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  • Bardella influencé par Laurent Alexandre et Yuval Noah Harari

    Publié par Guy de Laferrière le 28 février 2024

    Le RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella en tête, à la marcge contre l'antisémitisme avec un drapeau israélien

    Dans les coulisses, tout le monde le sait. Parmi les électeurs, beaucoup moins en ont conscience. Jordan Bardella, président du Rassemblement National et tête de liste pour les élections européennes, est de plus en plus proche de Laurent Alexandre qui est devenu depuis plus d’un an l’un de ses conseillers de l’ombre. Autant dire que l’essor de l’Intelligence Artificielle, le transhumanisme, le puçage et de toutes les folies que promeut le richissime chirurgien-urologue Laurent Alexandre ont désormais le soutien du RN.

    Le RN, porte-voix du projet transhumaniste

    Laurent Alexandre ne s’en cache pas. Egalement proche d’Emmanuel Macron, il avoue sans peine déjeuner régulièrement avec Jordan Bardella et ne manque pas une occasion de le féliciter sur X/Twitter. “Il devrait donner des cours d’IA au gouvernement”, écrivait-il en mars 2023.

     

    Le 19 juin dernier, à Paris, devant un public composé de députés européens, d’essayistes et d’entrepreneurs, Jordan Bardella faisait l’éloge de l’intelligence artificielle (IA), condamnant l’excès de régulation en la matière.

    Jordan Bardella explique aussi à ses proches avoir été fasciné par le livre Homo deus. Une brève histoire du futur (Albin Michel, 2017) de l’historien mondialiste israélien Yuval Noah Harari, très proche de Klaus Schwab, qui prétend que l’humanité est à la croisée des chemins, le futur passant soit par l’homme « augmenté » par la technologie soit par une prise de pouvoir par les algorithmes spécialisés en IA.

    Il vaut mieux en prendre bien conscience maintenant. Jordan Bardella, soutenu dans ses choix par Marine Le Pen, est donc au mieux avec le projet mondialiste du Forum économique mondial de Davos et le totalitarisme 2.0 qui se profile à l’horizon.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Des robots armés pour la police ? On en discute jusqu’à Davos…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos s’achève ce vendredi. Parmi les nombreux thèmes abordés, il a beaucoup été question de l’intelligence artificielle et de la place des nouvelles technologies connectées dans le monde de demain. Le Forum économique mondial, qui compte en ses rangs de nombreux patrons de sociétés de ce secteur, se montre naturellement très favorable à l’essor de l’intelligence artificielle, du tout connecté et du transhumanisme qui en est un aboutissement. Pour faire bonne figure, les débats et discours du Forum économique mondial sur le sujet s’accompagnent de quelques mots sur les aspects éthiques liés au développement de l’intelligence artificielle. Ainsi, il a rapidement été rappelé qu’en novembre 2022 la police de San Francisco se préparait à incorporer des robots maniant des armes potentiellement mortelles. Devant le tollé suscité parmi la population, la ville de San Francisco a renoncé à ses robots policiers armés s’est-on contenté de noter à Davos.

    Le projet de la ville de San Francisco et le débat qu’il a suscité sont très révélateurs et méritent qu’on s’y attarde. La question posée est la suivante : peut-on laisser à des robots travaillant aux côtés des forces de l’ordre le soin de décider sur base d’algorithmes d’une intelligence artificielle l’utilisation d’une arme à feu ?

    L’idée que les robots soient légalement autorisés à tuer a entraîné une importante controverse il y a quelques semaines qu’il faut résumer aux lecteurs de Médias Presse Info.

    C’est en 2016 qu’un robot a été utilisé pour la première fois par les forces de l’ordre en tant que force meurtrière aux États-Unis. Le département de police de Dallas a utilisé un robot de déminage armé d’un engin explosif pour tuer un suspect qui avait tué cinq policiers.

