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écolos - Page 2

  • Malgré le bonnet d’âne, les têtus de l’écriture illisible persistent…

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2021

    Malgré l’interdiction et le rejet de deux Français sur trois, la gauche et les écologistes persistent avec l’*.

    Il semble qu’on n’en finira jamais avec les révolutionnaires et la dictature des minorités qui ont toujours cette ambition de casser, détruire le passé, jusqu’à notre magnifique langue.

    Avant, ils coupaient les têtes qui dépassaient ; maintenant, ils veulent rallonger les mots. Avec des virgules, des traits d’union, des « e » et des points, pour donner de la place à la femme. Vous ne voyez pas ? Moi non plus ! C’est impossible à expliquer. Mais plus c’est gros, mieux ça passe et plus c’est difficile de contredire. Molière serait  de rire !

    Tout au long de notre longue , les hommes auraient profité des femmes jusque dans l’écriture et la formation des mots. Alors, il faudrait changer ces mots pour que, dès le début de la scolarité, puisse sortir de la tête des enfants l’idée de supériorité de l’homme sur la femme. Sans rire, on entend cet argument dans les grands médias. Car ces gens-là, on les invite dans les studios, on les écoute.

    Que ces destructeurs expliquent donc à nos enfants pourquoi il y a autant de noms de pays au féminin : France, Angleterre, , Espagne, Italie, etc. Presque toute l’ est féminine, sauf quatre petits masculins sur vingt-huit États : le Danemark, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal. Est-ce que l’enfant est influencé par toute cette puissance féminine ?

    Pourquoi les termes propres à la femme (le sein, le vagin… ) sont-ils masculins, mais sont féminins la , la force, la barbe, la virilité… Sinon parce que le masculin et le féminin d’une langue n’ont pas de rapport avec l’humain, homme ou femme. Et ça, l’enfant le voit bien. Tous les linguistes et experts en écriture, hommes ou femmes, ont beau le répéter, rien n’y fait. Oui, mais là, nous sommes dans les Précieuses ridicules.

    Pour l’Académie française – si on veut bien avoir le respect d’écouter les vrais spécialistes -, les termes désignant des fonctions et des grades ne diffèrent pas, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. Madame peut être président, professeur, auteur, chirurgien, docteur. C’est ça, la vraie égalité. On n’a pas besoin de savoir si le professeur ou l’auteur est un homme ou une femme, puisqu’ils ont les mêmes compétences.

    Que l’on nous explique aussi comment donc ces hommes si supérieurs ont vénéré, admiré et obéi à une quantité de femmes dès le Moyen Âge : citons Bathilde, femme de Clovis II, celle qui déjà faisait interdire l’esclavage ; Aliénor d’Aquitaine, reine de France, puis d’Angleterre, une des plus grandes souveraines d’Europe, elle a influencé le cours de l’Histoire et de la culture de ces deux pays bien plus que nombre de rois ; Blanche de Castille, mère de Saint Louis, une grande femme politique et une mère attentionnée ; Anne de Bretagne, dont nous profitons encore des autoroutes gratuites ; la reine Margot : femme de lettres reconnue, esprit éclairé, mécène extrêmement généreuse, elle joua un rôle considérable dans la vie culturelle de la cour. Tant d’autres femmes ont influencé notre Histoire et notre culture par l’ascendant qu’elles ont toujours eu sur les hommes. Madame de Pompadour ne fut-elle pas la grande conseillère du roi Louis XV ? Et, encore aujourd’hui, cette reine Élisabeth d’Angleterre dont le mari devait marcher trois pas derrière elle.

    Il est vrai que depuis la Révolution et la naissance de la gauche, grand paradoxe, on a vu très peu de femmes exercer un pouvoir en France, pour ne pas dire aucune.  est ainsi fait. Humbles constructeurs, d’un côté, ceux qui ont consacré leur vie à notre grand pays et façonné sa langue, enviés de tous. Et de l’autre, les destructeurs bruyants qui n’ont rien à donner. Grandes gueules mais petits c…

     

    * Selon un sondage IFOP-Atlantico de 2017.

     

    Isidore

    Chroniqueur
  • Macron, le G7 et les écolos

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2019

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    Le billet de Patrick Parment

    On ne peut nier qu’Emmanuel Macron a réussi « son » G7. Un G7 qui s’est joué à plusieurs niveaux. Sur le fond, il s’agissait rien moins que de contrer les influences planétaires chinoises dans les domaines tant politique qu’économique et de réaffirmer la primauté de l’Occident et de son modèle économique, le libre-échangisme. Pour cette raison majeure, Donald Trump n’avait aucune raison de saboter ce G7 comme il est coutumier dans ce genre de raout. Emmanuel Macron avait préparé le terrain lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Brégançon, afin de ramener le tsar russe dans le giron occidental. Car, suite aux différents embargos qui touchent son pays, Poutine avait enclenché une série d’entretiens avec Pékin. Autre preuve, la présence du premier ministre indien Narendra Modi, plutôt proche des Russes, et qui incarne la résistance aux visées chinoises en Asie.

    Tout était donc réuni pour satisfaire un Donal Trump, symbole d’un monde régi par le libre-échange et dont l’Amérique est de fer de lance. Macron, ayant fait preuve de sa vassalité, Donald Trump pouvait repartir satisfait de ce G7.

