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  • Bardella influencé par Laurent Alexandre et Yuval Noah Harari

    Publié par Guy de Laferrière le 28 février 2024

    Le RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella en tête, à la marcge contre l'antisémitisme avec un drapeau israélien

    Dans les coulisses, tout le monde le sait. Parmi les électeurs, beaucoup moins en ont conscience. Jordan Bardella, président du Rassemblement National et tête de liste pour les élections européennes, est de plus en plus proche de Laurent Alexandre qui est devenu depuis plus d’un an l’un de ses conseillers de l’ombre. Autant dire que l’essor de l’Intelligence Artificielle, le transhumanisme, le puçage et de toutes les folies que promeut le richissime chirurgien-urologue Laurent Alexandre ont désormais le soutien du RN.

    Le RN, porte-voix du projet transhumaniste

    Laurent Alexandre ne s’en cache pas. Egalement proche d’Emmanuel Macron, il avoue sans peine déjeuner régulièrement avec Jordan Bardella et ne manque pas une occasion de le féliciter sur X/Twitter. “Il devrait donner des cours d’IA au gouvernement”, écrivait-il en mars 2023.

     

    Le 19 juin dernier, à Paris, devant un public composé de députés européens, d’essayistes et d’entrepreneurs, Jordan Bardella faisait l’éloge de l’intelligence artificielle (IA), condamnant l’excès de régulation en la matière.

    Jordan Bardella explique aussi à ses proches avoir été fasciné par le livre Homo deus. Une brève histoire du futur (Albin Michel, 2017) de l’historien mondialiste israélien Yuval Noah Harari, très proche de Klaus Schwab, qui prétend que l’humanité est à la croisée des chemins, le futur passant soit par l’homme « augmenté » par la technologie soit par une prise de pouvoir par les algorithmes spécialisés en IA.

    Il vaut mieux en prendre bien conscience maintenant. Jordan Bardella, soutenu dans ses choix par Marine Le Pen, est donc au mieux avec le projet mondialiste du Forum économique mondial de Davos et le totalitarisme 2.0 qui se profile à l’horizon.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Des robots armés pour la police ? On en discute jusqu’à Davos…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos s’achève ce vendredi. Parmi les nombreux thèmes abordés, il a beaucoup été question de l’intelligence artificielle et de la place des nouvelles technologies connectées dans le monde de demain. Le Forum économique mondial, qui compte en ses rangs de nombreux patrons de sociétés de ce secteur, se montre naturellement très favorable à l’essor de l’intelligence artificielle, du tout connecté et du transhumanisme qui en est un aboutissement. Pour faire bonne figure, les débats et discours du Forum économique mondial sur le sujet s’accompagnent de quelques mots sur les aspects éthiques liés au développement de l’intelligence artificielle. Ainsi, il a rapidement été rappelé qu’en novembre 2022 la police de San Francisco se préparait à incorporer des robots maniant des armes potentiellement mortelles. Devant le tollé suscité parmi la population, la ville de San Francisco a renoncé à ses robots policiers armés s’est-on contenté de noter à Davos.

    Le projet de la ville de San Francisco et le débat qu’il a suscité sont très révélateurs et méritent qu’on s’y attarde. La question posée est la suivante : peut-on laisser à des robots travaillant aux côtés des forces de l’ordre le soin de décider sur base d’algorithmes d’une intelligence artificielle l’utilisation d’une arme à feu ?

    L’idée que les robots soient légalement autorisés à tuer a entraîné une importante controverse il y a quelques semaines qu’il faut résumer aux lecteurs de Médias Presse Info.

    C’est en 2016 qu’un robot a été utilisé pour la première fois par les forces de l’ordre en tant que force meurtrière aux États-Unis. Le département de police de Dallas a utilisé un robot de déminage armé d’un engin explosif pour tuer un suspect qui avait tué cinq policiers.

    Paul Scharre, auteur du livre Army Of None: Autonomous Weapons And The Future Of War, a souligné la différence entre l’utilisation de robots armés par les forces militaires ou par les forces de police.  « Pour les militaires, ils sont utilisés au combat contre un ennemi et le but est de tuer l’ennemi. Ce n’est pas et ne devrait pas être le but des forces de police. Ils sont là pour protéger les citoyens, et il peut y avoir des situations où ils doivent utiliser une force mortelle, mais cela devrait être absolument un dernier recours. »

    « Une fois que vous avez autorisé ce type d’utilisation, il sera très difficile de revenir en arrière. »,  dit-il.