    Paul Scharre, auteur du livre Army Of None: Autonomous Weapons And The Future Of War, a souligné la différence entre l’utilisation de robots armés par les forces militaires ou par les forces de police.  « Pour les militaires, ils sont utilisés au combat contre un ennemi et le but est de tuer l’ennemi. Ce n’est pas et ne devrait pas être le but des forces de police. Ils sont là pour protéger les citoyens, et il peut y avoir des situations où ils doivent utiliser une force mortelle, mais cela devrait être absolument un dernier recours. »

    « Une fois que vous avez autorisé ce type d’utilisation, il sera très difficile de revenir en arrière. »,  dit-il.

    Ryan Calo, spécialiste de la robotique, considère que l’idée de « robots tueurs » est une rampe de lancement pour une discussion plus large sur notre relation à la technologie et à l’Intelligence Artificielle. Et il se demande ce qui se passera si la technologie commet un « bug » et qu’un robot tue ou blesse accidentellement une personne. « Il deviendra très difficile de démêler qui est responsable. Est-ce que ce sont les personnes qui utilisent la technologie ? Est-ce que ce sont les personnes qui conçoivent la technologie ?« 

    Ryan Calo soulève une question supplémentaire : « Nous devons nous demander si nous voulons une société où la police tue des gens avec des robots ? C’est profondément déshumanisant. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Les services de prostituées pour agrémenter les soirées de participants au Forum économique mondial de Davos

    Publié par Guy de Laferrière le 17 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos a débuté ce lundi. En marge de l’ordre du jour de ce grand rassemblement mondialiste, quelques médias suisses signalent que les services de prostituées de luxe sont très demandés cette semaine à Davos.

    Durant cinq jours, des chefs d’Etats et de gouvernements, des patrons des plus grandes multinationales, des magnats de la presse, des directeurs de services de renseignements et des dirigeants d’organismes dits de la société civile se rendront à Davos pour le Forum économique mondial (Wef). Mais en marge des débats et réunions, on apprend sans trop de surprise que des rencontres d’un autre type seront organisées. Quelques médias suisses signalent que les services d’escorte du centre érotique Villa-Velvet d’Oftringen AG sont particulièrement demandés pendant la semaine du WEF. Le gérant de cette agence a prévu quatre filles pour l’occasion. « Dès qu’un client réserve une de nos dames pour au moins quatre heures, elle le rejoint ». Quatre heures coûtent au client un peu moins de 1500 francs suisses, une nuit jusqu’à 2550 francs. D’autres agences d’escortes se partagent le juteux marché.

    L’agence d’Argovie avait déjà envoyé des escortes à Davos lors de précédentes éditions du Forum économique mondiale. « Nos escortes ont déjà été amenées à Davos par des diplomates et des chefs d’entreprise. Certains réservent pour eux-mêmes et leurs employés, pour célébrer dans la suite de l’hôtel« .

    Selon le directeur, les services demandés comprennent l’accompagnement à un dîner ou à une fête, ainsi que des services sexuels subséquents. « Cependant, les clients sont plus exigeants que notre clientèle habituelle. Les femmes au physique de mannequin et au look top sont particulièrement recherchées. »

    Selon Christa Ammann, directrice du centre de conseil pour le travail du sexe Xenia, lors des grands événements où les visiteurs restent plusieurs jours au même endroit, l’offre de services sexuels est de plus en plus large. « Le WEF entre dans la catégorie de ces événements. »

    Aucune enquête n’étant menée, la police cantonale des Grisons n’est pas en mesure de fournir des informations sur le nombre de personnes impliquées dans les services d’escorte et le commerce du sexe qui se rendent à Davos pendant le WEF.

     

    Source : medias-presse.info

  • Zelensky annonce qu’il envisage de rejoindre le Forum économique mondial de Davos, de signer de nouveaux prêts d’après-guerre avec BlackRock

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

     

    « Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », indique le post.