    D’autant que Trump se fout complètement de la querelle déclenchée par Macron à l’encontre du président brésilien, Jair Bolsonaro. Cette vindicte subite est destinée à la politique intérieure française et à la montée, réelle ou factice (?), des écolos en vue des prochaines élections municipales. Car Macron veut également phagocyter cet électorat qui manque à son palmarès.

    Rappelons les faits. Macron a violemment mis en cause la politique du président Jair Bolsonaro, au sujet des feux de la forêt amazonienne. Bref, Macron s’en prend, au-delà cette forêt qui serait l’un des grands poumons de la planète, au leader populiste, limite facho, aux yeux de notre président. Macron se pose ainsi en défenseur de la démocratie et mieux encore, de la planète. Il va même jusqu’à déclarer vouloir abandonner les accords passés entre l’Europe et le Mercosur – ce qui, entre nous soit dit, serait une excellente chose.

    Sauf que ce que vise Macron, c’est bel et bien l’électorat écolo. Car sur le fond, l’affaire amazonienne est marginale. Le vrai poumon de la planète ce sont les océans et non cette forêt qui n’entre dans le processus qu’à hauteur de 5%. D’autre part, les feux les plus importants ne sont pas en Amérique latine mais en Afrique. Enfin, le Brésil n’est pas le seul concerné puisque la forêt amazonienne concerne tout autant les pays limitrophes du Brésil. Jair Bolsonaro n’a pas tort quand il dit que « l’Amazonie sera sauvée par les Brésiliens et non par la rhétorique hystérique et mensongère des médias aux ordres, des bureaucrates transnationaux et des ONG ».

     

    Source : synthesenationale

  • Les faux écolos et le prix de l’électricité

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2019

    POSTÉ LE 23 JUILLET , 2019

    La hausse du prix de l’électricité pose des problèmes en France, alors que, durant des années, nous étions les meilleurs (et de loin) en Europe avec environ 20% d’électricité hydraulique et 80% de nucléaire.

    L’explication de cette perte de compétitivité subite est simple à comprendre.

    Il suffirait de dire la vérité – toute la vérité – aux Français sur les coûts de production de cette énergie noble, les règles imposées à EDF par l’État patron, avant, bien sûr, les inévitables prélèvements qu’il n’oublie pas de faire.
    Ce prix répond à des lois mathématiques intangibles et il en sera de même dans l’avenir.

    Je ne prends donc pas de risques en vous annonçant dès aujourd’hui que, dans quelques années, le prix conventionné aura doublé.

    Ceci est lié, à la virgule près, à la politique actuelle impulsée par nos lobbies écologistes fort dynamiques que sont notamment WWF et Greenpeace.

    Et la situation est partie pour s’aggraver avec le «verdissement» qui s’annonce!

    En effet, les coûts de production de l’électricité sont variables et ressortent des chiffres ci-après:
    – Éolien terrestre: 80 à 120€ le MWH,
    – Éolien marin: 180 à 400,
    – Voltaïque: 120 à 150,
    – Nucléaire: 40,
    – Hydraulique: 20 à 40,
    – Conversion charbon: 40 à 60 (investissements faibles),
    – Conversion gaz: 60 à 80 (investissements faibles).

    La biomasse est, par ailleurs, l’énergie renouvelable par excellence, utilisée depuis des millénaires, mais elle est mal vue par nos faux écologistes qui tiennent le pouvoir.

    C’est pourquoi la France n’y a fait que peu d’investissements, alors que notre potentiel est énorme, avec, en plus, des retombées largement positives sur nos filières forestières malheureusement hautement déficitaires.

    Oui, déficitaires parce que cette nouvelle écologie est avant tout anti-productiviste, hostile à tout de ce qui est utile à l’homme et à sa civilisation.

    Le comprendrons-nous davantage en payant nos factures d’électricité de plus en plus majorées pour faire plaisir à Monsieur Pascal Canfin, conseiller écolo de la Macronie qui va nous ruiner?

    Si vous écoutez la télévision ou lisez les journaux d’information:

    – Vous ne saurez pas que le prix du MWH a un coût variable et que l’échelle des valeurs va de 1 à 3 ou 4.
    – Par contre, vous saurez qu’il y a différents opérateurs et que c’est à vous de faire attention car vous pouvez gagner ou perdre ¼ de % (cela, on nous l’explique bien, merci).
    – Vous découvrirez que le mensonge parlé ou écrit comme les non-dits sont officiellement pratiqués par nos médias et nos politiques. Et, là, vous pouvez perdre des milliers d’euros en dormant.

    Quant à nos grands techniciens qui viennent au secours des médias et des politiques, méfiez-vous car, souvent, il faut en retenir le contraire de ce qui est dit.

    Alors, voici mes conseils de vieux retardé (90 ans) qui a connu le progrès sain et qui découvre maintenant ce que décadence veut dire:
    – Ayez une totale confiance dans l’écologie de nos ancêtres qui va du néolithique à ces dernières années.
    – En revanche, méfiez-vous de l’écologie moderne qui est parfois verte en apparence, pour cacher du rouge dissimulé, mais jamais vraiment blanche comme les légumes bio d’autrefois.
    – Et restez attentifs face à l’apparition de l’intelligence artificielle, car elle peut faire de nous de parfaits idiots.

     

    Source : les4verites