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À deux jours de l’été, il fait beau ! Quelle surprise ! Juin est chaud ? Sacrilège ! Le soleil tape ? Horreur !

 

 

Peut être une image de horizon et nuage

Il suffit de trois jours de soleil et d’un thermomètre qui grimpe timidement au-dessus des 30°C pour que la grande messe des fanatiques du climat reprenne. Les prêtres verts montent en chaire, les lèvres tremblantes, les yeux révulsés, annonçant l’Apocalypse climatique. À deux jours de l’été, il fait beau ! Quelle surprise ! Juin est chaud ? Sacrilège ! Le soleil tape ? Horreur !
Ces illuminés nous parlent de « réchauffement global » comme on brandit un totem. Chaque vague de chaleur devient un châtiment divin, chaque période sans pluie une punition pour nos péchés carbonés. Et comme toujours, ils réclament plus de lois, plus d’interdits, plus de contrôle. Les restrictions d’eau – leur nouvelle obsession - ne vont sans doute pas tarder. Peu importe que les nappes phréatiques soient pleines à ras bord. La réalité n’a aucune importance face à la ferveur idéologique.
Ces gens ne veulent pas protéger la nature, ils veulent dominer la société. Leur écologie n’est qu’un masque : derrière les feuilles vertes se cache le poing serré. Ils rêvent d’un monde sans voitures, sans avions, sans viande – et sans liberté. Ce sont des ayatollahs en trottinette, des khmers verts en croisade.
Il est temps de les renvoyer à leurs cabanes en bois et à leurs toilettes sèches ; et qu'ils nous laissent respirer – au soleil, enfin.
 
Thomas Joly - Président du Parti de la France

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