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champs élysées

  • La racaille descend dans la rue. Elle lui appartient.

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2020

    20655953lpw-20655948-article-jpg_7300567.jpgL'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    A la surprise générale des autorités de la République, la défaite du PSG face au Bayern de Munich n'a pas détourné les racailles du chemin des Champs-Elysées, ancienne plus belle avenue du monde du temps où Paris était la ville lumière, devenue le terrain de jeux favori des hordes barbares qui peuplent les cités arrachées à la France.
     
    Nous l'écrivions dimanche : victoire, défaite, commémoration populaire ou manifestation, toute occasion est bonne à prendre pour brûler, casser, voler, agresser, mettre à sac.
     
    Paris, on le sait, est une fête. Pas de belle fête sans pyrotechnie: les voitures garées sont faites pour y pourvoir. Pas de fête sans sensualité : les passantes sont là pour en recevoir l'hommage sauvage. Pas de fête sans relations humaines et rapprochement physique : les forces de l'ordre ont pour mission de les permettre le plus passivement possible et de subir. Pas de fête sans verre cassé : les vitrines éclatées des commerces vandalisés et pour certains pillés en témoignent.
     
    3 000 policiers avaient été mobilisés par le ministre de l'Intérieur et le préfet. Auraient-ils été 30 000 que rien n'y aurait fait. Sur les Champs-Elysées désormais comme partout ailleurs à Paris, à Marseille, Nantes, Rennes, Lille, Bordeaux, Toulouse, Nice, et toutes les villes de France, la rue appartient à ceux qui y descendent. Ceux là ne foulent pas la boue sombre et se foutent des dogmes que l'on abat. Ce qu'ils foulent aux pieds c'est la France et les Français, ce qu'ils veulent abattre c'est notre civilisation et l'ordre qui en était jadis le rempart. Et si drapeaux il y a, ce n'est pas ceux des combattants mais ceux de l'étranger.