    Mercredi, il a été révélé que le gouvernement du président ukrainien Volodymyr Zelensky se prépare à participer au Forum économique mondial (FEM) de Davos en janvier, et que le dirigeant ukrainien est en pourparlers avec Larry Fink, PDG de BlackRock, concernant les efforts de reconstruction après la guerre avec la Russie.

    Selon Bloomberg, M. Zelensky a déclaré lors d’un discours à la nation en soirée : « Les spécialistes de cette société aident déjà l’Ukraine à structurer le fonds pour la reconstruction de notre État. »

    Zelensky aurait eu un appel vidéo avec Fink en septembre. Il n’a pas révélé s’il assisterait au FEM en personne ou virtuellement.

    Selon un message publié mercredi sur le site officiel du président ukrainien, M. Zelensky a déclaré : « Conformément aux accords préliminaires conclus au début de l’année entre le chef de l’État et Larry Fink, l’équipe de BlackRock travaille depuis plusieurs mois sur un projet visant à conseiller le gouvernement ukrainien sur la manière de structurer les fonds de reconstruction du pays. »

    « Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », ajoute le post.

    « Au cours de la conversation, il a été souligné que certains dirigeants de BlackRock prévoient de se rendre en Ukraine au cours de la nouvelle année », poursuit le post. « Le président a remercié Larry Fink pour le travail de l’équipe professionnelle que BlackRock a chargée de conseiller sur la structuration des projets de reconstruction. »

    Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche

  • Les sombres origines de la grande réinitialisation de Davos

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2022

    http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

    PAR  LE 

      

    Klaus Schwab n’est guère plus qu’un  agent de relations publiques habile pour un programme technocratique mondial,  une unité corporatiste du pouvoir des entreprises avec le gouvernement, y compris l’ONU, un programme dont les origines remontent au début des années 1970, et même avant. La grande réinitialisation de Davos n’est qu’un plan mis à jour pour une dictature dystopique mondiale sous contrôle de l’ONU qui a mis des décennies à se développer. Les acteurs clés étaient David Rockefeller et son protégé, Maurice Strong.

    Au début des années 1970, il n’y avait sans doute personne de plus influent dans la politique mondiale que feu  David Rockefeller,  alors largement connu comme président de la Chase Manhattan Bank.

    Créer le nouveau paradigme

    À la fin des années 1960 et au début des années 1970, les cercles internationaux directement liés à David Rockefeller ont lancé un éventail éblouissant d’organisations d’élite et de groupes de réflexion. Ceux-ci comprenaient le Club de Rome ; le 1001 : A Nature Trust, lié au Fonds mondial pour la nature (WWF) ; la conférence des Nations Unies sur la Journée de la Terre à Stockholm ; l’étude du MIT, Limits to Growth ; et la Commission trilatérale de David Rockefeller.

    Club de Rome

    En 1968, David Rockefeller a fondé un groupe de réflexion néo-malthusien, The Club of Rome, avec Aurelio Peccei et Alexander King. Aurelio Peccei, était un cadre supérieur de la société automobile Fiat, propriété de la puissante famille italienne Agnelli. Gianni Agnelli de Fiat était un ami intime de David Rockefeller et membre du comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank de Rockefeller. Agnelli et David Rockefeller étaient des amis proches depuis 1957. Agnelli est devenu membre fondateur de la Commission trilatérale de David Rockefeller en 1973. Alexander King, chef du programme scientifique de l’OCDE, était également consultant auprès de l’OTAN.  [i]  Ce fut le début de ce qui allait devenir le mouvement néo-malthusien « les gens polluent ».

    En 1971, le Club de Rome a publié un rapport profondément erroné,  Limits to Growth,  qui prédisait la fin de la civilisation telle que nous la connaissions en raison d’une croissance démographique rapide, combinée à des ressources fixes telles que le pétrole. Le rapport a conclu que sans changements substantiels dans la consommation des ressources,  « le résultat le plus probable sera un déclin assez soudain et incontrôlable de la population et de la capacité industrielle ».

