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dictature

  • Ne nous trompons pas de colère...

    Publié par Guy de Laferrière le 03 octobre 2024

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    Pierre-Marie Bonneau,

    avocat, tête de liste Forteresse Europe en juin 2024

    Philippine… Après Thomas, Lola, Matisse… La France pleure sa jeunesse, assassinée dans des conditions sordides par des individus qui n’ont rien à faire ici, chez nous, puisque même l’administration leur avait ordonné de quitter le territoire. La colère gronde, le peuple de France n’en peut plus de cette insécurité, de ces pans entiers du territoire national devenus des coupe-gorges abandonnés aux mains de mafias étrangères. Bougies, marches blanches, tubes de vaseline du « Padamalgam » : stop !

    Mais pouvait-il en être autrement ? « Si les triangles faisaient un Dieu, ils lui donneraient trois côtés… » écrivait Montesquieu (Lettres persanes). Chaque peuple, sur terre, sait bâtir une civilisation conforme à sa nature, à son essence, au génie de sa race. Croire que cette règle d’airain peut avoir des exceptions est un mensonge criminel. Et de nos jours, ce mensonge criminel porte un nom : celui de l’antiracisme. Et c’est ce même mensonge, devenu dogme républicain sinon religion d’État, qui conduit notre système politico-judiciaire à écraser, à persécuter, à enfermer à coup de lois et de jurisprudences toujours plus totalitaires tous ceux qui osent émettre un doute sur la possibilité de recevoir en France et en Europe des masses d’immigrés venus de tous les confins les plus sanglants du globe sans qu’ils y apportent avec eux, leurs mœurs, leurs us et coutumes. Ça n’est pas pour rien que c’est en France et en Europe que la magnifique fleur de la chrétienté a pu éclore en paix et que les paroles des Évangiles, maintenues dans le carcan doctrinal des Églises catholique ou orthodoxe, puis réformées, imprégnées de la sage philosophie des Grecs et du sens politique des Romains, ont donné le fruit de notre douce prospérité, de notre belle gloire et de ces libertés que nous voyons chaque jour disparaître sous les coups des barbares.

    Mais est-ce que cette monstrueuse volonté de nos dirigeants politiques, d’accoucher, aux forceps, à tout prix et même sur un monceau de cadavres, d’une société multiraciale en Europe, est née du néant ? Il suffit de s’intéresser à ceux, hommes politiques, bailleurs de fonds ou dirigeants de nos grands médias, qui veulent ce changement de peuple, pour faire cet étrange constat : ceux qui imposent la société plurielle en France sont ceux qui soutiennent Israël en Palestine. Il ne s’agit pas, il faut avoir l’honnêteté de le reconnaître, d’un problème uniquement religieux ou ethnique : parmi cette élite mortifère, Il y a bon nombre d’individus totalement étrangers au judaïsme, tant par leurs origines que par leur pratique religieuse. Mais tous soutiennent, en France comme en Palestine, le grand remplacement des peuples autochtones, au besoin au prix d’un bain de sang…

    Et c’est là qu’il ne faut pas se tromper de colère ni raisonner en sophistes.

    « Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat » se décline parfois dans les milieux patriotes sous une forme tous aussi absurde : « les assassins de nos jeunes sont arabes, les Palestiniens sont arabes, les Israéliens massacrent les Palestiniens, vive Israël et sa politique se massacres… » La frustration de ne pas voir nos gouvernants réagir plus fermement face à la violence engendrée par cette société multiraciale conduit nombre de Français écœurés à admirer cet État criminel, né par le terrorisme et se maintenant par le meurtre de masse et le génocide.

    C’est une erreur fatale.

    Soutenir le grand remplacement de Bethléem à Gaza ne mettra absolument pas fin à celui que nous subissons chez nous, de Marseille à Lille en passant par Paris.

    « Quand le sage montre le lune, l’imbécile regarde le doigt… »

    Les réactions que j’ai lues, au hasard de mes flâneries sur les réseaux sociaux, suite à la mort du secrétaire général du Hezbollah libanais, le Cheikh Nasrallah, m’inspirent ces quelques réflexions.

