Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2023
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Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2023
Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022
Hier encore dans Le Télégramme, un media de la zone ouest de la Bretagne, journal peu avare de propagande pour toutes les causes à la mode : écologie et éoliennes, immigration, migrants, LGBTQ+, Poutine, Macron… nous assénait ses "vérités".
La chère Agnès Pannier-Rinacher, la ministre de la Transition énergétique clamait haut et fort, c'est dans le journal : « Le renouvelable doit devenir un réflexe ! »
L'autre soir, dans son émission L'heure des Pro, Pascal Praud s'était gentiment moqué des "écolos" qui veulent remplacer l'électricité nucléaire par leurs miraculeuses énergies renouvelables. Pensez énergie éolienne et solaire. Et là, notre Pascal a annoncé quelques chiffres de la production électriques, en pourcentages par types de centrales, nucléaire, gaz, fioul, éolienne...
Et ces données, il les trouvait sur un site internet tout ce qu'il a d'officiel sur lequel, en toute transparence, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité français, publie en temps réel les données techniques en valeurs absolues et en pourcentages.
Et, en bon pro, il précisait l'adresse de ce site RTE :
En toute transparence, RTE précise dans la rubrique "Suivre et comprendre la production d’électricité en France" : cliquez ici
Le mix énergétique de l’électricité française est publié en temps réel grâce aux données issues de télémesures et d’estimations. Il est également disponible sous forme d’historiques.
Ce graphique vous présente la production d’électricité par filière (nucléaire, gaz, charbon, fioul, hydraulique, éolien, solaire et bioénergies) complétée des rubriques « pompage hydraulique » et « solde des imports/exports avec l’étranger ».
Un peu curieux, je suis allé explorer ce site et je n'ai pas été déçu ! Ah, pour ces pauvres écolos quelle claque ! Si ces rêveurs appliquaient pour eux-mêmes ce qu'il préconisent pour tous nos concitoyens, nous les retrouverions grelottant de froid dans leurs grottes préhistoriques ! Peut-être en serions-nous débarrassés...
Voyez un peu… En pleine période actuelle de froid précoce, comme illustré par l'entête ci-dessus, nous constatons la répartition suivante de la production d’électricité.
Résultats du samedi 17 décembre 2022, à 15 h 45. :
Fioul 0%
Bioénergies 1 %
Charbon 3%
Éolien 3%
Solaire 3%
Hydraulique 10%
Gaz 13%
Nucléaire 66%
Holà ! Les anti-nucléaires ! Vous avez bien lu : le nucléaire représente donc les 2 tiers de toute la production d'électricité en France métropolitaine ! Et Nucléaire + Gaz + Hydraulique = 89 % Record battu !
Alors, les écolos, votre propagande, allez l'accrocher sur un crochet d'ardoise, dans la cabane au fond du jardin, comme au bon vieux temps ! C'est très écolo !
Source : synthesenationale
Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2022
Selon l’entrepreneur et commentateur Éric Verhaeghe, dans Valeurs Actuelles :
« La lutte contre la voiture, c’est la préparation à la densification urbaine, qui est le grand projet des écologistes. Moins de voiture, moins de gens libres de faire des trajets de 10 kilomètres, c’est plus de concentration. Cela rejoint les propos de l’ancienne ministre, Emmanuelle Wargon, sur le pavillon individuel. Il faut tout faire pour que ce qui est individuel se réduise et disparaisse. Il faut donc diaboliser la petite maison, l’automobile… Mais comme il faut que ce soit écolo-macroniste, on n’interdit pas ; il faut simplement que ça coûte très cher aux résistants… »
Et c’est exactement ce qui va se passer. Véhicules thermiques interdits à la vente en 2035, multiplication des zones à faible émission (ZFE), tarifs de péages indexés sur l’inflation, coût du carburant à un niveau astronomique. Pierre Chasseray, délégué général de l’association 40 Millions d’automobilistes, prévient :
« Tout ceci est une folie. Une folie politique voulue par une minorité de décroissancistes qui ne veut pas comprendre que pour les Français, qui ne sont pas tous parisiens, la voiture est le moyen de déplacement le plus facile, le plus économique, le plus évident. Un jeune qui passe le permis n’a pas les moyens de se payer une électrique. Plébisciter ces véhicules-là, c’est une mystification, une façon détournée de le priver de voiture. »
Notre époque qui n’a que la mobilité à la bouche va induire une récession de la mobilité. L’automobile va devenir un luxe.