    Il était basé sur de fausses simulations informatiques par un groupe d’informaticiens du MIT. Il a déclaré la prédiction audacieuse, « Si les tendances actuelles de croissance de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution, de la production alimentaire et de l’épuisement des ressources continuent inchangées, les limites de la croissance sur cette planète seront atteintes au cours des cent prochaines années. » C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de sa troisième réunion annuelle des chefs d’entreprise à Davos, a invité Peccei à Davos pour présenter  Limits to Growth  aux PDG d’entreprise réunis. [ii]

    En 1974, le Club de Rome a déclaré avec audace : « La Terre a un cancer et le cancer, c’est l’homme. Ensuite : « le monde est confronté à un ensemble sans précédent de problèmes mondiaux imbriqués, tels que la surpopulation, les pénuries alimentaires, l’épuisement des ressources non renouvelables [pétrole-nous], la dégradation de l’environnement et la mauvaise gouvernance ». [iii]  Ils ont fait valoir que,

    une restructuration « horizontale » du système mondial est nécessaire… des changements drastiques dans la strate des normes – c’est-à-dire dans le système de valeurs et les objectifs de l’homme – sont nécessaires pour résoudre les crises énergétiques, alimentaires et autres, c’est-à-dire les changements sociaux et des changements dans les attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition vers la croissance organique ait lieu. [iv]

    Dans leur rapport de 1974,  Mankind at the Turning Point , le Club de Rome a en outre soutenu:

    L’interdépendance croissante entre les nations et les régions doit alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent être interdépendantes sans que chacune d’elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins en reconnaisse les limites. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial basé sur l’allocation mondiale de toutes les ressources limitées et sur un nouveau système économique mondial. [v]

    C’était la première formulation de l’  Agenda 21 des Nations Unies, de l’Agenda 2030 et de la Grande réinitialisation de Davos en 2020.

    David Rockefeller et Maurice Strong

    L’organisateur de loin le plus influent du programme de « croissance zéro » de Rockefeller au début des années 1970 était l’ami de longue date de David Rockefeller, un pétrolier milliardaire nommé Maurice Strong.

    Le Canadien Maurice Strong a été l’un des premiers propagateurs clés de la théorie scientifiquement erronée selon laquelle  les émissions de CO2 d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture ont provoqué une augmentation spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace «la planète», ce qu’on appelle le réchauffement climatique.

    En tant que président de la Conférence de Stockholm des Nations Unies pour le Jour de la Terre en 1972, Strong a promu un programme de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ».

    Strong a déclaré son programme écologiste radical :

    « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? [vi]

    C’est ce qui se passe actuellement sous le couvert d’une pandémie mondiale médiatisée.

    Strong était un choix curieux pour diriger une initiative majeure de l’ONU visant à mobiliser l’action sur l’environnement, car sa carrière et sa fortune considérable avaient été bâties sur l’exploitation du pétrole, comme un nombre inhabituel de nouveaux défenseurs de la « pureté écologique », comme David Rockefeller ou Robert O. Anderson de l’Institut Aspen ou John Loudon de Shell.

    Strong avait rencontré David Rockefeller en 1947 alors qu’il était un jeune canadien de dix-huit ans et à partir de ce moment, sa carrière est devenue liée au réseau de la famille Rockefeller. [vii] Grâce à sa nouvelle amitié avec David Rockefeller, Strong, à 18 ans, a reçu une clé Poste à l’ONU sous la direction du trésorier de l’ONU, Noah Monod. Les fonds de l’ONU étaient assez commodément gérés par la Chase Bank de Rockefeller. C’était typique du modèle de « partenariat public-privé » déployé par Strong – gain privé du gouvernement public. [viii]

    Dans les années 1960, Strong était devenu président de l’énorme conglomérat énergétique et pétrolier montréalais connu sous le nom de Power Corporation, alors propriété de l’influent  Paul Desmarais.  Power Corporation aurait également été utilisée comme caisse noire politique pour financer les campagnes de certains politiciens canadiens tels que Pierre Trudeau, père du protégé de Davos Justin Trudeau, selon la chercheuse canadienne Elaine Dewar. [ix]