    Le Liban a été déstabilisé, détruit par l’afflux de réfugiés palestiniens essentiellement sunnites, qui a brisé son fragile équilibre communautaire et l’a plongé dans les affres d’une guerre sanglante.

    C’est l’État hébreu qui a impitoyablement chassé ces Palestiniens de la terre de leurs pères, de leurs foyers, pour se les accaparer et y installer des Juifs venus du monde entier, au seul motif, brutalement raciste, qu’ils sont juifs… N’était-il pas légitime, pour un religieux chiite, de s’y opposer de toutes ses forces, de toute son âme et par tous les moyens ? La main qui a assassiné Nasrallah est celle qui bâillonne chaque jour un peu plus les Français de souche, qui s’oppose à ce qu’une solution humaine et raisonnable soit trouvée pour que nos jeunes arrêtent de se faire égorger, violer, massacrer.

    La remigration est nécessaire et possible. Mais c’est en soutenant partout ceux qui subissent la dictature des fous du mondialisme, des tenants d’une humanité métissée, réduite à une masse de consommateurs et de producteurs déracinés, que nous pourrons l’imposer, pas en nous rangeant, par aveuglement, de leur côté.

    Ne nous trompons pas de colère.

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  • Quand le gouvernement a dit…

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2022

    Quand le gouvernement a dit…

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    En janvier 2020, quand Agnès Buzyn a déclaré ” le risque d’importation de cas depuis Wuhan est modéré, il est maintenant pratiquement nul parce que la ville est isolée”, j’ai su que le virus arriverait en France.

    En février 2020, quand Olivier Véran a affirmé que “il n’y a plus aucun malade en France”, j’ai su qu’il y aurait des milliers de décès.

    En mars 2020, quand la porte-parole Sineth Ndiaye a dit que les Français ne devaient pas acheter de masques car ils ne servaient à rien, j’ai su que les masques deviendraient obligatoires.

    En mars 2020, quand Olivier Véran a déclaré que “c’est le confinement qui provoque la circulation du virus”, j’ai su que nous serions confinés.

    En mars 2020, quand Jean-Michel Blanquer a affirmé que les écoles ne fermeraient pas, j’ai su qu’elles seraient fermées plusieurs semaines.

    Pendant toute l’année 2020, quand le gouvernement a affirmé que la santé des Français était sa priorité, j’ai su qu’il continuerait à supprimer des lits à l’hôpital.

    En juillet 2021, quand Olivier Véran a déclaré : le vaccin est 95% efficace contre les formes graves, 100% efficace contre le confinement”, j’ai su que le gouvernement nous demanderait une 3ème dose.

    En novembre 2021, quand Olivier Véran a affirmé qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal, j’ai su qu’il y en aurait un

    Depuis 2017, quand Emmanuel Macron déclare que nous sommes dans un état de droit, je sais que nous sommes en dictature.

     

    Source: lesalonbeige

  • Dictature: nous sommes les générations de la dernière chance

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    Dictature: nous sommes les générations de la dernière chance

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    De Jean-Pierre Aussant, essayiste catholique, pour le Salon beige:

    En réalité, si la dictature de l’hygiène s’occupe aussi des enfants (lesquels, rappelons-le, ne meurent pour ainsi dire jamais de la grippe) en leur collant le « torchon de soumission » et en les obligeant de plus en plus à se faire vacciner, c’est qu’elle est bien consciente que plus l’être humain est « dressé » tôt dans sa vie, moins il sera à même de se rebeller plus tard. Pourquoi? Parce que le principe même de la rébellion repose sur la comparaison avec un “avant” meilleur. Il est évident que les générations qui dès la plus tendre enfance n’auront rien connu d’autre que « masques, distanciations sociales et vaccins obligatoires », n’auront pas les capacités pour identifier une quelconque anomalie, une quelconque entrave à leur liberté et à leur dignité.

