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catastrophe

  • La loi « immigration métiers en tension », une véritable catastrophe

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    synthesenationale

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    Bernard Lugan

     Nous avons la volonté de simplifier l'accès au territoire pour des compétences particulières, dont l'économie a besoin", a annoncé Olivier Dussopt le mercredi 2 novembre 2022, dans un entretien au journal Le Monde. Le ministre du Travail veut même créer un statut spécifique pour les immigrés dans les secteurs « en tension », une mesure qui figure dans le projet de loi immigration présenté par le gouvernement et discuté au Parlement.

    Or, la composante « immigration métiers en tension » de cette loi va avoir un double résultat négatif puisqu’elle va accélérer encore davantage la fuite des cerveaux africains, tout en continuant à faire perdre son identité à la France.

     Les groupements représentant les professions dites « en tension » à l’origine de cette loi sont donc fidèles à la ligne constante du patronat français à l’origine de la première vague d’immigration massive des années 1970-1980. Cette forme contemporaine de « traite » est rendue possible grâce à l’alliance des « gentils » de l’anti-ségrégation et des « requins » du capitalisme. Au nom du paradigme de la « culpabilité européenne », les premiers s’interdisent de voir que cette loi va encore davantage saigner l’Afrique. Quant aux seconds, ils l’appellent de leurs vœux au nom du marché, du travail global et de la mobilité de la main d’œuvre. 

    Face au désastre qu’ils auront provoqué, le gouvernement qui a initié cette loi, et ceux des députés qui la voteront ne pourront pas prétendre qu’ils ne savaient pas…

    Source :  site de l'Afrique réelle

  • Les écolos pastèques nous mènent à la catastrophe !

    Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022

     

    Qu’il soit bien clair ici que je ne suis pas anti-écologie, mais anti-verts écolos. En effet, ces derniers nous mènent directement à la catastrophe.

    Je veux parler ici des « écolos pastèques » (verts à l’extérieur, rouges à l’intérieur).

    Le communisme, malgré ses 100 millions de morts, a fasciné une grande partie des intellectuels du monde entier.

    Certains en France ont même traité les non-communistes de « chien » et, par son refus de toute objectivité, Jean-Paul Sartre s’est entêté à déformer la réalité.

    Cependant, après 70 ans de mensonges, la vérité est apparue – concrétisée par la chute du mur de Berlin engendrant la fin du régime soviétique.

    Toutefois, l’idée communiste n’a pas totalement disparu et c’est sous un nom d’emprunt (« l’écologie ») que certains partis français en ont pris le relais.

    Ce « communisme travesti », représenté par une majorité de « verts d’extrême gauche », nous amène à la même catastrophe que le communisme originel par les décisions mortifères qu’ils sont arrivés à imposer à la gauche – mais aussi, il faut l’avouer, à une partie de la droite.

    La première décision funeste, que l’on paye malheureusement très cher aujourd’hui, est l’abandon idéologique du nucléaire.

    Les verts sont parvenus à monnayer quelques voix, prises par une gauche pitoyable, contre la fermeture programmée des centrales nucléaires françaises, nous mettant dans une situation de pénurie énergétique qui va faire des dégâts irréparables et nous coûter des sommes colossales.

    La deuxième faute est d’avoir imposé une énergie dite « décarbonée » – l’éolien – qui nous a déjà coûté une centaine de milliards d’euros pour, en l’état actuel, produire moins de 10 % de ce que produit le parc nucléaire français, tout en restant intermittente, et donc obligatoirement être associée à l’équivalent énergétique produit par des centrales à gaz dans le meilleur des cas – mais aussi, on le constate dans la crise actuelle, par des centrales à charbon hyper-polluantes.

    Enfin, par une pression intense à Bruxelles, les verts ont réussi à faire interdire, et cela seulement en Europe, la fabrication de voitures à énergie fossile à partir de 2035, y compris pour les modèles hybrides rechargeables.

    C’est une telle folie et une telle inconscience que même notre commissaire européen Thierry Breton freine des quatre fers pour rallonger le délai.

    Mais le mal est fait : nos deux constructeurs français, tout en dénonçant cette décision, ont déjà acté cet arrêt et ont transféré leur conception et leur production de moteurs thermiques aux États-Unis, sans possibilité de revenir en arrière.

