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dictature

  • Quand le gouvernement a dit…

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2022

    Quand le gouvernement a dit…

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    En janvier 2020, quand Agnès Buzyn a déclaré ” le risque d’importation de cas depuis Wuhan est modéré, il est maintenant pratiquement nul parce que la ville est isolée”, j’ai su que le virus arriverait en France.

    En février 2020, quand Olivier Véran a affirmé que “il n’y a plus aucun malade en France”, j’ai su qu’il y aurait des milliers de décès.

    En mars 2020, quand la porte-parole Sineth Ndiaye a dit que les Français ne devaient pas acheter de masques car ils ne servaient à rien, j’ai su que les masques deviendraient obligatoires.

    En mars 2020, quand Olivier Véran a déclaré que “c’est le confinement qui provoque la circulation du virus”, j’ai su que nous serions confinés.

    En mars 2020, quand Jean-Michel Blanquer a affirmé que les écoles ne fermeraient pas, j’ai su qu’elles seraient fermées plusieurs semaines.

    Pendant toute l’année 2020, quand le gouvernement a affirmé que la santé des Français était sa priorité, j’ai su qu’il continuerait à supprimer des lits à l’hôpital.

    En juillet 2021, quand Olivier Véran a déclaré : le vaccin est 95% efficace contre les formes graves, 100% efficace contre le confinement”, j’ai su que le gouvernement nous demanderait une 3ème dose.

    En novembre 2021, quand Olivier Véran a affirmé qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal, j’ai su qu’il y en aurait un

    Depuis 2017, quand Emmanuel Macron déclare que nous sommes dans un état de droit, je sais que nous sommes en dictature.

     

    Source: lesalonbeige

  • Dictature: nous sommes les générations de la dernière chance

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    Dictature: nous sommes les générations de la dernière chance

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    De Jean-Pierre Aussant, essayiste catholique, pour le Salon beige:

    En réalité, si la dictature de l’hygiène s’occupe aussi des enfants (lesquels, rappelons-le, ne meurent pour ainsi dire jamais de la grippe) en leur collant le « torchon de soumission » et en les obligeant de plus en plus à se faire vacciner, c’est qu’elle est bien consciente que plus l’être humain est « dressé » tôt dans sa vie, moins il sera à même de se rebeller plus tard. Pourquoi? Parce que le principe même de la rébellion repose sur la comparaison avec un “avant” meilleur. Il est évident que les générations qui dès la plus tendre enfance n’auront rien connu d’autre que « masques, distanciations sociales et vaccins obligatoires », n’auront pas les capacités pour identifier une quelconque anomalie, une quelconque entrave à leur liberté et à leur dignité.

    Alors, me direz-vous : « oui mais l’être humain est un être religieux et il sera toujours capable d’entendre la “petite voix” de sa conscience qui lui soufflera que quelque chose ne tourne pas rond ». Certes, mais étant donné la déchristianisation galopante que nous connaissons (déchristianisation qui est un des buts essentiels du corona-delirium), et au-delà même de cette déchristianisation, la destruction du fait religieux “tout court” (ce qui a permis dans le monde entier l’avènement des lois d’abomination des dernières décennies), cette petite voix risque de devenir, au moins pour le grand nombre, inaudible. Nous voyons bien, et alors même que les populations de la terre ne sont pas encore complètement athées, qu’elles sont déjà incapables de résister au mal et de procéder au moindre discernement. En gros, tout le monde s’adapte à tout, y compris et même surtout à l’infâme. Qui se plaint des programmes nauséabonds de cette « boite à démons » qu’est Netflix et qui sévit partout sur terre en polluant les esprits nuit et jour?
    Force est de constater que si un amoindrissement du «lien religieux» (lien avec Dieu) suffit déjà à faire accepter au grand nombre le pire normatif d’infamie issu du politiquement correct athée, alors qu’en sera-t-il quand l’athéisme des Lumières aura vraiment presque partout triomphé?
    C’est pourquoi il est essentiel de comprendre que nous sommes, au fond, les générations de la croisée des chemins. Oui, les générations de la dernière chance. Si nous, qui avons connu un «avant», ne trouvons pas la force de nous battre contre cette immonde dictature satanique, alors qui, où et quand?
    Car, ne nous leurrons pas, les petits anges de sept ou huit ans, que la dictature écrase déjà en leur imposant leurs panoplies d’avilissement (qui ne les incitent pas, comme jadis, à se déguiser en Zorro «pour rigoler», mais bien plutôt en esclaves et cette fois «pour de vrai»), ne seront pas en mesure en tant que futurs adultes ayant perdu (malgré eux) la “mémoire” du vrai et du beau, de réussir là où nous (nous qui savions) avons échoué. Le combat est donc maintenant ou jamais.
    Certes, en tant que chrétien la foi et l’espérance m’obligent à dire que ce qui est impossible à l’homme, ne l’est pas à Dieu…

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) adapte les recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Ainsi, dans un document mis en ligne le 25 avril, le HCSP recommande que

    • Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

      • toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité).
      • Toutes les personnes réunies continuent de respecter l’ensemble des mesures barrières y compris le port de masque lorsque l’une d’elles n’a pas bénéficié d’un protocole de vaccination complet.
    • Dans un cadre collectif en population générale (collectivités et milieux extérieurs ouverts), de :

      • continuer à respecter l’application des mesures barrières dont le port de masque et de limitation des déplacements en accord avec l’évolution des décisions nationales en fonction de l’avancée de la couverture vaccinale ;

      • ne pas participer ni organiser des regroupements de personnes au-delà de ce qui est réglementairement autorisé.