« Une certaine catégorie de Français va clairement se trouver de facto privée de voiture. Soit vous aurez les moyens et vous pourrez vous déplacer, voir vos proches, voyager, soit vous resterez chez vous, déplacements contrôlés, jours autorisés, vacances encadrées. »
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2021
Malgré l’interdiction et le rejet de deux Français sur trois, la gauche et les écologistes persistent avec l’écriture inclusive*.
Il semble qu’on n’en finira jamais avec les révolutionnaires et la dictature des minorités qui ont toujours cette ambition de casser, détruire le passé, jusqu’à notre magnifique langue.
Avant, ils coupaient les têtes qui dépassaient ; maintenant, ils veulent rallonger les mots. Avec des virgules, des traits d’union, des « e » et des points, pour donner de la place à la femme. Vous ne voyez pas ? Moi non plus ! C’est impossible à expliquer. Mais plus c’est gros, mieux ça passe et plus c’est difficile de contredire. Molière serait mort de rire !
Tout au long de notre longue histoire, les hommes auraient profité des femmes jusque dans l’écriture et la formation des mots. Alors, il faudrait changer ces mots pour que, dès le début de la scolarité, puisse sortir de la tête des enfants l’idée de supériorité de l’homme sur la femme. Sans rire, on entend cet argument dans les grands médias. Car ces gens-là, on les invite dans les studios, on les écoute.
Que ces destructeurs expliquent donc à nos enfants pourquoi il y a autant de noms de pays au féminin : France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, etc. Presque toute l’Europe est féminine, sauf quatre petits masculins sur vingt-huit États : le Danemark, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal. Est-ce que l’enfant est influencé par toute cette puissance féminine ?
Pourquoi les termes propres à la femme (le sein, le vagin… ) sont-ils masculins, mais sont féminins la police, la force, la barbe, la virilité… Sinon parce que le masculin et le féminin d’une langue n’ont pas de rapport avec l’humain, homme ou femme. Et ça, l’enfant le voit bien. Tous les linguistes et experts en écriture, hommes ou femmes, ont beau le répéter, rien n’y fait. Oui, mais là, nous sommes dans les Précieuses ridicules.
Pour l’Académie française – si on veut bien avoir le respect d’écouter les vrais spécialistes -, les termes désignant des fonctions et des grades ne diffèrent pas, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. Madame peut être président, professeur, auteur, chirurgien, docteur. C’est ça, la vraie égalité. On n’a pas besoin de savoir si le professeur ou l’auteur est un homme ou une femme, puisqu’ils ont les mêmes compétences.
Que l’on nous explique aussi comment donc ces hommes si supérieurs ont vénéré, admiré et obéi à une quantité de femmes dès le Moyen Âge : citons Bathilde, femme de Clovis II, celle qui déjà faisait interdire l’esclavage ; Aliénor d’Aquitaine, reine de France, puis d’Angleterre, une des plus grandes souveraines d’Europe, elle a influencé le cours de l’Histoire et de la culture de ces deux pays bien plus que nombre de rois ; Blanche de Castille, mère de Saint Louis, une grande femme politique et une mère attentionnée ; Anne de Bretagne, dont nous profitons encore des autoroutes gratuites ; la reine Margot : femme de lettres reconnue, esprit éclairé, mécène extrêmement généreuse, elle joua un rôle considérable dans la vie culturelle de la cour. Tant d’autres femmes ont influencé notre Histoire et notre culture par l’ascendant qu’elles ont toujours eu sur les hommes. Madame de Pompadour ne fut-elle pas la grande conseillère du roi Louis XV ? Et, encore aujourd’hui, cette reine Élisabeth d’Angleterre dont le mari devait marcher trois pas derrière elle.
Il est vrai que depuis la Révolution et la naissance de la gauche, grand paradoxe, on a vu très peu de femmes exercer un pouvoir en France, pour ne pas dire aucune. Le monde est ainsi fait. Humbles constructeurs, d’un côté, ceux qui ont consacré leur vie à notre grand pays et façonné sa langue, enviés de tous. Et de l’autre, les destructeurs bruyants qui n’ont rien à donner. Grandes gueules mais petits c…
* Selon un sondage IFOP-Atlantico de 2017.