    Sommet de la Terre I et Sommet de la Terre de Rio

    En 1971, Strong a été nommé sous-secrétaire des Nations Unies à New York et secrétaire général de la prochaine conférence du Jour de la Terre, Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain (Sommet de la Terre I) à Stockholm, en Suède. Il a également été nommé cette année-là administrateur de la Fondation Rockefeller – qui a financé le lancement du projet Stockholm Earth Day. [x] À Stockholm, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a été créé avec Strong à sa tête.

    En 1989, Strong a été nommé par le Secrétaire général de l’ONU à la tête de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1992 ou CNUED ( «Sommet de la Terre de Rio II» ). Il y a supervisé la rédaction des objectifs « Environnement durable » de l’ONU, l’Agenda 21 pour le développement durable qui forme la base de la Grande réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU. Strong, qui était également membre du conseil d’administration de Davos WEF, s’était arrangé pour que Schwab serve de conseiller clé au Sommet de la Terre de Rio.

    En tant que secrétaire général de la Conférence des Nations Unies à Rio, Strong a également commandé un rapport au Club de Rome, The First Global Revolution, rédigé par Alexander King, qui admettait que l’affirmation du réchauffement climatique par le CO2 n’était qu’une ruse inventée pour forcer le changement :

    « L’ennemi commun de l’humanité, c’est l’homme. En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et autres feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine, et ce n’est qu’en modifiant les attitudes et les comportements qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. [XI]

    Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, a admis la même chose, déclarant,

    « Nous devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qu’il faut en termes de politique économique et de politique environnementale. [xi]

    A Rio Strong a introduit pour la première fois l’idée manipulatrice de « société durable » définie par rapport à cet objectif arbitraire d’élimination du CO2 et des autres gaz dits à effet de serre. L’Agenda 21 est devenu Agenda 2030 en septembre 2015 à Rome, avec la bénédiction du Pape, avec 17 objectifs « durables ». Il a déclaré entre autres,

    « La terre, en raison de sa nature unique et du rôle crucial qu’elle joue dans l’établissement humain, ne peut être traitée comme un bien ordinaire, contrôlé par des individus et soumis aux pressions et aux inefficacités du marché. La propriété foncière privée est également un instrument principal d’accumulation et de concentration de la richesse et contribue donc à l’injustice sociale… La justice sociale, la rénovation et le développement urbains, la fourniture de logements décents et de conditions saines pour la population ne peuvent être atteints que si la terre est utilisée dans l’intérêt de la société dans son ensemble. »

    En bref, la propriété foncière privée doit devenir socialisée pour « la société dans son ensemble », une idée bien connue à l’époque de l’Union soviétique et un élément clé de la grande réinitialisation de Davos.

    A Rio en 1992 où il était président et secrétaire général, Strong a déclaré :

    « Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant  une forte consommation de viande , la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de plats cuisinés, l’utilisation de  combustibles fossiles , d’appareils électroménagers, de la climatisation à la maison et sur le lieu de travail  et  le logement de banlieue  – sont  pas durable.   [xiii]  (nous soulignons)

    À cette époque, Strong était au centre même de la transformation de l’ONU en véhicule pour imposer furtivement un nouveau « paradigme » technocratique mondial, utilisant de terribles avertissements d’extinction de la planète et de réchauffement climatique, fusionnant les agences gouvernementales avec le pouvoir des entreprises dans un contrôle non élu. de presque tout, sous couvert de « durabilité ». En 1997, Strong a supervisé la création du plan d’action à la suite du Sommet de la Terre, The Global Diversity Assessment, un plan directeur pour le déploiement d’une quatrième révolution industrielle, un inventaire de toutes les ressources de la planète, comment elles seraient contrôlées et comment cette révolution serait atteint.[xiv]