    Alors, me direz-vous : « oui mais l’être humain est un être religieux et il sera toujours capable d’entendre la “petite voix” de sa conscience qui lui soufflera que quelque chose ne tourne pas rond ». Certes, mais étant donné la déchristianisation galopante que nous connaissons (déchristianisation qui est un des buts essentiels du corona-delirium), et au-delà même de cette déchristianisation, la destruction du fait religieux “tout court” (ce qui a permis dans le monde entier l’avènement des lois d’abomination des dernières décennies), cette petite voix risque de devenir, au moins pour le grand nombre, inaudible. Nous voyons bien, et alors même que les populations de la terre ne sont pas encore complètement athées, qu’elles sont déjà incapables de résister au mal et de procéder au moindre discernement. En gros, tout le monde s’adapte à tout, y compris et même surtout à l’infâme. Qui se plaint des programmes nauséabonds de cette « boite à démons » qu’est Netflix et qui sévit partout sur terre en polluant les esprits nuit et jour?
    Force est de constater que si un amoindrissement du «lien religieux» (lien avec Dieu) suffit déjà à faire accepter au grand nombre le pire normatif d’infamie issu du politiquement correct athée, alors qu’en sera-t-il quand l’athéisme des Lumières aura vraiment presque partout triomphé?
    C’est pourquoi il est essentiel de comprendre que nous sommes, au fond, les générations de la croisée des chemins. Oui, les générations de la dernière chance. Si nous, qui avons connu un «avant», ne trouvons pas la force de nous battre contre cette immonde dictature satanique, alors qui, où et quand?
    Car, ne nous leurrons pas, les petits anges de sept ou huit ans, que la dictature écrase déjà en leur imposant leurs panoplies d’avilissement (qui ne les incitent pas, comme jadis, à se déguiser en Zorro «pour rigoler», mais bien plutôt en esclaves et cette fois «pour de vrai»), ne seront pas en mesure en tant que futurs adultes ayant perdu (malgré eux) la “mémoire” du vrai et du beau, de réussir là où nous (nous qui savions) avons échoué. Le combat est donc maintenant ou jamais.
    Certes, en tant que chrétien la foi et l’espérance m’obligent à dire que ce qui est impossible à l’homme, ne l’est pas à Dieu…

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) adapte les recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Ainsi, dans un document mis en ligne le 25 avril, le HCSP recommande que

    • Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

      • toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité).
      • Toutes les personnes réunies continuent de respecter l’ensemble des mesures barrières y compris le port de masque lorsque l’une d’elles n’a pas bénéficié d’un protocole de vaccination complet.
    • Dans un cadre collectif en population générale (collectivités et milieux extérieurs ouverts), de :

      • continuer à respecter l’application des mesures barrières dont le port de masque et de limitation des déplacements en accord avec l’évolution des décisions nationales en fonction de l’avancée de la couverture vaccinale ;

      • ne pas participer ni organiser des regroupements de personnes au-delà de ce qui est réglementairement autorisé.

    Ce genre de recommandations nous rend très sympathique la fête improvisée au parc des Buttes-Chaumont à Paris :

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Non cette République n'est pas une dictature. Mais elle est un totalitarisme.

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    "Essayez la dictature, et vous verrez"... En tentant maladroitement de se dédouaner des accusations dictatoriales portées contre sa pratique du pouvoir, Emmanuel Macron prend le risque que les Français, qui espèrent et attendent l'avènement d'un régime fort pour le  Salut national, lui répondent : "Chiche" !
     
    Non, en effet, la France n'est pas une dictature. 
     
    Une dictature suppose une autorité, une direction, une vision de long terme que l'on chercherait vainement dans ce marécage institutionnel, ce cloaque idéologique et cette lise politique fondée sur la mystification et les combinaisons de hasard qu'est, depuis son commencement, la Cinquième République. 
     
    Mais, s'il n'est pas une dictature, ce régime est bien un totalitarisme. Totalitarisme d'une caste oligarchique toute entière habitée d'un seul dessein : conserver coûte que coûte le pouvoir ; totalitarisme de la finance, du libre échangisme et de l'argent-roi ; totalitarisme du fiscalisme et de la bureaucratie sclérosante ; totalitarisme du progressisme sociétal et de l'accomplissement migratoire ; totalitarisme, par un paradoxe qui n'est que d'apparence, du laxisme et du laisser-faire ; totalitarisme de la déconstruction social; totalitarisme, enfin, de la bien-pensance et du politiquement correct livrant au lit de Procuste toute affirmation non conforme.
     
    Macron, hologramme de ses mandants, en est la représentation la plus achevée.