Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2019
A Bradford, Haji Kaloga, un Gambien de 31 ans, s’est introduit de force dans la chambre d’une fillette de 11 ans et lui a serré le cou en disant : « C’est qui l’homme ? » Il l’a jetée à terre et s’est livré à ce que le juge Andrew Haslam a appelé une « agression sexuelle horrifiante ».
Il lui a fait promettre de n’en parler à personne, sans quoi il la tuerait. Cependant, une fois l’agression terminée, elle a réussi à échapper en sautant par une fenêtre du premier étage et a appelé la police.
Elle était d’abord trop terrifiée pour monter dans la voiture de patrouille venue la chercher, mais au poste de police elle a dit ce que Kaloga lui avait fait, et les preuves ADN relatives au crime ont été recueillies.
Au tribunal, la fillette s’est adressée directement à son agresseur en lisant cette déclaration :
« Je veux que vous sachiez que ce que vous m’avez fait et ce que vous m’avez dit, je ne l’oublierai jamais jusqu’à ma mort.
Je veux que vous le sachiez car vous m’avez abusée sexuellement. Je n’oublierai jamais ce que vous m’avez fait, mais je ne laisserai pas cela changer mon avenir, ni changer qui je veux être ou ce que je veux être.
Un jour, vous apprendrez que je suis devenue quelque chose que vous ne pourrez jamais imaginer. J’espère ne plus jamais rencontrer un homme comme vous. »
Le juge s’est dit « frappé par la force de caractère » de la jeune fille et l’a félicitée.
Kaloga n’a été condamné qu’à 13 ans de prison, et bien que son avocat ait estimé « probable » qu’il soit expulsé à la fin de sa peine – qui sera peut-être réduite – il faut savoir que le ministère de l’Intérieur a un mauvais bilan dans l’exécution des ordres d’expulsion. En effet, le Royaume-Uni a perdu la trace de 56’000 migrants qui devaient être expulsés, dont plus de 700 anciens détenus.
Source : Breitbart via lesobservateurs