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Président de la fédération française de la cordonnerie pour les Hauts-de-France, François Bauduin a vu sa boutique du boulevard de l’Europe être attaquée durant les émeutes. Le professionnel opte pour la stratégie de la main tendue en proposant aux auteurs des dégradations de se former à un métier d’avenir.
Tempête, avarie technique, naufrages, noyades : la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) intervient plus de 6 000 fois par an au large des côtes françaises. Ces sauveteurs bénévoles risquent leur vie pour secourir celles des autres. Ils sont de plus en plus sollicités pour venir au secours des migrants. Pour faire face à l’augmentation des naufrages de ces embarcations de fortune, la SNSM a décidé de former ses propres bénévoles au sauvetage de masse.
Ces sauvetages de migrants jusqu’alors pris en charge par des ONG en Méditerranée se multiplient depuis cinq ans en Manche entre la France et l’Angleterre
Cette vidéo relayée sur Twitter en avril dernier offre un rare aperçu de la très discrète filière de recrutement de pilotes occidentaux par la Chine communiste, alors qu’elle se prépare à un potentiel conflit avec les États-Unis dans le détroit de Taïwan. « L’instructeur » trahit un accent français dans les bribes filtrant de la vidéo de ces pilotes en perdition dans la Chine profonde. Le Figaro est en mesure de confirmer qu’il s’agit bien d’un ancien officier chevronné de l’armée de l’air française, qui s’est éjecté avec son «élève» chinois, après un accident de chasseur JL-10. Un «mercenaire» recruté à grand prix pour accélérer la formation des pilotes chinois et leur apprendre, de l’intérieur, les tactiques employées par les armées de l’air de l’Otan.
Cette campagne agressive de recrutement se poursuit, comme le révèle le témoignage exclusif d’un ancien pilote de l’aéronavale, récemment approché via une mystérieuse entreprise basée en Afrique du Sud. « L’offre était très alléchante. Ils cherchent des instructeurs qualifiés pour l’appontage sur porte-avions », explique François (prénom modifié), ancien pilote de Super Étendard sur le Charles de Gaulle. Un contrat à environ 20.000 euros par mois, net d’impôts, pour former les instructeurs chinois sur place pendant trois ans, proposé par l’agence Test Flying Academy of South Africa (TFASA). Plus que les juteux cachets offerts par le Qatar à ses instructeurs étrangers. «J’ai failli tenter l’aventure. Ce n’est pas une opportunité courante d’avoir un chasseur entre les mains, et là on me propose le manche d’un J-11», confie le quadragénaire, en référence au chasseur chinois dérivé du Sukhoi 27.
Ce globe-trotter a déjà été instructeur dans plusieurs pays, notamment en Afrique. L’officine sud-africaine, pilotée par des Britanniques, sert de paravent aux ambitions aériennes chinoises, ciblant des «pilotes en manque d’adrénaline», juge un ancien militaire français. Plusieurs pilotes de chasse ont opéré en Chine ces dernières années, dont un ancien des forces stratégiques, selon nos informations.
Wokisme au Royaume-Uni: la Royal Air Force discriminerait les hommes blancs afin d’améliorer sa diversité (MàJ: des douzaines d’ex-pilotes britanniques forment des pilotes en Chine, “une menace pour les intérêts britanniques”)
19/10/2022
Tous les anciens militaires britanniques, qui ont accepté de former des pilotes militaires chinois, “améliorent très certainement les connaissances et les capacités militaires de la Chine”, a déclaré un responsable.
La Chine a recruté des dizaines d’anciens pilotes militaires britanniques pour enseigner aux forces armées chinoises comment vaincre les avions de guerre et les hélicoptères occidentaux dans le cadre d’une “menace pour les intérêts britanniques”, ont révélé des responsables.
Un fonctionnaire a déclaré qu’une trentaine d’anciens pilotes d’avions à réaction, mais aussi d’hélicoptères – attirés par des salaires annuels d’environ 240 000 £ – se trouvent actuellement en Chine pour former des pilotes pour l’Armée populaire de libération, dans ce qu’un analyste de la défense a décrit comme une stupéfiante atteinte à la sécurité nationale.
Un officier supérieur retraité de la Royal Air Force a déclaré : “Wow… c’est épouvantable. Mais à quoi pensaient-ils ?”
Pékin s’efforce activement d’embaucher de nombreux autres pilotes militaires, anciens ou en activité, et d’autres spécialistes de la RAF, de la Royal Navy et de l’armée britannique, ainsi que du personnel d’autres nations occidentales, a déclaré le responsable occidental.
