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  • Manuel Valls condamné à une amende de 277.000 euros pour des irrégularités de financement de sa campagne des municipales de Barcelone, des faits jugés “très graves” par la Cour des comptes

    Publié par Guy de Laferrière le 27 novembre 2022

    Démissionnaire de son poste de conseiller municipal de Barcelone et également retiré de la vie politique française, Manuel Valls revient dans l’actualité à la faveur d’une décision de la Cour des comptes sur le financement de sa campagne des élections municipales de Barcelone en 2019. Manuel Valls devra ainsi rembourser 277.000 euros pour avoir financé irrégulièrement sa campagne en acceptant des paiements de tiers, ce qui est interdit par la loi de financement des partis politiques en Espagne. Des faits jugés “très graves” par la Cour des comptes.

    Ainsi, l’ancien Premier ministre français, qui, lors de cette campagne, se présentait en tant que défenseur de l’unité espagnole face au “danger” de l’indépendantisme, a reçu des dons d’importants hommes d’affaires et de membres de la haute bourgeoisie catalane de Barcelone et de Madrid.

    Selon le média Nacio Digital, Manuel Valls n’a pas fait appel de sa sanction qui est la plus forte infligée à un parti engagé dans ces élections municipales. L’infraction a été jugée “très grave” par la Cour des comptes, justifiant cette amende de 251.698 euros à laquelle s’est ajoutée une autre sanction de 25.000 euros pour dépassement du plafond la limite maximale de dépenses en publicité extérieure.

    Lors des élections municipales de 2019, Manuel Valls avait obtenu 13% des voix. Pas suffisant pour être maire mais ses conseillers avaient fait pencher la balance pour désigner le maire. Apportant ses voix à Adau Colau (soutenue par l’ultra-gauche Podemos), il avait ainsi barré la route au candidat indépendantiste.

    En août 2021, Manuel Valls avait démissionné de son poste de conseiller municipal. Il avait échoué ensuite à se faire élire député des Français de l’étranger lors des élections législatives de juin dernier.

    L’Indépendant via fdesouche

  • VALLS : LA GIROUETTE FRANCO-ESPAGNOLE

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2021

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Un ancien Premier ministre de la République française qui n’a pas d’amour propre, qui n’a honte de rien et qui, selon la définition qu’en donne Audiard, « oserait tout », est-ce possible ? Oui, ça existe et ça porte un nom : Manuel Valls. Le patronyme d’un monsieur qui devrait inspirer le plus profond mépris à la classe politique si elle avait le sens de l’honneur.

    Voici une ancienne personnalité qui semble vouloir manger à tous les râteliers et qui se pavane sur les écrans de télé à l’occasion de la sortie de son dernier livre que je ne citerai pas, afin de ne pas lui faire de publicité ! Je m’explique. On s’en souvient, élu de justesse dans sa circonscription, boudé par la Macronie débutante, puis quittant ses terres de l’Essonne pour convoler en justes noces avec une dame espagnole, - c’est son droit le plus absolu -, le voyageur politique émigra dans sa Catalogne natale qu’il n’aurait jamais dû quitter.

    Pour y faire quoi ? Eh bien, ce qu’il sait faire, c’est-à-dire de la politique. C’est ainsi qu’il fit don de sa personne en 2018 à Barcelone, la ville où il vit le jour. Ayant échoué à s’imposer sous les couleurs centristes à la mairie de la capitale catalane, le voilà qu’il revient au galop à ses premières amours, prêt à offrir ses services de mercenaire de la politique à Emmanuel Macron, pourquoi pas.

    Ces deux-là pourraient peut-être former un duo clownesque, intitulé « Manolo y Emanolo, la mano en la mano » ? En tout cas, c’est le scénario qui se dessine si l’on en croit la presse, notamment « Le Figaro » dans son édition du vendredi 28 mai dernier. Valls utiliserait, - abuserait, devrais-je dire -, de son image  d’ancien ministre de l’Intérieur, pour revenir dans le sérail. Macron, pour servir ses intérêts, va-t-il le recycler ?

    Dans une vie antérieure, anonyme assistant régional, j’ai croisé bien malgré moi ce personnage à la fin des années 1980 au Conseil régional d’Île de France. Une époque où déjà, le jeune hidalgo fraichement naturalisé, était un élu du Parti socialiste et, surtout, le « porte-coton » d’un certain Lionel Jospin, futur Premier ministre, qui allait le mettre sur orbite. Et le voilà que, toute honte bue, il revient offrir ses services maléfiques à la France après avoir été remercié comme un laquais par ses anciens compatriotes ?