    À cette époque, Strong était coprésident du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, à la mort de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit :

    « Il a été mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, pendant de nombreuses années, membre de notre Conseil de fondation. [xv]

    Avant d’être quitté l’ONU à cause d’un scandale de corruption irakien Food-for-Oil, Strong était membre du Club de Rome, administrateur de l’Institut Aspen, administrateur de la Fondation Rockefeller et de la Fondation Rothschild. Strong était également directeur du Temple of Understanding du Lucifer Trust (alias Lucis Trust) hébergé à la cathédrale Saint-Jean-le-Divin à New York,

    « où les rituels païens consistent à escorter des moutons et du bétail jusqu’à l’autel pour la bénédiction. Ici, le vice-président Al Gore a prononcé un sermon, alors que les fidèles se dirigeaient vers l’autel avec des bols de compost et des vers… »[xvi]

    C’est l’origine sombre du programme Great Reset de Schwab où nous devrions manger des vers et n’avoir aucune propriété privée afin de « sauver la planète ». L’agenda est sombre, dystopique et destiné à éliminer des milliards d’entre nous « humains ordinaires ».

    Remarques

    [i] Biographies des membres de 1001 Nature Trust,  Gianni Agnelli , consultées sur  http://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/sociopol_1001club02.htm

    [ii] Klaus Schwab, Le Forum économique mondial : un partenaire pour façonner l’histoire – Les 40 premières années : 1971 – 2010, 2009, Forum économique mondial, p. 15,  https://www3.weforum.org/docs/WEF_First40Years_Book_2010.pdf

    [iii] Citation du rapport du Club de Rome,  Mankind at the Turning Point , 1974, cité dans  http://www.greenagenda.com/turningpoint.html

    [iv] Idem.

    [v] Le Club de Rome,  Mankind at the Turning Point , 1974, cité dans Brent Jessop,   Mankind at the Turning Point – Part 2 – Creating A One World Consciousness , consulté sur  http://www.wiseupjournal.com/?p =154

    [vi] Maurice Strong,  Opening Speech to UN Rio Earth Summit , Rio de Janeiro, 1992, consulté sur  http://www.infowars.com/maurice-strong-in-1972-isnt-it-our-responsibility-to- effondrement-sociétés-industrielles/

    [vii] Elaine Dewar,  Cloak of Green: The Links between key environnemental groups, government and big business , Toronto, James Lorimer & Co., 1995, pp. 259-265.

    [viii] Brian Akira, NATIONS UNIES DE LUCIFER,  http://www.fourwinds10.com/siterun_data/religion_cults/news.php?q=1249755048

    [ix] Elaine Dewar, op cit. p. 269-271.

    [x] Idem, p. 277.

    [xi] Qu’est-ce que l’Agenda 21/2030 Qui est derrière ? Présentation,  https://sandiadams.net/what-is-agenda-21-introduction-history/

    [xii] Larry Bell, Agenda 21 : Le Sommet de la Terre des Nations Unies a la tête dans les nuages, Forbes, 14 juin 2011,  https://www.forbes.com/sites/larrybell/2011/06/14/the-uns -le-sommet-de-la-terre-a-la-tete-dans-les-nuages/?sh=5af856a687ca

    [xiii] John Izzard, Maurice Strong, Climate Crook, 2 décembre 2015,  https://quadrant.org.au/opinion/doomed-planet/2015/12/discovering-maurice-strong/

    [xiv] Qu’est-ce que l’Agenda 21/2030 Qui est derrière ? Présentation,  https://sandiadams.net/what-is-agenda-21-introduction-history/

    [xv] Maurice Strong An Appreciation par Klaus Schwab, 2015,  https://www.weforum.org/agenda/2015/11/maurice-strong-an-appreciation

    [xvi] Dr Eric T. Karlstrom, L’ONU, Maurice Strong, Crestone/Baca, CO, et la « nouvelle religion mondiale », septembre 2017,  https://naturalclimatechange.org/new-world-religion/part-i /