La situation est si grave que le service de renseignement du ministère de la défense a publié mardi une “alerte menace” pour mettre en garde le personnel militaire actif et ancien contre de telles approches.
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La Chine recherche des pilotes ayant une longue expérience du pilotage d’avions de guerre britanniques et d’autres avions de l’OTAN, notamment les avions de chasse Typhoon et Tornado et le jet de saut Harrier, qui opérait autrefois à partir de porte-avions britanniques, afin d’enseigner à ses pilotes la meilleure façon de contrer leurs capacités, a déclaré le responsable occidental.
“Il ne s’agit pas de former des pilotes chinois sur des avions à réaction occidentaux. Il s’agit de prendre des pilotes occidentaux de grande expérience pour aider à développer les tactiques et les capacités de l’armée de l’air chinoise”, a déclaré le fonctionnaire.
“Il s’agit en fait pour les Chinois de comprendre ce que seraient les tactiques les plus récentes, les approches et les capacités, si l’armée chinoise devait se trouver dans des situations de confrontation avec ce type de moyens.”
Cela inclut également les hélicoptères militaires britanniques tels que les Wildcat et les Merlin.
Il est entendu que la Chine a tenté de recruter d’anciens pilotes qui se sont entraînés sur le jet rapide F35 de cinquième génération, un appareil top secret dirigé par les États-Unis.
Le fonctionnaire a déclaré qu’il pensait que ces efforts n’avaient pas abouti jusqu’à présent. Ces avions – d’une valeur de plus de 100 millions de livres sterling chacun – utilisent une technologie furtive très sensible développée conjointement avec les États-Unis et constituent une cible d’espionnage de choix.
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Francis Tusa, l’analyste de la défense, a qualifié ces révélations de “stupéfiantes”.
“Soyons honnêtes, la Chine est un ennemi”, a déclaré M. Tusa à Sky News.
“Et donc, nous avons des sujets britanniques qui ont décidé que leurs intérêts seraient mieux servis en enseignant à notre ennemi comment nous vaincre. C’est incroyablement effrayant”.
Alors que l’Ukraine tente de reprendre peu à peu les territoires conquis par la Russie, notamment grâce à l’aide de matériels et de renseignements fournis par les pays membres de l’OTAN dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne ou encore le France, le ministre français des Armées a annoncé, dans une interview au Parisien que des soldats ukrainiens allaient prochainement être affectés dans des unités françaises pour être formés pendant plusieurs semaines.
« Le président de la République a validé un plan de formation qui permettra d’accueillir jusqu’à 2 000 soldats ukrainiens en France. Il y a déjà eu des formations d’artillerie faites en France pour les Caesar, mais là, nous changeons d’échelle (…) Il y aura trois niveaux de formation. D’abord, la formation généraliste du combattant. Ensuite, sur des besoins spécifiques signalés par les Ukrainiens, comme la logistique. Et un troisième niveau de formation sur les matériels fournis », précise Sébastien Lecornu qui rappelle que « nous faisons cela en respectant les règles de droit, sans jamais être dans la cobelligérance car nous ne sommes pas en guerre. Nous aidons un pays qui est en guerre ».
La France va par ailleurs livrer des systèmes de défense antiaériens Crotale à l’Ukraine, a souligné le ministre des Armées, précisant une annonce faite en ce sens mercredi 12 octobre par le président Emmanuel Macron. Le nombre des systèmes antiaériens de courte portée Crotale qui seront envoyés à Kiev « est en train d’être défini avec les Ukrainiens », mais « sera significatif pour leur permettre de défendre leur ciel », assure-t-il.
La gendarmerie a visiblement le temps de former ses gendarmes aux violences dans les couples LGBT :
Christophe Desportes-Guilloux lance à l’adresse de la salle : «Vous avez face à vous une personne qui s’appelle Robert, mais qui a le sexe féminin inscrit sur sa carte d’identité, comment vous l’appelez ?» Une voix glisse : «C’est compliqué…» D’autres proposent, de concert : «On lui demande : “Comment voulez-vous que je vous appelle ?”»
Face à 25 polos bleu ciel assis à des tables individuelles, le référent «Prévention des discriminations anti-LGBT+» du Groupe action gay et lesbien du Loiret (GAGL45) fait le point sur des concepts liés au genre, au sexe, à l’orientation sexuelle. C’est la quatrième fois qu’il fait le trajet (…) pour former des gendarmes aux violences conjugales dans les couples lesbiens, gays, bis et trans (…) »