    Ryan Calo, spécialiste de la robotique, considère que l’idée de « robots tueurs » est une rampe de lancement pour une discussion plus large sur notre relation à la technologie et à l’Intelligence Artificielle. Et il se demande ce qui se passera si la technologie commet un « bug » et qu’un robot tue ou blesse accidentellement une personne. « Il deviendra très difficile de démêler qui est responsable. Est-ce que ce sont les personnes qui utilisent la technologie ? Est-ce que ce sont les personnes qui conçoivent la technologie ?« 

    Ryan Calo soulève une question supplémentaire : « Nous devons nous demander si nous voulons une société où la police tue des gens avec des robots ? C’est profondément déshumanisant. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Les services de prostituées pour agrémenter les soirées de participants au Forum économique mondial de Davos

    Publié par Guy de Laferrière le 17 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos a débuté ce lundi. En marge de l’ordre du jour de ce grand rassemblement mondialiste, quelques médias suisses signalent que les services de prostituées de luxe sont très demandés cette semaine à Davos.

    Durant cinq jours, des chefs d’Etats et de gouvernements, des patrons des plus grandes multinationales, des magnats de la presse, des directeurs de services de renseignements et des dirigeants d’organismes dits de la société civile se rendront à Davos pour le Forum économique mondial (Wef). Mais en marge des débats et réunions, on apprend sans trop de surprise que des rencontres d’un autre type seront organisées. Quelques médias suisses signalent que les services d’escorte du centre érotique Villa-Velvet d’Oftringen AG sont particulièrement demandés pendant la semaine du WEF. Le gérant de cette agence a prévu quatre filles pour l’occasion. « Dès qu’un client réserve une de nos dames pour au moins quatre heures, elle le rejoint ». Quatre heures coûtent au client un peu moins de 1500 francs suisses, une nuit jusqu’à 2550 francs. D’autres agences d’escortes se partagent le juteux marché.

    L’agence d’Argovie avait déjà envoyé des escortes à Davos lors de précédentes éditions du Forum économique mondiale. « Nos escortes ont déjà été amenées à Davos par des diplomates et des chefs d’entreprise. Certains réservent pour eux-mêmes et leurs employés, pour célébrer dans la suite de l’hôtel« .

    Selon le directeur, les services demandés comprennent l’accompagnement à un dîner ou à une fête, ainsi que des services sexuels subséquents. « Cependant, les clients sont plus exigeants que notre clientèle habituelle. Les femmes au physique de mannequin et au look top sont particulièrement recherchées. »

    Selon Christa Ammann, directrice du centre de conseil pour le travail du sexe Xenia, lors des grands événements où les visiteurs restent plusieurs jours au même endroit, l’offre de services sexuels est de plus en plus large. « Le WEF entre dans la catégorie de ces événements. »

    Aucune enquête n’étant menée, la police cantonale des Grisons n’est pas en mesure de fournir des informations sur le nombre de personnes impliquées dans les services d’escorte et le commerce du sexe qui se rendent à Davos pendant le WEF.

     

    Source : medias-presse.info

  • Bien comprendre ce que Schwab et la clique de Davos nous préparent

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

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    Alain Falento Riposte laïque cliquez ici

    Il est difficile de développer un argumentaire associant le Forum de Davos, l’U.E, la Covid et le pass sanitaire sans être taxé immédiatement de complotiste ou de conspirationniste d’extrême droite.

    Et je dois admettre pour une fois qu’ils ont entièrement raison. En effet il n’y a aucun complot ou aucune conspiration dans cette affaire pour la bonne raison que rien n’est tenu secret. Toutes les informations concernant ces projets sont disponibles pour peu qu’on ait connaissance de leur existence et l’envie de se plonger dedans. Nous sommes devenus tellement insignifiants à leurs yeux qu’ils ne se donnent même plus la peine d’une discrétion minimale.

    Edgar Degas disait : « à partir de quarante ans, on a la gueule qu’on mérite ».

    Si l’on applique cette maxime à Klaus Schwab, la sanction est terrible. Nous ne sombrerons pas dans la facilité en franchissant le point de Godwin, mais il faut bien avouer que la tentation est grande dans ce cas précis. Surtout quand il est de notoriété publique que Schwab a grandi au sein d’une famille dans laquelle, pour être poli, on n’était pas opposé à l’idéologie du Troisième Reich au-delà du raisonnable.