    Il ne manquait donc plus que ça pour finir de massacrer le peu d’industrie qui nous reste et faire le jeu des Chinois qui n’en demandaient pas tant.

    Alors virons tous ces pseudo-écologistes, dont le seul but est de détruire notre pays, et remplaçons-les par des véritables techniciens de l’écologie qui sauront préserver notre planète en tenant compte des impératifs d’efficacité et de faisabilité dans des délais réfléchis compatibles avec notre économie.

    Il est urgent de faire ce choix et de mettre à la retraite l’équipe du GIEC qui, jusqu’à maintenant, n’a fait que des prévisions qui se sont révélées totalement fausses.

    Raisonnons un peu car, oui, dans la longue histoire climatique de notre Terre, il y a eu des fluctuations de températures du même ordre qu’aujourd’hui, et même souvent plus violentes. La preuve en est que nos comparaisons se font en record depuis une année X, ce qui veut bien dire qu’il y a eu pire avant cette même année.

    C’est peut-être une folie de ne rien faire, mais la pire des folies est de faire n’importe quoi !

     

    Auteur

     

    Source : les4verites

  • Quelle(s) catastrophe(s) nous prépare encore Zelensky ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    par Alexandre Shirokorad.

    Les forces armées ukrainiennes bombardent la centrale hydroélectrique de Kakhovska depuis six mois, mais les tirs se sont fortement intensifiés au cours de la seconde moitié du mois d’octobre. Ils visent à la fois le barrage lui-même, ses écluses et les installations nécessaires à son fonctionnement.

    Le barrage peut être détruit non seulement par des missiles ukrainiens, mais aussi par des mines. Ce n’est pas sans raison que les Britanniques forment depuis de nombreux mois des saboteurs sous-marins ukrainiens. Un drone de surface sous la forme d’une vedette rapide chargée d’explosifs pourrait également être utilisé pour faire sauter le barrage.

    Qu’est-ce que la centrale hydroélectrique de Kakhovskaya et le réservoir de Kakhovka ? De 1928 à 1960, le gouvernement de l’URSS a transformé le Dniepr en une cascade de réservoirs – Kiev, Kaniv, Kremenchug, Kamenskoye (Dneprodzerzhinsk), Dniepr et Kakhovka – avec une surface d’eau totale de 6950 km² et un volume total de 43,8 km³, ce qui représente respectivement 94,7 et 90,8% de tous les grands réservoirs d’Ukraine.

    Le Dniepr a une longueur totale de 2301 km, dont 981 km traversent l’Ukraine. Sur ces derniers, seuls environ 100 km restent à l’état naturel.

    Et maintenant l’AFU est sur le point de faire sauter le barrage. Que se passera-t-il alors ?

    À l’époque soviétique, des spécialistes de la protection civile et d’Hydroproject ont analysé les conséquences de l’effondrement du barrage réservoir de Kakhovka. Les scientifiques ont calculé que des millions de tonnes d’eau tomberaient dans le Dniepr à une vitesse de 24,5 kilomètres par heure. En quelques heures, l’eau atteindra 4,8 mètres dans certains districts de Kherson. Les inondations dureront plus de trois jours.

    L’objectif des forces armées ukrainiennes est de causer des dommages inacceptables aux troupes russes situées de part et d’autre du Dniepr en aval du barrage de Kakhovka, ainsi que d’arrêter l’approvisionnement en eau du réservoir de Kakhovka vers le canal de Crimée. Les experts ont estimé que dans ce cas, il serait possible de rétablir l’approvisionnement en eau de la péninsule au plus tôt dans 6-7 ans.

    Priver d’eau la Crimée

    Naturellement, Kiev attribuera l’explosion du barrage de Kakhovka à la Russie : « Les masochistes russes sont devenus complètement fous ! Ils ont fait sauter le pont de Crimée et ont ensuite privé la Crimée d’eau ».

    Kiev ne se soucie pas du fait que, outre le canal de Crimée, un certain nombre de canaux alimentant la région de Dnipropetrovsk et Kryvyi Rih cesseront également de fonctionner.