    Ce genre de recommandations nous rend très sympathique la fête improvisée au parc des Buttes-Chaumont à Paris :

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Non cette République n'est pas une dictature. Mais elle est un totalitarisme.

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    "Essayez la dictature, et vous verrez"... En tentant maladroitement de se dédouaner des accusations dictatoriales portées contre sa pratique du pouvoir, Emmanuel Macron prend le risque que les Français, qui espèrent et attendent l'avènement d'un régime fort pour le  Salut national, lui répondent : "Chiche" !
     
    Non, en effet, la France n'est pas une dictature. 
     
    Une dictature suppose une autorité, une direction, une vision de long terme que l'on chercherait vainement dans ce marécage institutionnel, ce cloaque idéologique et cette lise politique fondée sur la mystification et les combinaisons de hasard qu'est, depuis son commencement, la Cinquième République. 
     
    Mais, s'il n'est pas une dictature, ce régime est bien un totalitarisme. Totalitarisme d'une caste oligarchique toute entière habitée d'un seul dessein : conserver coûte que coûte le pouvoir ; totalitarisme de la finance, du libre échangisme et de l'argent-roi ; totalitarisme du fiscalisme et de la bureaucratie sclérosante ; totalitarisme du progressisme sociétal et de l'accomplissement migratoire ; totalitarisme, par un paradoxe qui n'est que d'apparence, du laxisme et du laisser-faire ; totalitarisme de la déconstruction social; totalitarisme, enfin, de la bien-pensance et du politiquement correct livrant au lit de Procuste toute affirmation non conforme.
     
    Macron, hologramme de ses mandants, en est la représentation la plus achevée.
  • Ce ramassis de médiocres…

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2019

     

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    Par Jarente de Senac

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France va connaître sous la houlette d’un Gouvernement provisoire de la République française (3 juin 1944 – 27 octobre 1944) la publication d’une série d’ordonnances permettant d’épurer la société française. 30 000 à 40 000 Français, selon l’historien Robert Aron, seront passés par les armes dans l’indifférence d’un certain De Gaulle et de son bras armé, le Parti communiste et ses tueurs (déjà !) La IVe République aura deux médiocres pour président, Vincent Auriol de 1947 à 1954 et René Coty de 1954 à 1959. Mais ces deux pantins ne gouverneront pas, ils veillent sur les institutions. Les vrais acteurs ce sont les présidents du Conseil qui vont se succéder au gré des majorités mouvantes de la chambre des députés.  Là où règne les trois grands partis : les faux-culs démocrates chrétiens du MRP, les socialistes de la SFIO, francs-macs pour la plupart d’entre eux, et les thuriféraires de Joseph Staline à savoir les membres du parti communiste.

    Le bal des médiocres s’égrène de Robert Schuman à Henri Queuille, René Pleven, Edgar Faure, Antoine Pinay, Pierre Mendès-France, Guy Mollet pour finir avec Pierre Pflimlin. C’est alors que se produit le coup d’état gaulliste du 13 mai 1958 où De Gaulle se fait introniser président du Conseil avant de changer la constitution. Et d’inaugurer la Ve République. Dès lors, c’est bien le président qui gouverne et son premier ministre, le premier esclave de cette Ripouxblique d’un nouveau genre. Le seul et unique président à sortir du lot de cette médiocrité ambiante est Georges Pompidou qui avait une vraie et non pas certaine, idée de la France qu’il va industrialiser. Et ce, sans pourrir la vie des Français comme le feront ses successeurs.

    Depuis 1945, la France comme toute l’Europe occidentale est inféodée à Washington et à ses choix géopolitiques catastrophiques (Corée, Vietnam, Afghanistan, Irak). De Mitterrand à Macron, tous courberont l’échine devant le grand Satan. Chirac comme les autres naviguera à vue étant donné que ses compétences se limitent à savoir organiser une campagne électorale et certainement pas à en gérer le succès. Résultat des courses, deux présidences ataraxiques !

    De Chirac, il ne peut rien rester, car il n’a rien fait, rien entrepris. Il n’a fait que bouffer, baiser et tâter le cul des vaches. Il faut bien dire que le régime démocratique – qu’on espère en fin de course – ne génère que des médiocres ou des gens intelligents mal employés. Qu’est-ce qu’un député, un sénateur ? Rien. Si, à justifier ce régime où l’on nous serine que sans eux, il n’y aurait pas de démocratie. Mais les seuls à tenir la boutique, ce sont les maires et les élus locaux. Et une administration de plus en plus autonome qui pourrit chaque jour un peu plus la vie des Français. Platon a dit tout le mal qu’il fallait penser des démocraties. On ne doit pas perdre de vue que ce sont les rois de France qui ont fait ce pays quand nos démocraties s’acharnent, depuis 1870, à le défaire. Tirez-en les conclusions vous même.

     

    Source : synthesenationale