du sinistre soviétisme qui a ravagé cette malheureuse île depuis plus d'un demi-siècle...

    Pour eux, dans leurs rêves fous et leur trahison de toute l'histoire du régionalisme catalan, la Catalogne ce serait "un goulag au soleil"...

     

    Source : lafautearousseau

  • Manuel Valls a trouvé le meilleur job au monde : candidat

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 16 juin 2019.

    Afin de se faire ou de garder une place en politique, les urnes sont un passage obligé. Manuel Valls est un grand spécialiste de la chose puisqu’il passe son temps à faire campagne pour une mairie, un siège de député, voire carrément le Palais de l’Elysée. Le Graal reste cependant une place de choix dans un Gouvernement, car dans ce cas, il suffit de convaincre un Flamby de président sans passer par la case électeurs. Bref, Manuel Valls est en campagne quasi permanente et aurait trouvé le moyen d’en faire un métier avec un salaire de 20 000 euros nets par mois à la clé. Sa pitoyable aventure barcelonaise n’a pas que des mauvais côtés…

    Grotesque, dangereux, malfaisant, expert en trahison, bien des qualificatifs collent à la peau de Manuel Valls. Il faut toutefois rendre hommage à l’ancien Premier ministre, car après tous les coups qu’il a reçu (après les avoir cherchés), il aurait dû quitter la scène politique et se trouver une niche dans une banque ou dans une société d’assurance. S’il a bien quitté (pour le moment) la scène politique française, Valls continue sa croisade politique de l’autre côté des Pyrénées. Direction Barcelone où il pris une nouvelle claque électorale en plein visage. Ça fait mal, mais son portefeuille se porte à merveille.

    Valls, un exemple pour la jeunesse catalane

    Le journal catalan « Ara » nous apprend que pour Valls, être candidat est un métier qui doit être rémunéré et pas au SMIC s’il vous plaît ! Ainsi, celui qui a fait croire que la Catalogne entière l’attendait pour se sauver des griffes des méchants indépendantistes à réseauté comme jamais afin que ses ambitions politiques soient en phase avec son goût pour l’argent. Venus comme un cheveu sur la soupe lors des élections municipales de Barcelone, Valls a profité de la campagne et de sa riche nouvelle compagne pour passer la brosse à reluire aux grandes fortunes catalanes. Le discours est simple : avec Valls pas d’indépendance et donc pas de risque pour le business.

    Les quelques élites bourrées de fric sont séduites, mais Valls ne se nourrit pas de beaux discours contrairement à certains électeurs. Les industriels sont habitués à distribuer les billets de banque au candidat qui sera le meilleur toutou au pouvoir (les dons des particuliers sont limités à 50 000 euros par an) et ils ont donc mis la main au portefeuille pour financer la campagne de l’ex Espagnol devenu Français. C’est bien, mais c’est largement insuffisant pour un Valls qui aurait clairement signifié qu’il ne ferait pas campagne sans pouvoir compter sur des revenus personnels à 20 000 euros net mensuels !

    Marianne rapporte les propos d’un convive qui a assisté, médusé, à l’une des levées de fonds en faveur de Valls. « Les gens étaient effarés quand Manuel Valls a demandé une telle somme pour lui. Ce n’est pas très élégant » affirme cet anonyme bien renseigné. « Effarés », mais soumis car Valls aurait bénéficié de 20 000 euros par mois pendant ses huit mois de campagne ! Une opération à 160 000 euros, soit plus de onze années de travail pour un Smicard ! Quand on vous dit que le socialisme paye !

    Valls s’est empressé de démentir les chiffres, mais s’est bien gardé de dire combien il avait gagné à jouer le bouffon catalan… Huit mois d’esbroufes et un compte bancaire bien garni, c’est un travail qui ferait envie à bien des gens. Les qualités pour ce job ? Principalement savoir retourner sa veste en un clin d’œil. Valls l’a fait a de multiples reprises jusqu’au dernier retournement en date et son soutien à la maire sortante de Barcelone qu’il n’arrêtait pas d’attaquer pendant la campagne… Et pas d’inquiétude si la veste finie par être très usée des deux côtés. Avec un boulot de candidat si bien payé, Valls à de quoi s’en racheter d’autres…

     

    Source : 24heuresactu