    Un véritable Rastignac espagnol le Manuel. Le voilà revenu à ses premières amours, le Valls, mais un « Valls à contretemps » !

     

    Source : synthesenationale

  • Manuel Valls a trouvé le meilleur job au monde : candidat

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 16 juin 2019.

    Afin de se faire ou de garder une place en politique, les urnes sont un passage obligé. Manuel Valls est un grand spécialiste de la chose puisqu’il passe son temps à faire campagne pour une mairie, un siège de député, voire carrément le Palais de l’Elysée. Le Graal reste cependant une place de choix dans un Gouvernement, car dans ce cas, il suffit de convaincre un Flamby de président sans passer par la case électeurs. Bref, Manuel Valls est en campagne quasi permanente et aurait trouvé le moyen d’en faire un métier avec un salaire de 20 000 euros nets par mois à la clé. Sa pitoyable aventure barcelonaise n’a pas que des mauvais côtés…

    Grotesque, dangereux, malfaisant, expert en trahison, bien des qualificatifs collent à la peau de Manuel Valls. Il faut toutefois rendre hommage à l’ancien Premier ministre, car après tous les coups qu’il a reçu (après les avoir cherchés), il aurait dû quitter la scène politique et se trouver une niche dans une banque ou dans une société d’assurance. S’il a bien quitté (pour le moment) la scène politique française, Valls continue sa croisade politique de l’autre côté des Pyrénées. Direction Barcelone où il pris une nouvelle claque électorale en plein visage. Ça fait mal, mais son portefeuille se porte à merveille.

    Valls, un exemple pour la jeunesse catalane

    Le journal catalan « Ara » nous apprend que pour Valls, être candidat est un métier qui doit être rémunéré et pas au SMIC s’il vous plaît ! Ainsi, celui qui a fait croire que la Catalogne entière l’attendait pour se sauver des griffes des méchants indépendantistes à réseauté comme jamais afin que ses ambitions politiques soient en phase avec son goût pour l’argent. Venus comme un cheveu sur la soupe lors des élections municipales de Barcelone, Valls a profité de la campagne et de sa riche nouvelle compagne pour passer la brosse à reluire aux grandes fortunes catalanes. Le discours est simple : avec Valls pas d’indépendance et donc pas de risque pour le business.

    Les quelques élites bourrées de fric sont séduites, mais Valls ne se nourrit pas de beaux discours contrairement à certains électeurs. Les industriels sont habitués à distribuer les billets de banque au candidat qui sera le meilleur toutou au pouvoir (les dons des particuliers sont limités à 50 000 euros par an) et ils ont donc mis la main au portefeuille pour financer la campagne de l’ex Espagnol devenu Français. C’est bien, mais c’est largement insuffisant pour un Valls qui aurait clairement signifié qu’il ne ferait pas campagne sans pouvoir compter sur des revenus personnels à 20 000 euros net mensuels !

    Marianne rapporte les propos d’un convive qui a assisté, médusé, à l’une des levées de fonds en faveur de Valls. « Les gens étaient effarés quand Manuel Valls a demandé une telle somme pour lui. Ce n’est pas très élégant » affirme cet anonyme bien renseigné. « Effarés », mais soumis car Valls aurait bénéficié de 20 000 euros par mois pendant ses huit mois de campagne ! Une opération à 160 000 euros, soit plus de onze années de travail pour un Smicard ! Quand on vous dit que le socialisme paye !

    Valls s’est empressé de démentir les chiffres, mais s’est bien gardé de dire combien il avait gagné à jouer le bouffon catalan… Huit mois d’esbroufes et un compte bancaire bien garni, c’est un travail qui ferait envie à bien des gens. Les qualités pour ce job ? Principalement savoir retourner sa veste en un clin d’œil. Valls l’a fait a de multiples reprises jusqu’au dernier retournement en date et son soutien à la maire sortante de Barcelone qu’il n’arrêtait pas d’attaquer pendant la campagne… Et pas d’inquiétude si la veste finie par être très usée des deux côtés. Avec un boulot de candidat si bien payé, Valls à de quoi s’en racheter d’autres…

     

    Source : 24heuresactu