    Le sud de l’Ukraine est très dépendant de l’irrigation par les eaux du réservoir de Kakhovka. L’agriculture dans la région aride en vit. Le canal Kakhovka, long de 130 kilomètres, prend sa source dans le réservoir et constitue un élément clé du système d’irrigation dans le sud de l’oblast de Kherson. Des centaines de milliers de personnes ressentiront les effets négatifs de son assèchement dès l’automne prochain, lorsqu’elles perdront leurs récoltes.

    Une fois le réservoir vidé, tous les débarcadères, les prises d’eau, les canalisations, etc. se trouveront loin sur la terre ferme. Cela pourrait entraîner non seulement des pertes matérielles mais aussi des épidémies.

    Désertification et catastrophe écologique

    Que verrons-nous lorsque le réservoir de Kakhovka sera vidé ? Un lieu de paradis ? Une grande prairie ? Hélas, nous verrons plutôt un gigantesque marécage boueux de 100 km de long et jusqu’à 25 km de large.

    Avec (…) la centrale hydroélectrique de Kakhovka, il y a la pisciculture, le transport maritime, etc. Et lorsque l’eau s’écoulera complètement, la boue s’assèchera et le fond du réservoir deviendra un désert de radionucléides déposés là depuis l’accident de Tchernobyl. Les tempêtes de poussière vont répandre ces retombées radioactives à travers l’Ukraine. La restauration de la Grande Prairie (Veliki Lug) se fera, au mieux, dans cent ans.

    Les attaques massives de missiles sur le barrage de Kakhovka font de sa destruction une possibilité réelle. Nous notons que la partie ukrainienne libère désormais activement l’eau des réservoirs de Kiev et de Kanev en amont, expliquant que les centrales hydroélectriques qui s’y trouvent doivent travailler davantage pour assurer le fonctionnement du système énergétique.

    Le raisonnement est largement tiré par les cheveux. En fait, Kiev veut augmenter le niveau d’eau dans le réservoir de Kakhovka afin de renforcer l’effet de la destruction du barrage de Kakhovka.

    Saboter le pipeline d’ammoniac

    Plusieurs médias ont publié des informations selon lesquelles les forces armées ukrainiennes prévoient de saboter le pipeline d’ammoniac Tolyatti-Odessa avant de détruire le barrage.

    Le pipeline d’ammoniac a été construit en 1979-1981. Il est long de 2417 km, dont 1021 km traversent l’Ukraine. Les propriétaires du pipeline d’ammoniac sont Dmitriy Mazepin et Arkady Rotenberg.

    Une section d’un kilomètre du pipeline d’ammoniac contient 50 tonnes d’ammoniac. Une explosion de ce pipeline pourrait entraîner des centaines de morts. Pourquoi Kiev ferait-il sauter un tuyau dans sa zone arrière ? Pour la même raison – attirer l’attention de l’Occident et donner l’impression que l’explosion du pipeline d’ammoniac et du barrage était l’œuvre de la Russie.

    Après ces deux désastres, Zelensky exigera des États-Unis et de l’OTAN une frappe immédiate contre les troupes russes.

    Kiev est à court de temps. Le 8 novembre, des élections auront lieu aux États-Unis. Pendant ce temps, Zelensky doit soit prendre Kherson, soit provoquer une catastrophe majeure.

    extraits de l’article SVPressa

    traduction de Marianne Dunlop via Histoire et Société

  • Sur LCI : « Il est évident que l’armée ukrainienne est en difficulté. C’est totalement catastrophique ! »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2022

    Alors que les journalistes persistaient à vanter la combativité de l’Ukraine et ses avancées contre la Russie dans le style « méthode Coué », d’autres sont depuis le début de la guerre beaucoup plus sérieux tel Xavier Moreau (Voir son dernier bulletin, N°86). Invitée sur le plateau de LCI ce 10 juin 2022, la journaliste Galia Ackerman reconnaît une défaite :

    « Il est évident que l’armée ukrainienne est en difficulté. L’Ukraine perd tous les jours entre 60 et 100 d’hommes tués et jusqu’à 500 blessés. C’est totalement catastrophique ! » La journaliste de LCI, Amélie Carrouer, en rajoute une couche face à l’évidence : « Est-ce que c’est tenable stratégiquement ? Est-ce que ces chiffres-là ne justifient pas pour l’état-major ukrainien un retrait des troupes ? »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1535435079740186625

     

    Source