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exode

  • L'exode des Arméniens chassés du Haut-karabakh

    Publié par Guy de Laferrière le 03 octobre 2023

    À propos des malheureux Arméniens chassés de leurs terres ancestrales par l'Islam totalitaire, terroriste et génocidaire... L'ambassadrice d'Azerbaïdjan en France a osé déclarer :

    "Ce sont des gens qui ont décidé volontairement de ne plus habiter dans la région. Ils avaient le choix..."

    Propos typiques d'un ou d'une nazéri(e) !

    Juste commentaire/réaction de Noir Lys (sur tweeter) :

    "Bah oui… Contrairement aux colonisations occidentales, qui forceraient les autochtones à être projetés dans l’Avenir, les colonisations islamiques ont toujours offerts le choix aux colonisés :

    - se convertir à l'islam

    - être déclassés et payer un impôt islamique

    - fuir

    - mourir"

    CQFD !

    Le grand exode : les arméniens fuient en masse le Haut-Karabagh - YouTube

     

    Source : lafautearousseau

  • Automne cheyenne, l’exode du dernier espoir

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Auteur : 

    Il y a bien des enseignements à tirer de l’histoire des peuples natifs américains, ces Amérindiens dépossédés de leurs terres et quasiment éradiqués sur ordre des autorités des Etats-Unis d’Amérique. A ce titre, la collection Nuage rouge des éditions du Rocher réalise un travail précieux en rééditant les traductions françaises d’ouvrages anciens et de référence sur le sujet. Parmi les dernières publications, Automne cheyenne de Mari Sandoz (1896-1966) mérite attention. Cette femme a passé de longues années à ses recherches méthodiques et rigoureuses pour ensuite écrire différents volumes sur l’histoire des Indiens.

    Ces Indiens ont rencontré pour la première fois l’armée des Etats-Unis en 1854. A cette époque, les hommes blancs n’étaient dans la région que des îlots sur une mer immense d’Indiens et de bisons. Vingt-trois ans plus tard, en 1877, les bisons avaient à peu près disparu, et les derniers Indiens étaient conduits vers les réserves.

    Il n’y a aucun équivalent dans l’histoire à cet « exploit » de l’homme moderne : la destruction d’un mode de vie dans son intégralité, l’expropriation d’une race hors d’une région de 140 millions d’hectares de superficie en un laps de temps aussi bref. Il fut pour cela nécessaire de conditionner l’opinion publique. Dans les années 1830-1840, les Indiens chasseurs de bisons étaient considérés comme un peuple romanesque. On venait de partout pour le voir. Le prince Paul de Wurtemberg, le prince Maximilien d’Autriche et des centaines d’autres grands noms européens firent le déplacement pour aller chevaucher sur son territoire, manger des côtes de bison rôties, observer le Grand Chasseur Rouge et partager quelques instants de sa vie.

    Cela, c’était avant que les spéculateurs ne convoitent sa terre. Le Chasseur Rouge devint un sauvage sale, traître et assoiffé de sang, un obstacle sur le progrès. En 1864, tandis que la Fédération des Etats-Unis combattait, selon la version officielle, les Confédérés pour libérer l’homme noir de l’esclavage, l’opinion publique était prête à accepter une politique d’extermination de l’homme rouge. Aucune objection ne s’éleva. Pas même d’Abraham Lincoln. Deux ans après qu’il ait « émancipé » les Indiens, l’armée massacra les Cheyennes, hommes, femmes et enfants, à Sand Creek. L’été suivant, sous la présidence d’Andrew Johnson, le général Patrick Edward Connor donna au corps expéditionnaire contre les Sioux et les Cheyennes les ordres suivants : « Vous n’accepterez aucune offre de paix ou de soumission de la part des Indiens; vous attaquerez et tuerez chaque Indien mâle au-dessus de douze ans« . Ensuite, les Indiens furent parqués dans des réserves et affamés, sans qu’aucune des promesses à leur égard ne fut respectée. Plusieurs tribus se rebellèrent, espérant revenir sur leurs terres d’autrefois et pouvoir chasser à nouveau librement pour nourrir leurs enfants. Ce livre raconte l’ultime tentative des Cheyennes de sauver leur peuple de la famine. Ils parcoururent près de deux mille cinq cents kilomètres à travers des régions désormais occupées par des pionniers et parsemées de lignes télégraphiques, franchirent trois voies ferrées, furent acculés à une dernière bataille contre l’armée des Etats-Unis. La fin d’un monde.

    Automne cheyenne, Mari Sandoz, éditions du Rocher, collection Nuage rouge, 458 pages, 24,90 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

  • Le grand exode des médecins algériens : 80% se dirigent vers la France

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    En Algérie, les départs massifs des médecins radiologues, néphrologues, anesthésistes-réanimateurs et surtout des psychiatres est inquiétant, selon l’Ordre national des médecins. Les femmes sont de plus en plus nombreuses à choisir la voie de l’expatriation. Les principales destinations sont la France, puis les Etats-Unis, l’Allemagne et le Qatar et récemment la Grande-Bretagne et le Canada. Sur les 15 000 médecins algériens qui exercent en France, 5000 sont en cours de régularisation.

    Près d’une cinquantaine de demandes de délivrance des certificats d’exercice et de bonne conduite sont enregistrées par semaine au niveau du Conseil national de l’Ordre des médecins, s’alarme le Dr Mohamed Bekkat Berkani, président du CNDM (Conseil National de Déontologie Médicale).

    Le nombre de demandes déposées par les médecins spécialistes désirant quitter le pays augmente chaque année, selon lui, dont 80% des praticiens se dirigent vers la France.

    «Nous recevons quotidiennement des demandes de confirmation de diplôme de tous les services hospitaliers métropolitains, et dernièrement ce sont les hôpitaux allemands qui expriment cette demande et certains pays du Golfe», a-t-il déclaré. Pour lui, «il s’agit d’une hémorragie cataclysmique des médecins spécialistes vers la France et autres pays européens. »

    L’Algérie forme chaque année un nombre important de médecins pour la France, dont les coûts sont faramineux. […] La liste des candidats à l’émigration s’allonge avec la liste des pays qui ouvrent les postes dans les principales spécialités médicales avec de nouveaux allégements des conditions d’accès.

    El Watan via fdesouche