    Klaus Schwab est un vieil allemand de 84 ans, qui arrive tout naturellement en fin de vie. Il est une sorte de caricature de riche retraité germanique, avec toute la morgue qui les caractérise, qui considère que le monde a commencé à sa naissance et se terminera sa mort.

    Klaus Schwab n’est autre que le fondateur de Forum de Davos, cet événement international qui a lieu chaque année dans cette station de ski suisse éponyme.

    Chaque année, pendant une semaine, l’hyper-classe mondiale (milliardaires, politiciens de haut rang, chefs d’états, représentants de l’U.E, CEO de banques et grands capitaines d’industrie) vient montrer les muscles et rappeler aux prolos qui tient le couteau dans le sens du manche.

    Pendant une semaine, Davos est l’endroit où il faut être et surtout être vu. Sous les yeux d’employés tout contents d’avoir été sélectionnés pour assister à l’événement, les décideurs viennent se livrer à de la prospective économique et sociale.

    Le forum de Davos est également à la prostitution ce que la période estivale est au vendeur de glace. Toutes les escorts du monde y accourent, trainant derrière elles un cortège de petits escrocs et de détrousseurs en tout genre.

    Même si ce n’est pas l’objet de cet article, il convient de préciser que ce qui se dit au Forum de Davos est extrêmement intéressant car c’est là que se construisent les idéologies qui seront appliquées et détermineront notre avenir. Rappelons-nous que c’est dans les années soixante dix que les concepts de « mondialisation » et de « globalisation » furent initiés dans ce Forum de Davos, avec toutes les conséquences douloureuses que nous subissons aujourd’hui.

    Depuis la pandémie de Covid 19, l’hyper-classe a pris conscience que le système qu’elle a mis en place, basé sur la dette et la mondialisation, court à sa perte. Mais bien loin de se remettre en question et de laisser la place à d’autres plus capables, ils nous expliquent sans sourciller qu’il est temps de passer à un nouveau paradigme (c’est comme cela que l’on dit « changer d’avis » dans les milieux autorisés).

    Dans un livre d’une médiocrité inouïe, « La Grande réinitialisation », qui ressemble plus à une éructation de bout de comptoir au Narvalo qu’à un essai philosophico économique, Klaus Schwab se fait le porte-parole de cette hyper classe et nous décrit en détail le monde dystopique qu’il nous réserve.

    Tout d’abord, M. Schwab propose d’enfermer tout le monde pendant trois années consécutives pour mettre fin à l’épidémie de Covid 19.

    Ensuite il acte le fait que les dettes, publiques et privées, sont devenues insoutenables dans le monde occidental. Par conséquent il nous propose de supprimer les nations et de les remplacer par un Gouvernement Mondial dans lequel siègeraient bien entendu lui et ses amis de l’hyper-classe. Toute forme d’élection serait bien entendu supprimée. Il faut laisser les savants gérer la situation.

    En ce qui nous concerne, Schwab et ses amis proposent ni plus ni moins que de supprimer la propriété privée ainsi que toute forme de liberté individuelle. Pour ce faire ils envisagent un contrôle social total via une numérisation complète de la société, jusqu’au moindre recoin de notre existence. Le slogan est d’ailleurs déjà prêt : « Vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux ».

    A ceux qui seraient tentés de considérer que ce ne sont que des élucubrations d’un vieillard égoïste et sénile, je me permettrais de conseiller de bien réfléchir à ce à quoi ressemble déjà notre réalité.

    Pendant plusieurs années, nous avons vécu en Europe sous le joug d’un passe sanitaire. Tout individu refusant de s’y soumettre s’est vu ostracisé, exclus des transports, du système de santé et même parfois licencié.

    Vous aurez tous remarqué que, bien que suspendu, ce passe vaccinal n’a cependant pas disparu. Il est même question de sa réactivation prochaine.

    En réalité ce qui importe dans ce passe vaccinal, c’est plus sa technologie que son utilisation. Tous les passes vaccinaux, dans les différents pays de l’U.E, ont en effet été construits dans le sens d’une interopérabilité entre états.

    Le développement de cette technologie s’inscrit dans la continuité d’une Directive Européenne qui décrète une digitalisation à marche forcée de tous les états européens, dans tous les domaines publics et privés. La création d’un porte-document numérique a donc été lancée.

    D’ici 2024 il a été demandé à tous les pays de l’U.E de mettre en place une identité numérique (ce que la France s’est bien entendu empressée de faire). Il est précisé que, pour votre bien être et votre sécurité, pourront être ajoutés à ce porte document numérique toute forme de pièces relatives à son détenteur (dossier médical, permis de conduire, dossier fiscal, impôts, etc.).

    Tout ceci n’est pas de la science-fiction, ni ne relève du complotisme. C’est écrit noir sur blanc dans le projet de Directive de la Commission Européenne. Et il faut se rappeler que de par les traités européens elle sera donc automatiquement transcrite en droit français. Il est impossible de s’y opposer.

    Si cela en restait là, la situation serait déjà bien au-delà ce qui est supportable et constituerait une atteinte aux libertés individuelles d’une ampleur jamais observée dans notre pays. Mais c’est bien mal comprendre l’Hyper-classe et son excroissance l’U.E que de s’imaginer qu’ils allaient en rester là.

    Une fois cette identité numérique complète mise en place, il vous resterait encore une liberté fondamentale : dépenser comme bon vous semble ce qu’il vous reste de revenu après impôts. Or Klaus Schwab vous l’a dit, c’est terminé la belle vie pour vous les gueux ! VOUS ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux.

    Vous ne le savez peut-être pas, mais depuis 2019, la BCE, à l’instar de presque toutes les autres banques centrales, s’est lancée dans le développement d’une Monnaie Numérique De Banque Centrale (MNBC) qui sera mise en circulation dans les plus brefs délais.

    Que l’argent liquide soit appelé à disparaître, tout le monde a bien compris que cela arriverait. Mais pour quelle raison créer une monnaie numérique alors que nous avons des déjà des cartes de crédit et que l’argent déposé sur notre compte est déjà numérique dans les faits ?

    Pour répondre à cette question il faut se pencher sur la nature exacte et les propriétés de cette MNBC. Un détail aurait dû alerter les observateurs avertis de ces technologies : il est prévu que le porte document d’identité numérique dont nous avons parlé précédemment puisse également être utilisé comme portefeuille numérique et moyen de payement !

    Il semble que la BCE a simplement omis de préciser un petit détail qui à son importance quant à cette MNBC ; en effet, en plus d’être numérique, cette monnaie est aussi programmable.

    C’est-à-dire que contrairement à une carte de crédit, l’utilisation de cette monnaie numérique pourra être conditionnée au profil du détenteur.

    Vous êtes en retard sur le contrôle technique de votre véhicule ? Vous ne pourrez pas acheter de carburant à la station-service. Toutes les formes de restrictions administratives les plus vicieuses pourront vous être appliqués sous forme de restriction à la consommation, comme l’interdiction d’acheter une petite chopine pendant la période de Ramadan par exemple.

    D’un point de vue économique c’est beaucoup plus grave. En réalité cette Monnaie numérique programmable ne peut plus être considérée comme une monnaie à part entière. Sans vous le dire, on aura ainsi converti vos euros en tickets de rationnement à la tête du client, suivant des critères qui vous échapperont totalement.

    En réalité nous nous dirigeons tout droit vers une économie de rationnement qui ne dit pas son nom, où toutes les brimades et punitions possibles et imaginables pourront être appliquées à tout citoyen en un clic de souris.

    Si vous pensez que tout ceci n’est que du complotisme ou du conspirationnisme, malheureusement la réalité va très bientôt dépasser la fiction. Le gouvernement commence déjà, tout doucement, à nous préparer un rationnement énergétique.

    Quant à Klaus Schwab, il est très sensible à l’écologie et à la préservation de la Nature. Après avoir sillonné la planète en avion et dégusté les mets les plus délicats dans tous les palaces du monde pendant toute sa vie, il en a conclu que polluer ce n’est pas bien. Alors vous les crasseux, en attendant de déterminer comment seront recyclés les déchets humains que vous êtes, après vous avoir spolié de vos biens et de vos droits, on va commencer par vous empêcher de polluer davantage.

    Il a donc annoncé cette semaine avoir conclu un accord avec Mastercard pour le développement d’une carte de crédit programmable qui tiendrait compte du bilan carbone du détenteur et pourrait ainsi l’empêcher d’acheter de la viande ou un billet d’avion en cas de dépassement du crédit alloué.